The Knb Yaoi Story

Histoire 21

Bonjouuuur ! Et bonne saint-valentin pour les amoureux (bande d'enfoiré !).

Et oui très cher ! Je fais partie de cette catégorie d'être-vivant qu'on appelle les "célibataires". Pour le plus grand malheur de notre peuple, nous ne sommes pas une espèce en voie de disparition.

Breeeeeeeeeeef ! Depuis ma première venue sur ce site, c'est à dire il y a longtemps, je n'ai jamais eu l'occasion d'écrire pour une occasion spéciale. Alors j'ai voulu faire les choses bien !

Au fait, comme je le dis depuis plusieurs jours, je suis en période de bac blanc qui compte avec un gros coefficient au deuxième trimestre. Sachant que je suis en terminale, je vous laisse imaginé... Et oui, vous avez deviné... Je l'ai écrit pendant mes trois heures d'histoire géographie, ce matin... J'ai rendu feuille blanche... T.T

Breeeeeeeeeeeeeeeeef ! Cette fic est... Je le dis à la fin et vous laisse lire !

Bonne lecture !

La patience est une vertus

Un fluide coule. La chaire se rétracte. Un soupire, suivit d'une longue plainte.

Les doigts glissent sur l'épiderme brûlante. Ils descendent sur le torse, en oubliant méthodiquement les boutons roses et bien dures. Continuent leur ballade sur le bas du dos, frôle légèrement les fesses rebondies, avant de les attraper franchement et de les malaxer. Un autre gémissement se perd.

Il déposa de long baiser dans la nuque de sa victime. Lapant, mordant, embrassant et suçotant la peau humide et rougit. Ses mains assoiffées de conquête, continuèrent leur chemin sur les cuisses avant de remonter avec une lenteur abominable sur le postérieur du martyr. Toujours de cette même mollesse, les doigts taquinèrent, sans jamais y pénétrer, l'antre du plaisir, pendant de longues minutes. L'homme du dessous ne put retenir un grognement vif avant de soupirer à nouveau.

"Arrête... de me faire languir... Kaga... aaah !"

Le tyran déposa un furtif baiser sur ses lèvres, puis frotta d'un mouvement circulaire son bassin à celui de son confrère. Il sentit bien vite l'intimité étonnement dure clamer une solitude douloureuse.

Cela le fit sourire.

Fin