Chapitre 40: New-York (2)

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( Point de vue de Payge )

Une fois que j'ai pu m'éclipser des autres, je peut enfin respirer. Non pas que je suis pas heureuse de voir mes amies, bien au contraire. Mais j'ai eu une visite d'une autre personne auparavant. Et c'est cette personne que je m'apprête à rejoindre au toilette.

[ Flashback d'il y a quelques minutes... ]

Joe est partit se faire des amis et moi je reste seule, là, à une table. Je remplit et mets à jours quelque dossiers, je sais que je doit avoir l'air d'une pauvre fille qui ne sais pas s'amuser, mais mon métiers passe avant tout, parfois la vie de certaine personne sont plus proche de la mort. Alors je doit tout faire pour qu'il reste le plus longtemps du bon côté.

Je sent comme une présence autour de moi un regard qui me fixe. Alors je lève les yeux et inspecte ce qui m'entoure puis j'aperçois dans l'ombre une personne qui a les yeux accroché sur moi.

Je fronce les sourcils, mais c'est quoi son problème ?

Ce n'est qu'après quelque minutes que je comprends que c'est une fille, c'est vrai que sa robe noir est très discret.

Je peut deviner voir un sourire se dessiner sur son visage, cacher par un éventail, seule ses yeux son visible tant le noir de son maquillage les font ressortir.

Soudain elle recul un peu plus dans l'ombre et elle disparaît de mon champs de vision. Pendant quelque seconde seulement. Puis elle réapparaît et me tends son bras et j'aperçois des brûlures qui cicatrises et d'autre encore fraîche, en forme de huit.

Et la je comprends. Je range mes dossiers et me dirige vers elle qui elle même se dirige vers un autre endroit.

Les toilettes.

Une fois dans les toilettes elle est de dos à moi.

Comment je n'ai pas pu la reconnaître ? Ses cheveux rouge et le mystère qui pèse autour d'elle.

<< Comment je m'appelle ? >> me demande t-elle, toujours de dos.

<< Angie >> je dit.

Elle se retourne et abaisse son éventail.
Et enfin je découvre son visage entièrement elle est toujours aussi belle et j'ai l'irrésistible envie de la prendre dans mes bras. Mais je sais que depuis la dernière fois que je l'ai vu au pensionnat elle n'aimais pas les trucs trop affectif.

Alors je me ravise. Et me concentre sur sa venue ici, et le fait qu'elle ma attiré ici.

<< Qu'est ce qui t'amène ? >> je lui demande.

<< J'ai besoin de toi, Payge >> dit-elle.

<< Je t'écoute >> je dit.

<< Pas maintenant, on peut nous croiser à tout moment, reviens quand les lumières commenceront à s'éteindre et quand les lumière de la scène s'allumeront >> dit-elle.

<< Pourquoi alors tu m'as fait venir ici maintenant ? >> je demande.

<< Pour les même raison qu'un pervers s'attaque une fille : t'était seule, c'était maintenant ou jamais >> dit-elle.

J'hoche la tête, puis lève la main vers elle pour vérifier quelque chose. Et elle me donne un coup dans la main et enchaîne notre tchek à la perfection.

Je n'ajoute plus aucun mot, pas de doute c bien elle. On c'est jamais elle a vérifier pour moi, j'ai le droit de vérifier pour elle. Je sort des toilettes et retourne m'assoir comme si de rien n'était.

(No)bodyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant