Tome 1
Payge Reed était une adolescente de quinze ans, bonne élève, populaire et mystérieuse, elle avait tout pour elle...
Tous sauf sa mère morte il y avait de sa cinq mois. Depuis Payge enchaînait cauchemars sur cauchemars... Ainsi elle entamait...
Je me lève et jette ma couverture au sol me dirigeant directe me voir dans le miroir. Mon visage a dégonflé mes bleu se sont disdipé mes saignement ce son estompé laissant place à des cicatrices. Ma couleur est revenue mes lèvres sont dégonflé, je suis beaucoup mieux.
Je décide alors de prendre une douche et de m'habiller :
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J'attrape mon sac à dos, puis sort de la chambre et la ferme à clé. C'est comme si je n'avais eu aucune absence et la vie reprit son cours.
<< J'ai bien cru que t'était morte >> me lance Mr Matthias.
Je lui lance un sourire totalement faux.
<< Qu'est-ce qu'il ce passe ? >> me lance t-il.
<< Laisse moi tranquille ! >> je lui lance.
Il m'attrape le poignet. J'ai aucune envie de parler, plus après ce qu'il c'est passé.
<< Dit-moi qu'est-ce que t'as ? >> il me demande.
<< Hier soir alors que je faisait mon jogging habituelle sur le campus je me suis fait agresser par une fille >> je dit.
<< Et quel est le rapport avec moi ? >> me demande t-il. Inquiet visiblement.
<< Elle m'a dit de ne pas m'approcher de toi ! >> je lui crache.
Il penche la tête et passe sa main dans ses cheveux.
<< C'est Kim, c'est ça ? >> me demande t-il, visiblement il connais déjà la réponse.
Je le dévisage d'une façon purement méprisante, ok. Lui aussi m'a prit pour une conne en plus avec la même fille. Cette Kim m'aura décidément tout volé. Je lui toune les talons puis me dirige vers les escaliers au lieu de l'ascenseur. Il ne cherche pas a me rattraper, tant pis, être seule sa a du bon aussi.
Je me trouve dans les couloirs, seule après la sonnerie des cours, j'ai comme des maux de tête persistant, puis des saignements de nez qui commence.
<< Ça va ? >> me dit une voix qui m'est familière.
Je me retourne d'une humeurs haineuse.
<< Moui >> je dit. Pas trop envie de parler.
Puis quand je vois à qui je parle, mes idées redeviennent clair, et les événements de ses deux derniers jours me reviennent en pleine face.
<< Pas trop d'humeurs à ce que je vois >> me dit-elle.
<< Pas vraiment, non >> je répond.
Elle me temps un mouchoir puis je m'essuie avec.
<< Merci >> je lui lance.
<< De rien, alors tu vas en quel cours ? >> me demande t-elle.
