Chapitre 6: La révolte des insoumis

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Dans la nuit tombante nous pénétrons dans la ville de l empreur. Il fais sombre. Le resonnement des sabots de nos chevaux martèlent le sol.
Les rues étroites de la ville sombre au odeur écoeurante sont étendus devant nous. La forteresse de l'empreur est illuminée par les quelques flambeaux de leurs gardes.
Notre armée, entours l entrée principale de la ville. A cette heures la l accet a la ville est fermée.
Erika se poste devant l armée. Son père se met à coter d elle, je les rejoins.
Elle est fierment assise sur sont cheval noir. L air fraid du soir fais voler sa longe chevelure brune. Elle fixe le ciel. D une voix sévère elle annonce.
-Aujourd'hui est un grand jour pour Ilaya et tout les royaumes. L empreur Valtan va payer de ses agissement. Nous sommes peur être faible. Sans entrainement. Mais nous avons une chause que eux n'ont pas, un cœur. Des coeurs qui ont souffert, qui ont aimés , qui ont été brisée. Et cela fais notre force. Nous avons étez soumis, maltraitée, réduis a plus bas que terre! Alors aujourd'hui c est finis. Nous nous relevons. Aujourd'hui, nous sommes les insoumis. Et nous aussi nous avons le droit de vivre!
Tout le monde hurle et tape avec leurs épée contre leurs bouclier.
-À l attaque! Crie Erika en levant son épée au ciel.

Les archers tires sur les portiers. Nos espions ouvrent les portes. La ville est à nous!
Nos chevaux galopes dans ses rues sombres.
DRING ! DRING ! DRING!
Les cloches d alertes de la villes rettentissent.
Nous traversons les rues, des lanternes au main. Les familles accourent des soldats accourent à la forteresse qui n ouvrez aucune porte.
L armée de l empreur se place tout autour de cette grande forteresse...
Heureusement nous avons nos alliées. Les réfugiers que l ont a sauver. Ils se sont infiltrée dans la forteresse elle même.
L adrénaline est forte. Erika sourit a pleine dent a coter de moî. Nous enflamons les maisons.
-Nélio! L armée de l empreur ça bientôt se lancer contre nous! Ont se rejoins a l intérieur!
Me crie ma soeur en passant a mes coter.
-Erika! Attend!
Elle se retourne.
-Quoi?
-Désolé... Tu avais raison. Louïss est comme sa famille. Un connard...
Elle sourit.
-Allons nous vanger! Ils méritent de mourires !
D un bon elle dessens de sont cheval. Je fais de même. Notre plan est grandiose. Une magnifique mise en scène.
Nous marchons, tout les deux dans la rue principale. L épée dans une main, notre masque comme pour nos missonq secrètes au visage. Seuls. Touts les deux devant la forteresse. L immence armée de Valtan est postée devant nous.
Nous sommes si petit. Tout les deux. Les poings serrer. La haine au ventre.
On entent les cris des gens attraper par nos hommes. Le brûler des maisons se fais sentir.
Un calme plas vient de l armée c l empreur. Soudain... sur le balcon de la forteresse, Valtan apparaît en robe de chambre.
Il observe sa ville, et nous regardent.
-Que voulez vous? Pourquoi enflamer ma ville? Comment oser vous?
-Votre temps est finis Valtan. Vangence sera faites!
Répond Erika étrangement calme.
L empreur éclate de rire.
-Vous ? Deux stupides gamins qui se rebelles contres moi!? Vous avez réussi a m échapper mais regarder! Mon armée va vous écraser comme de vulgaire insecte!
-Stupides gamins dites vous? Ricanne Erika. Alors vous feriez mieux de savoir qui nous sommes!
Elle arrache sont bandeaux. Je fais pareil.
L empreur vois nos visage. Il eccarquilles les yeux mais dit.
-Erika et Nélio d Ilaya! Les deux bâtard. La traînée et l avorton! Vous? Me défier?
Il rit de plus belles.
-Valtan. Si j etais vous, j arraetrais de rire. Votre règne est finis. Vous êtes aller trop loin. Nous sommes les insoumis, nous contons vous faire payer!
Réplique froidement avec un soupçons d amertume Erika. Elle frappe trois fois le sol avec sont épée.
De toutes les rues sortent notre armée, celle des royaumes qui se sont allier a nous. Nous sommes des milliers face à eux!
-Ah l attaque! Hurle à nouveau Erika en a élancent l épée au poings.

