(No)body

Chapitre23: Mission sauvetage 2.0

( Point de vue de Payge )

Sa fait deux heures qu'on ai arrivée, deux heures qu'on est dans cette chambre d'hôtel.

<< Payge tu peux venir dans le séjour s'il te plait >> dit Laurela.

Cette chambre d'hôtel est encore plus luxueuse que celle de Molly. C'est vraiment un appartement, on a chacune une chambre avec un grand lit, un énorme lit, un gigantesque lit, même que parfois j'ai l'impression de me noyé sous les draps...

Une fois arrivé au séjour Laurela est dans une tenue que je n'aurai jamais soupçonné qu'elle aurai pu porté enfin maintenant si : elle porte un jogging noir qui épouse parfaitement ses formes des basket, elle a attaché ses cheveux et porte une veste, je crois que c'est une armure mais je ne suis pas sur...

<< Je vais...travailler >> dit Laurela devant Louisa, on cache la vérité au enfants...

<< Rester bien sagement ici >> dit-elle en se penchant vers Louisa.

<< Sois sage mon cœur >> rajoute Laurela.

<< Oui maman >> dit sagement Louisa.

Elle se redresse puis me fixe intensément.

<< Prends soin d'elle >> dit Laurela.

Elle me dit ça comme si c'était la dernière fois qu'on se revoyais. Il faut que j'en ai le cœur net...

<< Qu'est-ce qu'il se passe ? >> dit-je.

Louisa nous regarde intriguée.

<< Et ma puce, il y a du chocolat dans le frigo, se sont t'es préférée vas-y c'est tout que pour toi >> dit-elle, afin d'écarté Louisa.

<< Alors ? >> dit-je.

<< Je risque de ne pas revenir...>> dit-elle.

<< Pendant combien de temps ? >> demande-je.

<< Toujours... >> dit-elle.

<< Quoi ? >> dit-je.

<< Il faut que je disparaisse vous en savez trop >> dit-elle.

<< C'est ce que tu veux ? >> demande-je.

<< Non, mais vos vies me son bien trop importante pour que je prenne le risque de vous perdre >> dit-elle.

<< Si tu y retournes c'est toi qui vont tué >> dit-je.

<< Je sais... >> dit-elle.

<< Alors tu vas te rendre pour nous protéger ? >> demande-je.

<< C'est pas ce que tu crois, je ne suis pas faibles c'est la règle tu échoue tu y reste >> dit-elle.

<< Tu ne te bats même pas pour garder la vie que tu as... Tu as penser à mon père a ta fille, Louisa ? >> dit-je.

<< Je pense à toi aussi >> dit-elle.

<< Mais oui bien sur. La peur de mouriez fait vraiment dire des conneries >> dit-je.

Elle rigole faiblement...

<< Tu as raison >> dit-elle.

<< Bats toi : pour ton mari, pour ta fille, pour toi >> dit-je.

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Une fois partit, j'appelle le service de la chambre.