L'amour de Laurina (Charlie Puth fanfiction)

"Je veux pas te perdre."

Je me réveillai le lendemain matin vers midi. Je finis par comprendre que Charlie n'était pas un lève-tôt. Je me levai donc pour aller faire le petit déjeuner. Une fois sortie du lit je regardai Charlie. Même si ça fessait quelque fois qu'il dormait chez moi je ne me tannais pas de le regarder dormir. Il avait tellement l'air tellement serein et bien.

Je me dirigeai vers la cuisine. En regardant par la fenêtre je remarquai immédiatement le soleil fantastique qu'il fessait à l'extérieur ce qui me mis encore plus de bonne humeur. Je nous fis des crêpes. J'ai toujours aimé les crêpes quand j'étais plus petite ma mère m'en fessait tout les dimanche c'est devenu un peu comme une tradition. À la seconde où je commençai les crêpes, Charlie sorti de la chambre tout endormi et en baillant.

-Regardez le paresseux qui vient enfin de se réveiller!

-Tu sauras qu'à la seconde que tu t'es réveillé moi aussi alors toi aussi tu es paresseuse.

-Est-ce que je t'es réveillé? J'ai pourtant fais attention.

-Ne t'en fais pas tu ne m'as pas réveiller c'est seulement que je sais immédiatement quand je suis seul dans le lit et je n'aime pas ça.

-Ah alors c'est pour ça que tu dors chez moi au lieu d'à ton hôtel?

Il vint mettre ses mains sur ma taille qui était tournée à lui vers le comptoir et déposa un petit baiser dans mon cou en caressant de haut en bas mes hanches.

-Ça et pour autre chose aussi...

Je me retournai doucement vers lui. Je baissai un peu ma tête pour regarder son ventre mais il me la remonta rapidement pour que nos yeux se rencontrent. Je souris doucement en mettant ma main dans son cou. Il me souleva doucement pour m'asseoir sur le comptoir et en profiter pour m'embrasser. Un fois bien assise sur le comptoir, il déposa enfin ses lèvres sur les miennes tout en continuant de me caresser les hanches. Je respirai ardemment mais adorai le sentiment qu'il me fessait ressentir.

-Est-ce que tu veux déjeuner?

Il regarda pendant quelques secondes les crêpes et remonta ses yeux vers moi.

-Peut-être plus tard.

Dès qu'il finit sa phrase il me souleva rapidement et m'apporta vers la chambre. Il finit par me lancé sur le lit et vint me rejoindre à la seconde où j'atterrie dans le lit.

-On a déjà brisée la promesse une fois. Tu veux vraiment la brisée encore une fois?

-Tu sais pas? Je suis un mauvais garçon.

Je me mis à rigoler en regardant son interprétation d'un garçon rebelle.

-Quoi tu ne me crois pas? Laisse-moi faire et ne bouge pas.

Il attrapa mes bras forcement et les cloua au-dessus de ma tête. Il commença à balader ses lèvres de mon cou en descendant de plus en plus vers mes seins mais sans jamais les touché. Arrivé en haut de mon sein droit je commençai à gigoter un peu et à déplacer mes mains vers son corps tellement c'était plaisant mais au premier mouvement il remis mes mains exactement où elles étaient.

-J'ai dis ne bouge pas.

Étonnamment, la sévérité qu'il fessait preuve pour la première fois m'excita. J'aurai été supposé lui demandé tout arrêter mais pour une raison inconnue la façon qu'il me traitait je ne me sentait pas puni mais plutôt récompensé pour mes efforts ce qui allumait quelque chose en moi que je ne connaissais pas. En le remarquant, il continua de serrer mes poignets de plus en plus fort. Je me mordis doucement la lèvre.