Valtan se cache dans sa forteresse.
Je vous a une des fenêtres, Serg et Louïss nous observez. L air grave.
Erika les a vue aussi. Elle me lance une regard tout en tranchant la gorge d un soldats.
Elle se bat, comme un chat sauvage. Ont sens toute la haine qu' elle a contenu. La douleur aussi.
Un grand craquement résonne. Nos alliers qui etais cacher a l intérieur de la forteresse ont defoncer la porte. Cette dernière ce trouve grand ouverte. L armer de l empreur est encerclée!
Ils se battent quand même! Ils vont perdre à coût sur!
Erika se rapproche de moi, ont se retrouve dos à dos.
-Il faut qu' on entre dans la forteresse avant que Valtan et sa famille s enfuit !
-Euh la sa va être dur! Comment?
-Tu a une meilleure idée peut etre?
-Ont escalade le mur qui donne sur les appartement royaux. Je sais ou c est .
- Allons y!
Elle donne un violant coup de pied au soldats qui se gettais sur nous.
-Bouge toi! Hurle t elle pendant qu elle plante son épée dans la tête d un autre soldat.
Je me degague de plusieurs attaquant et cours avc elle jusqu au mur de la forteresse, en contourant le combat. Des corps sont eparpilliers au sol. J ai pas le temps de les regarder car Erika est déjà entrain de grimper au mur.
-Après qu' ont les auras tuers, il faudra libérer les esclaves.
-Tu est sur que a deux ont y arrivera?
-Plus que jamais.
Une flamme brille dans les yeux à Erika. Une flamme intense. Celle d une mère a qui ont lui a arracher sont enfant. Cette haine. Cette douleur qui va bientôt se déchaîner.

Les couloirs sombre des appartement royaux nous mennent a une seule chambre illuminer. Ont entent comme une trappe s ouvrir. Erika entre a la voler, sont poigniard traverse la piece. Et atterit juste a coter de la tête de Serg.
Valtan, Serg, sa mère et ses trois soeurs sont la. C est Serg qui ouvrais la trappe. Ils nous fixent. Valtan et sont fils cadet sortent leurs épée alors que les quatre filles se cachent dans le font de la pièce.
Serg ricane en voyant Erika, l épée a la main a approcher de lui.
-Que conte tu faire Erika? Me tuer? Oh la pauvre gonzelle!
-Reconnais tu cette robe Serg? Cette robe qui contient encore le sang de Golan. Golan! Tu te souviens de lui? Mon fils que tu a lâchement assasiner!
-Ce bâtard!? Tu m en veux encore pour t avoir engrosser et tuer notre bâtard d enfant?
Il éclate de rire.
Tout se passe vite. Erika lève la main, elle plaque Serg au sol.
-C etais pas un bâtard! C etais un enfant! Ton enfant! Mon fils! Il avais que 6 ans! Que 6 ans!
-Et alors?
Serg la repousse par une prise et la plaque au sol à sont tour. Il passe sa main sur les jambes de ma soeur.
-C est fini Serg...
L arme de rapprochement d Erika se plante dans la gorge de Serg. Un craquement. Du giclement de sang. Un corp qui tombe. Et la... Elle se retourne. Un coeur a la main. Du sang plein le bras.
-Ah qui le tour? Dit elle. C une vois sang vie. Il n y a plus que la haine.
Se corps et se coeur sont ceux de Serg.
-Je... Je vais libérer les esclaves . Murmurai-je.
Elle ne m écoute meme pas. Son poignard est déjà planter dans le coup de Valtan qui n a pas eu le temps de se débattre.

Je cours dans le couloir. C autre crie résonnent. Les filles. L odeur du sang envahit le couloir.

Arrivée au souterrain ou sont enfermer les esclaves, je vais dans la salle des gardes. Il n y en a aucun. Ils doivent être au combats. Le placard des clé est ouvert. Je prend la première.
-Ne bouge pas!
Cette voix. Froide et tranchante. Sa voix.
-Louïss...
-Nélio. Tu est la! Dit il plus calmement.
-Que fais tu la? Tu va fuir ta famille?
-Je te cherchais partout. Laisse tomber cette idée de rebllion. Fuis avec moi. Ont vivra tout le deux. Je me sens pas à la place ici.
Il parle bizarrement. Sa voix est mieleuse. Je me retourne pas. Je peux pas croiser sont regard.
-Non.
-Nélio pose cette clé. Abandonne tes idées. Je t aime. Ont peur vivre heureux tout les deux. Loin d ici.
-Non. Tu ment. Tu est un monstre comme ta famille!
-Nélio... je sais se que tu crois... C est faut.... je t aime...
Il a approche de moi. Prend ma main. Son souffle chaud dans mon coup.
Je me retourne lentement.
-Tu ment Louïss. Lache ma main. Et tu ne fuyra pas. Tu va mourir.
-Donne moi cette clé!
Il veut attraper la clé mais de mon autre main ne lui plaise mon poigniard a la gorge. Il est bloqué. Son regard de braise plonge dans le mien.
-Tu n'osera pas Nélio.

Désirs d'hommeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant