I hate you, I love you...

Chapitre 5: Father

PDV Hermione:

Dumbeldore et Slughorn arrivèrent en courant, ou du moins en trottinant, dans le Grande Salle. Tout le monde devait rester ici puis le directeur prit la parole, il avait l'air grave bien qu'un soupçon de peur put se lire dans ses yeux.

-"Nous avons subit des attaques, certains mangemorts et des créatures de la forêt, pour l'instant le château n'est pas touché mais il se pourrait que cela arrive, toute sortie est donc interdite. Les professeurs et moi-même avons décidé de ne pas vous laisser dans vos dortoirs , ce soir vous dormirez tous dans la Grande Salle, demain des petits dortoirs seront improvisés partout dans le château. Vous dormirez et passerez vos journées avec votre binôme, vous ne devrez jamais au grand jamais vous séparez. Les 6° années allez rejoindre votre camarade, les autres mettez vous par ordre d'année et venez vers vos professeurs pour connaitre votre binôme. Nous vivons des heures sombre alors je vous prierais de ne pas faire d'histoire, les binômes sont mixtes, ils mélangent des maisons mais rappelez vous bien que c'est dans l'unité que la force est la plus forte."

Au secours ! Je ne veux pas dormir avec Drago, je sais bien que c'est pas vraiment le moment de se plaindre mais là ça fait beaucoup en plus je serais séparé de mes amis, j'ai toujours peur qu'il leur arrive quelque chose, c'est tellement devenu notre spécialité, les problèmes, que ça me rend folle quand je ne peux pas être avec eux. Pourquoi les profs ne nous renvoient-ils pas tous chez nous ? En plus je n'avais reçu quasiment aucune lettre depuis mon départ, c'est assez étrange mais je n'avais pas vraiment eu le temps d'y penser. Les profs nous demandaient de rejoindre notre camarade rapidement, je partis donc vers Drago en faisant un dernier câlin à Harry et à Ron, je pouvais ressentir toute la peur des garçons et surtout de Harry qui connaissait la menace que représentait ces attaques, et qui, comme toujours, repensait à tous ses proches mort, ses parents, Sirius, ...

PDV Drago:

Je commençais vraiment à paniquer, Granger et ma mission étaient deux choses complètement incompatibles, si en plus ces attaques se font régulières on risque de subir une surveillance qui pourrait s'avérer étouffante. Granger arriva vers moi, elle me regarda rapidement, elle choisi sa place pour dormir, je ne fis pas le difficile. Nous commencions à nous endormir mais un bruit sourd et bourdonnant se fit entendre. D'un geste bref et agile Hermione se colla à moi. J'étais surpris mais la peur qui me tenaillait fit que je ne lui dit rien et même mieux je la serais contre moi, contre mon cœur. Je sentais mon cœur s'emballer, le souffle chaud d'Hermione contre mon cou m'apaisait. D'un seul coup, je vis Rogue rentrer, ils venaient informer les préfets que de nouvelles attaques venait d'arriver mais que des detraqueurs venaient chercher les coupables. J'eu à nouveau de l'espoir jusqu'au moment où j'entendis le nom de mon père, je me levais d'un bon, d'un geste brutal en abandonnant Hermione mais Rogue me vit et me rattrapa, je tentais de ne pas faire de bruit, je voulais être seul face à ça, je tentais de me sortir de l'étreinte de mon professeur, je devais aller sauver mon père, ainsi est la devise des Malefoy: "Un pour tous et tous pour un". Rogue était plus fort que moi et je ne pus m'échapper, alors Dumbeldore arriva et informa les préfets, Rogue et donc moi, que tous les coupables des attaques ont été arrêtés. Je m'effondrai par terre, en pleure, peu de choses peuvent faire perdre la face à un Malefoy mais la famille est un point d'encrage pour nous.

PDV Hermione:

J'entendais les sanglots de Drago, il étais près de la porte, pas très loin de notre lit, c'était trop pour moi, je me levais, je regardais autour de moi, personne n'était éveillé, je m'approchais de lui. Je sais qu'il ne m'aime pas mais pour l'instant je suis son seul soutient avec Rogue. Je ne pouvais supporter de voir quelqu'un aussi mal, je décidais alors de l'emmener à l'écart, je tentais de le soulever tant bien que mal et nous partions vers une salle vide.