(No)body

Chapitre 39 : New-York

[ Point de vue de Joe ]

Je suis devant la fenêtre en regardant les avions décoller en compagnie de Payge.

<< Merci de m'accompagner >> je lance à Payge qui est assise sur les siège de l'immense hall de l'aéroport.

<< Hmmm quoi ? >> me demande Payge, en relevant sa tête de ses dossiers de travaille.

Ou qu'elle aille elle ne peut s'empêcher de travailler, son côté élevé modèle me fait penser à l'époque ou on c'était fait exclure parce qu'on avait régler le compte à des pervers de seconde zone.

<< Je disais merci, de m'avoir emmené >> je répète.

<< Oh ! De rien, les docteurs on dit qu'il fallait que tu te reposes mais bon, te faire plaisir fait aussi partit de la thérapie >> dit-elle, son regard ayant quitté ses innombrables dossier.

Je sourit et continu de regarder les avions décoller.

« Mesdames et monsieurs la porte d'embarquement direction New-York est ouverte, veuillez commencer à vous dirigée vers celle ci pour y vérifier les billets »

Je m'approche de Payge qui est si absorbé par son travaille qu'elle n'a du pas entendre la voix dans le micro, lui disant qu'on doit y aller.

<< C'est bon, me regarde pas comme ça on y va >> dit-elle, excédé par mon comportement.

Alors qu'on pénètre dans l'avion les hôtesses nous donne nos place et deviner ou ? En classe affaire...

Le gala de New-York est un des meilleurs du monde réunissant les hommes les plus influant les plus riches et les plus intelligent. J'y était invité car ceux qui ont eu la légion d'honneur passe partout et Payge y a été invité car c'est une excellente neurochirurgienne mais elle n'y va pas pour la soirée, seulement pour m'assurer que je vais bien.

C'est bon, je suis juste en stresse postromantique.

<< Des qu'on va à l'hôtel je veux dormir avant d'y aller t'es pire qu'un enfant, alors pour m'occuper de toi j'aurai besoin de toute mon énergie >> dit-elle.

<< Oui, maman >> je dit.

Elle rigole puis on embarque dans l'avion et se replonge dans ses dossiers.

Moi je prends mes calmants en mangeant puis m'endort.

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« Mesdames et Monsieurs nous entamons notre descente sur New-York veuillez attacher vos ceintures merci »

J'attache alors la ceinture puis jète un rapide coup d'œil sur Payge dans le but de voir si elle s'attache elle aussi. Et c'est quand je la voit aussi absorbé par son travaille que je comprends qu'elle ne sais pas détacher de tout le vol.

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Une fois arriver à l'hôtel je part m'allonger sur le lit de ma chambre et attends que Payge allume l'eau de la douche pour sortir un petit calibre. Je ne peut plus m'en passer. Sa ma toujours plu le fait de tirer, c'est une des choses qui m'ont aidé à rester en vie. Ça et Payge. Les armes ont été là pour me défendre et Payge me servait à avoir une "vie à l'extérieur" imaginaire, je ne cessais de penser à elle. Elle me maintenait en vie bien qu'elle ne pensait pas à moi. Il suffisait que je pense à ses yeux, à ses lèvres où à ses seins, pour me sentir en vie. C'est en devenant snippeurs et en étant loin d'elle que j'ai comprit que je tiens à elle, et c'est quand je l'ai vu au bras de mon grand frère Candom, que j'ai compris que je suis enfaite amoureux d'elle car je n'ai pu dire la vérité quand j'ai vu qu'elle était heureuse avec lui.