chapitre 7: une bataille famillial.

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Nous étions dans notre repéré, et depuis maintenant un quart d'heure, tous les regards étais posé sur moi. Nous étions dans une salle, comme si nous étions au tribunal. Un vieille homme entra dans la salle, il étais barbue comme le père Fouras dans fort boyard. Oui, la comparaison est étrange, bref revenons au sujet principale. Le père Fouras s'asseya dernière son bureau, son visage étais sérieux presque sans âme. Je pense que je vais arrêter de plaisanter.

-Alex, Clara Jones bienvenue.
- Alex suffira.
- Très bien Alex, savais vous quels sont les fait contre vous.
- Je suppose que cela doit être en rapport avec ma rencontre amical avec les forces des ténèbres, je me trompe?
- Exactement, j'ai était très surpris quand la nouvelle m'est parvenue. Une jeune fille si expérimenté, s'attaque au forces opposés et arrive même a les battre. Surprenant.
- Je ne vois pas en quoi, pourquoi me sous estimer?
- Vous êtes comme votre père, sur de vous et agressive, malheureusement pour vous.
Ma rage monta tout a coup.
- écoute père fouras, je t' interdit de parlée de mon père de tel sorte. C'était un homme brave, de confiance.
- C'est un traite!
- S' il vous a trahit, c'est qu'il avait une bonne raison.
- tu ne connais pas ton père.
- Je le connais mieux que quiconque.
- Tu ne savais pas que c'était un sorcier et encore moins ce qu'il est aujourd'hui.
- aujourd'hui il est un ange. Et de la ou il est il te dit d'aller te faire...
- Ne prenais pas la peine de continuer. Vous serez déçue Alex, votre père n'est pas celui que vous croyez.
- Qu'entendez vous par là?

Il me fit un clin d'oeil et sortit de la salle.
Pourquoi me dire ça, je me dirigea vers la sortie.

-hum hum.
- quoi? C'est pas encore fini.
- Pas vraiment, vous ne pouvez pas partir.
Je me retourna et dit face à une très grande demoiselle.
- vous ne pouvez pas partir avant que je vous ai dit que j'étais fière de vous. Je me présente Kimberly, la mère de stella.
- C'est très gentil, merci.
- Vous pouvez y aller maintenant. A dans une semaine.
- dans une semaine?
- Oui pour votre couronnement.
- Comment ça un couronnement?
- Leo ne vous a pas mis au courant?

Je me tourna vers leo.
-surprise... Tentat il.
- A dans une semaine. Dis je a Kimberly.
Leo se réjouissait que je ne me fâché pas, mais pourquoi le ferais-je, c'est mon malheureux destin.

Léo embrassa les autres me pris par le bras tel un prince, et nous nous téléportons.

Nous étions désormais chez moi, dans mon salon. Mais seul léo et moi y était.
- Oú sont les autres ?
- Il sont partit.
- On ne vas pas avec eux?
- il sont partit combattre.
- Je veux aller me battre aussi!
- C'est trop dangereux pour toi, princesses.
- pfff. N'importe quoi. Il sont partit où. - Ah ah.
- Tu m'énerve.

Il étais plus de minuit et toujours pas de famille en vue. Je me demande ou sont il.
- Au ténèbres. Dit léo après avoir lu dans mes pensée.
- Pourquoi?
- Pour toi. En tuant les autres, tu as créé une petite guerre.
- Il peuvent se blesser?
- bien sur mais ça n'arrivera pas, il sont fort.

Son téléphone se mit a sonner et il répondat.
- Bonjour madame Jones...
Vous l'avez trouver?
Quoi!
Je vais l'étriper.
Je n'ai pas le choix.
Je lui dit.

Il semblait si énervé mais si triste a la fois. Mais je voyais dans ses yeux qui si je prononçais le moindre mot, ses larmes couleraient. Je lui sauta dans les bras, je lui demanderais les raisons plus tard. Nous partons nous coucher, blottit l'un contre l'autre.

Je me réveilla, dans une salle sombre, les corps de mes amis étaient allonger baignant dans le sang, je tenta de les réveiller mais sans aucune raiponce, ils étaient froid comme le marbre et pales comme un fantôme. Moi je pleurer toutes les larmes de mon corps. Je vis au loin, dans un coin, un homme qui riait. Au éclats, couteau a la main, répétant cette phrase: tu ne me connais pas, rejoins moi, alexouille.
Sa voix m'étais plus que familière, c'était la voix qui m'avait bercé autre fois, et ce surnom résumer mon enfance, c'était le nom comique que mon père me donnait.
- papa?
- Viens avec moi.
Mon père se leva, chevauchant les corps. Il s'approcha de moi, lâcha son couteau, il me prit par la main et m'entraîna vers un passage.
Léo apparue tout a coup, s'interposant a mon destin et a mon père.
- Ne la touche pas. S'énerva léo.
Mon père me lâcha et se jeta sur léo puis quand il se stopa, leo était dépourvu de sa tête.
-LEO!!!!!!!!!!!!

