(P.D.V. Alie)
J'était couchée dans le lit et passait mollement ma main sur les draps soyeux. Ma journée ayant été assez mouvementée et chargée en nouvelles, pas très bonnes d'ailleurs, m'avait épuisé. Lorsque j'avais aperçu Fiona, j'avais sentit une immédiate complicité s'installé entre nous. Moi, elle et le roi avions engagés la conversation lors du repas et avions tenté d'ignoré l'attitude de son fils. Pour une raison qui m'est inconnue, je me mis a penser a Sun. Il avait reagit bizarrement a mon arrivé. Au début, il semblait captivé par la vision que je lui offrait et quand je m'était assise a ses cotés, il était devenu, à mon grand étonnement, mysterieusement en colère et m'avait évitée du regard jusqu'a la fin du repas. A ce recul, j'avais fait de même. Je soupira et me recrocveilla un peu plus sur moi-même.
《Oh maman.. Dans quel pétrin me suis-je fourrée ?》
Impuissante, une larme chaude perla sur ma joue, puis vint s'en ajouter une autre, puis une autre encore, avant que je ne finisse dans un torrent de larmes. Mes yeux étaient rouges et gonflés a force de pleurer toutes les larmes de mon corps et mon oreiller rouge avait maintenant plusieurs taches sombres et humides. Quand ma réserve lacrymale fut a sec, je pu enfin penser correctement.
J'allais m'enfuire, trouver un moyen de m'échapper de cet Enfer.
Heureusement pour moi, j'avais remarqué que je pouvais me promener a ma guise dans le château, tant et aussi longtemps qu'une de mes "servantes" m'accompagnaient, le roi avait incité sur ce fait. Durant la soirée, Anneline et moi étions devenues pratiquement inséparables et elle me suivait presque partout. Oui, Anneline m'aidera probablement.
《Maman... J'arrive bientôt je te le promet... Je ne te laissera pas tomber.》
Un plan germa lentement dans mon esprit.
Une idée.
Une solution.
Une sortit possible.
Mais cela pourra prendre du temps.
Mais ne dit-on pas : tout vient a point a qui sais attendre ?.....
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Elaynne
FantasyELAYNNE En Elaynne,un jour, où tout allait bien entre hommes et femmes, une maladie inconnue se propagea et toucha la pluspart des femmes du royaume. Toucha même la précieuse femme du roi. Au fil des ans, les femmes touchées moururent et 10 ans plus...