Levé de soleil...

14. Camille

Nous nous arrêtâmes, et nous fîmes du sur place. Nous nous sommes retournés quand nous avons entendu les hurlements. Elle en a touché le plus possible en même temps pour se décharger. Mais il y en avait beaucoup d'autre. 

Éléna se propulsa vers eux, nous tous à sa suite. Nous n'avions pas d'armes, mais les fils de Satan, eux, en avait. Ils nous donnèrent un couteau chaque rapidement, pendant qu'ont se dirigeait vers eux à toute vitesse.

J'enfonçai ma lame dans l'aile d'un démon, puis dans l'oeil d'un autre. J'envoyai un coup de poing dans le visage d'un démon qui essayait de surprendre Éléna par derrière. Je me pris un couteau sur la jambe, mais sa ne me ralentit pas trop. Après plusieurs minutes, ils étaient tous tombés inconscient. Oui, seulement inconscient, parce que pour tuer un démon, il faut des lames spéciales et je doute que les fils de Satan aie sa sur eux.

-Nous les ramassons, dis-je.

-Quoi?!

-Nous devons les ramener au Paradis et essayer de leur faire entreprendre la rédemption. Les faire redevenir des anges, compléta Sacha.

Ils grognèrent, mais nous descendîmes tous quand même.

-Nous en prenons deux chaque. Ils sont légers.

Facilement, nous en prenons deux chacun. Et moi, je cachai le sang qui dégoûtais de ma plaie.

Après quelques autres heures, nous arrivâmes enfin à New York. Ma plaie me chauffait. Je bougeais trop, mais se n'est pas une coupure très... Très impo... Importante...

-Camille!!!

Je tombais, impuissante. Je n'ai plus de force, et les démons m'entraînent avec eux à cause de leur poids. Le choc pourrait les réveiller.

L'eau claqua. Et je parti pour le Paradis. 

Je ne suis pas morte, le portail, c'est l'eau dans le central parc.

-Enfin...

Le sol du Paradis. Ma blessure guérit instantanément.

-À moi les gâteau au chocolat!!!

Je levai, laissai les démons par terre à côté du portail et me précipitai vers la résidence divine.

Les autres arrivèrent et firent la même chose. Les garçons nous suivîmes sans se poser de question.

-À la bouffe!! hurlais-je.