jour 38.
Et pour tuer le temps, en attendant la mort,
Je fume au nez des dieux de fines cigarettes.Un silence éternel succède à ses amours ;
Mais les siècles auront passé sur ta poussière,
Elvire, et tu vivras toujours !Un mot suffit à le navrer,
Un regard en lui fait vibrer
Une inexprimable amertume.C’est là ma maison paternelle,
C’est là le nid qui m’a bercé :
Que ne puis-je y ployer mon aile
Et n’y vivre que du passé ?Je suivis ce mauvais garçon
Qui sifflotait mains dans les poches
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La maison d'en face
Teen Fiction«ton histoire me rappelle que la vie ne tient qu'à un seul fil. ou bien qu'à une seule personne» Il lui a dit : fais moi jouir avec la langue. Il lui a lu des poèmes.