Chapitre 8: Puncho

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Point de vue de Puncho :
( oui c'est spécial ) Mais j'avais envie de quelque chose de différent en ce moment... Alors voilà, j'espère que ce chapitre vous plaira.

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Elle ouvre l'armoire, et attrape des vêtements. Comme à son habitude elle me parle comme si elle savait que je comprenais ce qu'elle dit. Elle a une classe folle, j'ai beaucoup de chance de la voir comme maitraîsse.

Elle m'a sauvé la vie, je lui doit tout c'est pour cela qu'aujourd'hui il faut que je veille sur elle.

Elles est triste depuis que je la connaît. J'ai l'impression que sa fait depuis toujours car les larmes ont creusé son visage, et on fait gonfler ses yeux.Mais je sais que c'est depuis la mort de sa mère.

J'ai peur pour elle en ce moment surtout quand j'ai su que sa mère était une espionne et qu'elle prends sa relève.

L'autre soir j'était surpris, en la voyant arriver dans sa chambre tandis que je l'attendait sur son lit.
Elle avait le sourire jusqu'au oreille,un sourire béa s'affichait sur son visage. Elle m'attrapait et me fit virevolter faisant toute sorte de pirouette de danseuse classique. Elle était heureuse. Elle était belle, non pas que d'habitude elle ne l'était pas mais là elle rayonnait de bonheur, elle était épanouie. Après m'avoir fait danser, elle me serrait fort contre sa poitrine. Elle sentait bon, c'était la première fois que je sentais un autre parfum que le siens sur elle, qui je dois l'avouer, m'est inconnu. Je sentais son cœur battre, ou plutôt cogner fort dans son thorax.

<< Oh Puncho, si tu savais a quelle point il embrasse bien ... >> me disait-elle pensive, tout en touchant ses lèvres en souriant encore un peu plus.

Je levais la tête vers elle, et posais ma tête, dans son cou. Je la sentais frémir légérement.

<< Bon, on va dormir maintenant >> disait-elle contrairement a d'habitude elle éteint toutes les lumières même sa veilleuse.

Elle me déposait dans l'armoire et va dans son lit.

C'est surtout pour son comportement qui subitement à changé que je la surveille. Je ne peux pas sortir de la maison et je n'ai pas envie que la méchante belle-mère de ma maîtresse, puisse me carrésser.

Je la déteste autant que Payge.

Je cherche une solution pour pouvoir aidé ma maîtresse quand soudain la porte s'ouvre Payge est rentrée vachement tôt. Elle est rouge et transpirante.

<< Casse toi de mon lit toi ! >> dit-elle, haletante.

Elle ouvre sa commode et sort une plaquette de doliprane. Elle en avale deux d'un coup.

<< Oh putin ! >> souffle t-elle.

Elle a l'air pas bien elle m'inquiète.

<< J'ai tellement mal à la tête >> ajoute-elle.

Elle s'allonge sur son lit lourdement. Pose une main sur sa tête puis tousse fortement, faisant trembler tout son corp. D'un coup elle se relève et respire frénétiquement, elle devient bleu, elle ne bouge plus.
Alors j'aboie et court dans les escaliers pour alerter les autres. Mais il y a personne... Alors je remonte les escaliers en deux deux. Quand je rentre dans la chambre, l'état de Payge ne s'améliorai pas.

A ce moment là j'ai peur de la perdre.
Je ne suis rien sans elle, j'irai a nouveau vivre dans la rue, me laissant mourir. Je suis un chien, mais enlevé sa maîtresse a son chien c'est comme lui enlevé son flair.

On sais qu'elle meurt au fond de nous, mais on refuse de l'admettre alors on se laisse mourir, nous aussi, avec notre maître.

Je ne le laisserai pas se reproduire une telle erreur.

(No)bodyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant