(No)body

Chapitre20:Nuance et apparence

( Point de vue de Payge )

Je me réveille en sursaut.
Transpirante dégoulinante de sueur.
Je connais trop bien ce sentiment...
Celui d'un cauchemar...

Et le pire c'est qu'à force de faire le même cauchemar à chaque fois, il me paraît familier, je n'ai plus peur de ce cauchemar mais il arrive toujours à me surprendre.

Je me lève d'un bond de mon lit, je vois les étoiles.

Des milliers de questions se posent dans ma tête.

Tout d'abord qu'est ce que ma mère tentait de me cacher dans se journal.

Et pourquoi ce n'est pas Joe qui a répondu à son téléphone mais Kim...

[ Flashback d'hier ]

[ allô ? ] voit de Kim.

[Pourquoi t'as le téléphone de Joe ] moi.

[ rire narquois ] Kim.

[ Deux ans c'était trop long pour Joe ] Kim.

[ Tu mens ] moi.

[ Mecroit pas mais dans tout les cas, j'ai son téléphone il y'a de quoi se posé des questions ] Kim.

[ Tu peut très bien l'avoir volé ] moi.

[ rire de merde ] Kim.

[ pour qu'elle raison je l'aurai volé ? ] Kim.

[ Parce que tu es une Nobody ] moi.

[ Qui te l'a dit ? ] Kim.

[ Je l'ai deviné ] moi.

[ impossible ] Kim.

[ si, je l'ai su quand j'ai vue comment tu te battais... MAL ] moi.

[ Peut-être mais, Joe a rejoint notre cause et il est de notre côté. Et tu devrait en faire de même, c'est ce que t'a mère aurait voulu ] Kim.

[ Non, elle n'aurai pas accepté le faite que je sois une tueuse en série ] moi.

[ elle rit ] Kim.

[ cher Payge laisse moi te dire que tu ne sais pas de quoi tu parles ] Kim.

[ Si, ma mère c'était quelqu'un de bien elle n'était pas une tueuse ] moi.

[ Tu ne sais pas de quoi tu parles ] Kim.

[ Va te faire foutre ] moi.

Je raccroche.

[ Fin du flashback ]

Je jure, que si je la croise je lui explose la tête.

Enfin bref...

Je m'avance vers la commode.
Attrape une petite robe d'été et des lunettes de soleil, de toute façon je suis obligé de rester ici, alors à quoi bon me faire belle. Mon père et Laurela son partit... Je sais même pas si ils sont au travail ou dans une chambre d'hôtel à faire une petite sœur ou un petit frère à Louisa.

<< Faite des mômes ! >> dit-je.

Mon regards, se pose sur le journal intime de maman. Quel secret peut-il bien refermé ?

Je l'attrape le jette sur mon lit,
Il y a une serrure, les mêmes que celles des portes j'ai peur que si je le brise les pages se déchirent c'est un vieux journal les pages sont marrons, vieillit par le temps.

Pas le choix il faut que je trouve la clé.

Mais où ? Je sais ne sais pas.

Sa sonne à la porte, je me dirige vers la porte pour ouvrir.