[Recueil OS] Reader X Personnages [En Pause]

[Eren x Reader] Mes sentiments...

Cet OS est dédié à Livai-Ackerman, j'espère qu'elle te plaira !

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Je m'appelle Eren Yeager. Je suis élève de terminale au lycée Liberty. J'aime les arts martiaux, mes amis Mikasa et Armin et manger. Mon rêve c'est d'être pilote d'avion. De pouvoir partir n'importe où, d'aller là où je veux, voler n'importe où sans craindre la tempête. Mais aujourd'hui tout ça on s'en fou.

20 Juin X025, épidémie faisant rage sur tout le continent. Maladie, les vivants meurent et les morts reviennent. Personne ne sait pourquoi ça à commencé. Personne n'a eu le temps de chercher pourquoi ça à commencer. Pour une raison qui m'ai inconnu je n'ai pas été touché. J'ai vu ma mère, mon père, mes amis mourir et devenir "un des leurs". En même temps que mes proches, mes rêves sont morts. Dois-je mettre fin à tout ça ? Je suis seul... Si seul... Plus personne n'ai en vie. La vie vaut elle la peine d'être vécue sans personne pour la partager ?

Quelque larmes coulent sur mon visage. Ma vie est devenue un néant. Un néant de solitude où les couleurs du ciel se confondent avec celles des portes des bagnoles. Plus rien n'a de saveur, la beauté du ciel, les détails de la nature, de l'urbanisme, du monde... Mes yeux ne voient plus qu'en noir et blanc.

Je me mets à hurler, j'agite mes bras dans tout les sens, j'hurle, j'hurle ma haine, j'hurle ma haine envers la cruauté de ce monde, ce monde qui nous créé, ce monde qui casse tout. Ce monde qui fais s'enfuir la vie. Ce monde magnifique qui fais tout pour que l'on ne puisse pas en apprécier la beauté.

Je sens quelque-chose derrière moi. Une présence. Je me retourne lentement, la conviction qui habitais mon esprit bagarreur à disparut. Elle a volé en éclats, comme ses débris de verre légèrement teintés d'un pourpre qui laisse facilement deviner que ce lieu est occupé par une présence dangereuse. Je suis complètement retourné maintenant. Elle est là. La chose. Une jeune femme, les yeux blanc, la peau blanche, les jambes ouverte, une grosse cicatrice sur le visage et des cheveux (c/c) qui laisse deviner un non-soin qui en aurait fait retourné mon prof de sport qui aime tant la propreté dans sa tombe.

J'ai décidé de ma mort. Mais je n'ai pas le courage d'y mettre fin moi-même, à ce cauchemar. Mais je peux prendre cette décision. Cette décision de ne pas bouger. La chose s'approche de moi, lentement. Je la regarde, j'apprécie la laideur de cet instant. S'en ai fini de moi. Sa bouche puant la décomposition est à 1 cm de mon visage. Dans la clarté obscur de la pièce, je laisse couler les derniers espoirs que j'avais en moi sur mes joues. Je ferme les yeux et attends.

Ça fais un moment que j'attends maintenant, elle n'a pas bougé. Je me risque à ouvrir un oeil. Elle m'observe. Qu'es-ce qu'elle attend bordel ? Ça lui suffit pas de me bouffer ? Faut qu'elle joue avec mes nerfs ? La tension monte en moi, ma résignation à mourir, je commence à la perdre, voir à la regretté. Puis devient très clair dans mon esprit. Je veux vivre. Je veux vivre. JE VEUX VIVRE !

Je cours. Je cours pour ma vie, je cours. Au bout de 5 minutes de sprint, je trébuche, complètement essoufflé. Mais quel idiot ! Une chose. Une autre. Elle arrive vers moi cette chose. Elle me fixe de ses yeux blanc remplis de rien. Je suis coincé c'est fini. Et merde Eren, t'es vraiment con.

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Ça fait deux jours que je suis avec cette chose. Mais mon appréhension à changer, même si je me méfie toujours. Elle m'a sauvé la vie. La jeune femme que j'ai croisé, avec les cheveux sales. Elle m'a sauvé la vie. Littéralement. Elle s'est jeté sur celui qui allait faire de moi un de ses repas.

Elle me raconte des choses en me montrant des objets. Au début j'ai halluciné. Je lui ai pas adressé un mot, pas un sourire. C'est égoïste mais elle me fait peur. Puis là, elle me montre la photo d'une montgolfière. Ça me rappelle mon rêve de voler. Elle caresse la photo ternie et sale du bout de ses doigts abîmées.

"M...moi..."

Je la regarde, elle vient de dire un mot. Elle vient de dire un mot. Non. C'est pas possible. Pourtant...

"M...moi... (T/p)...
-... T... Ton prénom c'est (T/p) ?"

Elle hoche la tête.

"Toi... ?
-Je m'appelle Eren.
-E...ren...
-Tu sais parler ? Est-ce que d'autres zombies peuvent parler ?"

Elle fait un signe d'ignorance, je soupire.

"Je te remercie de m'avoir sauvé la vie, et de ne pas m'avoir dévoré.
-Normal... Moi... Humaine...
-Tu n'es plus humaine...
-Coeur... Humain..."

J'écarquille les yeux. Cette fille zombie éprouve plus de sentiment que moi. Cette fille zombie se bat pour rester humaine. Et moi je suis là, et je me plains. Je suis jaloux. Carrément même. Elle à la même détermination que moi avant l'apocalypse.

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Ça fait maintenant une semaine que (T/p) me tient compagnie. Je lui sourit, elle me fait des expressions gentilles, enfin qui y ressemble, elle s'applique. Elle m'a apprit des choses comme faire de la flûte avec un brin d'herbe ou encore peindre avec des fleurs en les écrasants contre une feuille.

Je suis allongé tranquillement, elle m'agite une pâquerette sous le nez. Je la fixe, et pour la première fois, je la trouve agréable à regarder. Je sens une boule chaude dans mon estomac, et une sorte d'excitation inconnue dans mon ventre. Comme si j'étais très content, ou que j'avais très hâte de quelque-chose. Je ne me contrôle plus, je prends sa tête et l'embrasse. C'est beaucoup plus doux que ce à quoi je m'attendais. La pulsion qui m'habite dépasse le dégoût de son odeur et de la décomposition de ses lèvres. Je retire mes lèvres des siennes et la regarde, elle n'a pas comprit. Elle ne sait pas. Elle ne sait plus ce que ça veut dire. Ce n'est pas très grave. Moi je sais ce que ça veut dire, et c'est l'essentiel.

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C'est la fin !
J'aime beaucoup écrire comme ça aussi *^*
J'espère que ça vous à plût ! Surtout toi ma plante qui mange des princes !

N'hésitez pas à me demander de nouvelles histoires ! En MP où ici comme vous le voulez ! :')
J'accepte absolument tout ^-^

Sur ce BYE FELICIA
(Oui je pique ta réplique pour ce chapitre ma femme !)