chapitre 1- Jayden

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Je fesais mon jogging matinal comme chaque matin. Plus j'avançe plus j'augmente le rythme de ma course. Les battements de mon coeur s'éveillent et part en vrille. Mon souffle se fait saccadé. Je donne un petit coup d'oeil à ma montre tactile et voit que je suis rendu à 3km. Encore 2km et j'arrive chez moi.

New York est rempli de monde mais les parcs sont tranquille le matin. Je commence à travailler dans environ 3 heures. J'augmente encore le rythme. J'adore dépasser mes limites et encore plus quand j'accentue les limites des autres. J'adore contrôler, avoir possession de ce qui m'entoure.

Une bonne heure plus tard je suis dans l'ascenseur qui monte à l'étage de mon appartement. Cravate en main et café de l'autre j'entre dans l'immeuble avocats Inc.

- Bonjour Claire, dis-je en passant devant le bureau central.

- M.Allen, me repond-elle avec les joues roses.

Elle croit que je le remarque jamais avec la tonne de fond de teint qu'elle se met pour le caché. Desolé miss mais ton masque de nuit ne cache pas l'envie de me baiser à chaque fois que tu me voie!

C'est probablement pas la seule dans tout l'immeuble qui m'imagine la chevauché comme les guerrier dans le film 300, mais ce que les femmes ne savent pas, c'est qu'un homme comme moi ne veux pas d'une femme qui change pour arriver proche de la beauté du sexe opposé. Mon genre à moi est une femme qui sais que l'homme est beau mais qu'elle peux le surpassé sans même se bourré de pilule ou acheter tout ce qui passe à la télé. Une femme normal qui s'assume et ne se rabaisse pas juste parce que les autres ne la regarde pas. Mais qu'est ce que je dit? J'ai besoin d'un autre café bordel!

À peine assied dans ma chaise rembourré que Claire, la secrétaire, cogne à ma porte timidement.

- Oui Claire?

- Monsieur, je ne veux pas vous dérangez...

- Claire votre travail est de déranger les gens alors dites ce que vous avez à dire.

- Oui bien sure, dit-elle avec un ricanement imbécile. Vous avez un rendez-vous à 10 heures suivit d'une rencontre avec la famille du juger.

- D'accord merci.

- Bonne journée monsieur.

- Vous êtes encore là ?

Gêner de se faire répondre aussi sèchement j'entends la porte se fermer sur elle sans un mot de plus. Mais pourquoi s'obstiner quand elle voie bien que je ne la veux pas dans mon lit? À bien y penser, je pourrais peut être me la faire cette nuit?

Le travail est long mais il fini enfin. Le sujet n'est pas facile a suivre et mon client va etre difficile à disculper.

Je choisis les marches pour me rendre dehors et rendu au 2ième étages la porte s'ouvre juste avant que je l'ai fait ce qui cause une mini collision entre la femme et moi. Une petite femme avec les cheveux noire d'ancre.

- Oh je suis désolé, s'exclame-t-elle toute confuse en me regardant.

Je lui fait le plus beau de mes sourire.

- Ne vous excusez pas m'dame c'est de ma faute également.

J'accompagnais ma phrase avec un grand geste des bras pour la laisser passé.

- Hé bien un jeune homme très polie est rare de nos jours merci bien.

- Tout à fait d'accord avec vous, mais quand on en rencontre un il faut en profiter au maximum n'est - ce pas? Dis-je avec ma voix séductrice.

Je sens son désir bondir d'un seul coup, je regarde furtivement sa main gauche voir s'il n'y a pas d'alliance, il n'en a pas. J'aime couché avec des femmes mais seulement celles qui sont libre je suis un gentil homme quand même!

Alors que nos regard reste attaché, ces joue rosisse et elle se passe la langue sur les lèvres, preuves qu'elle en veux.

- Je vais dire comme vous, je suis tout à fait d'accord avec vous.

"Femme facile" me dit la petite voix dans ma tête"

Et elle me suis jusqu'à mon appartement où je la fais entrer en premier. Je l'amène directement a ma chambre et elle ne proteste pas, comme toutes les autres. Elle se retourne et je voie un brin d'hésitation dans ces yeux avant qu'elle dise:

- Je ne connais même pas votre nom.

- Pas besoin de connaître mon nom vous n'avez qu'à gémir ce que vous voulez en temps et lieu.

Juste après ces mots, je la voie quasiment jouir devant moi! C'est un délice de voir ce qu'on peu faire aux autres juste en prononçant quelques mots.

Je fait un pas lentement vers cette femme au cheveux foncé et un autre et je sais qu'elle ne bougera pas d'un centimètres alors je la plaque au mur avec mon corps ferme et dur. Elle halete déjà, ça ne va pas être long. Je l'embrasse délicatement avant de lui mordre carrément la lèvre. Ce qui la fait gémir de plaisir. Elle me prend par les biceps et les presse délicatement. Je lui prend le dessous des fesses et je la soulève facilement. Elle porte une jupe ce qui me facilite la tâche. Alors, quelle ne fait aucun geste pour m'enlever mon pantalon, je le fait à ça place et bientôt je la pénètre tranquillement. Son souffle de satisfaction effleure la peaux de mon coup. J'accélaire le rythme de mes va et vien. Je la sens déjà perdre la maîtrise d'elle même, alors je la pilonne comme je l'ai fait tant de foi et je me déverse en elle en même temps qu'elle cri, un cri bien simple comme toutes les autres.

Elle se remet debout en me regardant d'un aire fatigué et attend. Que faire? Je la dirige vers la cuisine ou je lui sert un verre d'eau et je m'assis dans mon divan en L. Elle me rejoint et s'endort paisiblement en me marmonnant un petit merci. Je la regarde et je prend même pas la peine de lui répondre.

Je me lève et va dans ma chambre. Je met un boxer et va m'étendre dans mon lit avec ma tablette. J'étudie un peu le dossier sur lequel je travail et je m'endors sans même penser à la fille qui c'est assoupis dans mon salon juste de l'autre côté du mur.

Il n'y a pas de correction dans mes chapitres

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