-Princesse, réveil toi.
Mes yeux s'ouvrit peu à peu, laissant apparaître un léo inquiet.
- Tu criais, ça va ? Demandât il?
- Oui.. Juste un cauchemar.
Il ressuyat les larmes sur mes joues, n'avait apparemment énormément pleuré, j'étais trempée.
- Aller, monte. Dit il en me désignant son dos.
Je sauta dessus tel un enfant sur un poney. Flemmarde comme je suis, m'inviter à ne pas marcher étais un cadeau.

- Ça va mieux, princesse?
- Oui mais toi? Depuis hier?
- oh, ça, ce n'était rien.
- Je peux savoir?
- Je ne préfère pas, pas maintenant. Sinon, raconte moi ton cauchemars.

Il se mit au fourneau, pendant que je lui raconta ma nuit mouvementée. J'étais tétanisée rien qu'en le racontant, c'était la première fois que je rêvais de mon père. Je veit dire, de cette sorte, en tant que méchant.
- Dans ton rêve, tu étais sur que c'était la bande?
- Non mais j'en suis persuadé.

Des minutes de silence suivirent, personne n'osa parler, aucun de nous n'en avait véritablement l'envie. J'admirais juste, ce jeune homme en chef de cuisine, il était vraiment beau, j'avais de la chance d'avoir un copain comme lui. Il remplacait en quelques sorte mon père, protecteur et plein d'amour c'était, à vrai dire ce qui me plaisait chez lui, ses qualité identique a celle qu'un père est censé avoir. Léo me tira de ma nostalgie concernant mon père, en brisant le silence installé entre nous.
- Hier, au téléphone, c'était ta mère.
- Que voulez t'elle?
-Rien, elle ... M'informer.
- A quelle sujet.
- Vas te préparer, dans dix minutes une s'en va.
Je me résigna a patienter, il ne me répondra pas maintenant. Je monta, enfila un short en Jean et un croc top, Pris mon sac a mains, et le rejoigna au garage. Nous prenons la route.

-Tu m'aime. Demandat il.
- Bien sur, pourquoi cette questions?
- Rien ne nous séparera.
- Bien sur.
- Alors, je dois te dire quelque chose.
- oui?
On descendit et avança sur le sable chaud de la fameuse plage: Miami bitch.
- C'est ici que mes parents se sont rencontrer. Pour ne plis jamais se quitter.
- c'est romantique.
- Tu connais ma mère, mais je ne t'ai jamais parlé de mon père. A vrai dire, je les longtemps cru mort, mais le jour de ton arrivée, ta mère a découvert la vérité. Elle est partit en repérage, elle était persuadé que mon père étais en vie, et elle avait raison.

C'était donc pour ça qu'elle était partie plusieurs jours. Il continua en s'asseyant.
- Il est prisonnier, dans la prison des ténèbres. Le roi des ténèbres le détiens et je n'ai qu'une envie, c'est de lui arracher la tête, mais je ne peut pas.
- Pourquoi, tu dois le faire, cet homme est cruel.
- Oui mais cet homme n'est pas n'importe qui, c'est James... James Jones.
Mon sang ne fit qu'un tour, venais-je de bien entendre? Venait il de prononcer le nom de mon père décédé?

- Ce n'est pas ce que je croit!
- Malheureusement si, c'est ton père Alex, l'homme cruel, celui qui détiens mon père depuis un ans.
- Mon père est mort!
- Alex, je suis obligé de te l'annoncer maintenant, demain je me rend au ténèbre, dicidé a ramener mon père.
- Je viens avec toi. Il nous rendra ton père, sans bagarre.
- Ton père n'est plus celui que tu as connu. Il a changer Alex.
- Il ne nous feras pas de mal, c'est un homme bon.
- Si bon, qu'il nous a enfermé dans une cellule récemment?
-C'était lui? Dis-je tremblante.
- Il l'a ordonné a Smith.
Les larmes coulèrent.
- Tu ne peut pas lui faire de mal.
- Moi non, je ne suis pas asses puissant, mais toi , si.
- Tu me demande de faire du mal a mon propres père! Celui qui ma élevé!
- Nous sommes obligés.
- Il y a une autres solution. Forcément. - Je ne crois pas...

Plus d'une heure c'était écoulé après la nouvelle. Jetais abasourdi, ne me rendant même pas compte que mon père n'étais pas mort, qu'il vivait et qu'il faisait partie du clan ennemi. Nous étions rentrer.
- Bonjour tout le monde. Dit la bande en coeur.
Mon regard ne quitta pas le sol.
- Bonjour ma cherie. Tenta ma mère.
- Bonjour menteuse.
- Je ne te permet pas.
- Tu crois que je t'aurais permis de déclarer la mort de mon père! Criai-je. - Tu voulais que je te dise quoi?
- Pas ça enfin!
- Ton père n'est pas un homme bien, il en mérite pas la colère que tu as en vers moi.
- Et toi tu ne mérite plus lamour d'une fille.

Mes mots étaient dur, ton comme mon expression. Je monta dans ma chambre, m'enferma a clé.
Demain je devrai me battre avec mon propres père...

The Witch Of MiamiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant