Domination

chapitre 2- Eva

Une journée comme les autres, un mardi brumeux et le klaxon des voitures dans la rue. Moi, une étudiante, supposée étudier la science de la nature. Le pire dans tout ça c'est sans doute que je déteste les sciences! Oh oui, je déteste au plus au point les sciences. C'est une véritable torture quand j'entre dans mon cours, mais j'ai de bonnes notes sans vraiment comprendre ce que j'écris. Je dois sûrement être débile ou quels que chose dans le genre!

Alors, que je bois ma tisane au citron en regardant dehors, je pense à ce que je faire  de ma vie. Que vais-je faire de toutes ces années d'études? Où vais-je aller? Me faudra-t-il un stage? Je ne sais même pas réellement si je veux aller dans le domaine vétérinaires.

Je fait dur. Vraiment dure.

Et pendant que je me morfond sur ma vie mon Samsung sonne une musique stressante ce qui donne un choc à mon cerveau un instant et je degel enfin pour me précipité à répondre pour donner un "break" à ma pauvre tête.

-hé bien chaton , que fait tu ? Dit la voit d'un gars au bout du fil.

- euh... a qui ais-je l'honneur?

- Chaton tu te fou de moi ou quoi ? On c'est vu la fin de semaine passé c'est ta copine blonde platine la ...euh elle ressemble à une Natacha, qui nous a organisée cette baise.

Crétin. Un véritable crétin. Cette "Natacha" c'est mon amie Corine. Elle est grande, mince, bronzé, mais pas aussi branché que moi bien sure.

Qu'elle soit jolie ou pas je vais la tuer. Elle le sait que je ne veux pas que les gars que j'ai fréquenté, en fait ... que je me suis tapé me rappel. Je ne rappel, ne donne jamais, dans aucun cas,donne la chance a mes conquête d'un soir de me recontacter ce que je ne fait pas non plus.

- Ah oui d'accord, et pourquoi vous m'appelez ?

- Chat... commenca-t-il.

- Arrête de m'appeler chaton tout de suite.

- dacodac cha... euh toi! On peut se revoir ?

Bon dieu, c'est ce qu'on appel sauter du coq à l'âne. Je ne suis pas habituer, même vraiment pas à ce genre de moments. Oh que je suis gêner. Batard pourquoi être gêner pour un pauvre con dans son genre. Le meilleur moyen c'est de stoppé ça nette et clair:

- Non désolé j'espère que tu passe une belle journée bye! Et je raccroche aussi vite que j'ai répondu.

Ouf! J'y est échappé belle.

J'ai parlé trop vite. Mon téléphone crache encore une foi la chanson démente. Je regarde l'afficheur pour être sûre de ne pas gaspiller une fois de plus ma salive pour rien. L'afficheur annonce le nom de Barckley.

- hé bien hé bien! Tu m'appelles et non moi ? C'est une nouvelle! Ou dans le cas contraire quel qu'un est mort.

Sous son rire contagieux j'entends d'autre voix, alors je devine qu'il est encore dans son cabinet d'avocats. J'ai déjà penser m'en aller dans ce domaine. J'ai complètent refuser après que j'y ai passé une journée avec Ckley. Ce métier ne devrais même pas exister! Une tonne de travail pour défendre des causes inutile la grande plupart du temps. Inutile.

- T'es vraiment stupide, non je me demandais si tu pouvais pas venir me chercher au cabinet ? Parce que tu le sais bien je n'ai plus d'auto.. après que je l'ai prêter à Alex elle n'est plus réutilisable, dit-il sur un ton humoristique mais teinté de gravité ce qui me fait penser qu'il est pressé.

Barckley, comment dire, il est une personne remarquable. Il est différent dans son genre et il n'est pas comme les autres. C'est mon seul ami garçon parce que tout les autres hé bien ... c'est une histoire d'un soir. Avec Barckley au début c'était comme ça que je m'en lignais, jusqu'à ce que je sache qu'il n'étais pas mon genre et que je n'étais pas le sien. Depuis ce malentendu, on est comme les deux doigts de la main. Il est comme mon bras droit, si j'étais  une reine il me conseillerais et me dirait son avis sur les décisions à prendre.

Je monte vite fait dans ma petite golf rouge, ravi de sortir de ma boite en carton qui me sert de "maison". Je roule de peine et de misère jusqu'au centre ville pour atteindre le cabinet d'avocats le plus réputé de la ville.

Le trafic me rend folle, mais j'ai de la bonne musique qui me tient compagnie et je ne me gêne pas de chanter, quasiment crier, à tu - tête les paroles que je ne connais la plupart du temps pas.

<<Breathe deep, breathe clear
Respire profondément, respire librement

Know that I'm here
Sache que je suis là

Know that I'm here
Sache que je suis là

Waitin'
À attendre

Stay strong, stay go
Reste forte, continue d'aller

You don't have to fear
Tu n'as pas à avoir peur

You don't have to fear
Tu n'as pas à avoir peur

Waitin'>>
D'attendre

Une chanson qui joue dans le film "si je reste" aucun film ne m'avait fait pleurer autant jusqu'à ce que j'aille au cinéma, que je m'installe dans le banc et que ce fameux drame commence.

Alors, c'est en chantant que je me gare dans la seule place de stationnement disponible proche du cabinet. J'attends quelques minutes et je le vois. Un pré - homme. C'est comme ça que je l'ai appel les garçons de mon âge qui se laisse pousser juste pour un début de barbe.

Barckley ma déjà dévoilé que ça leur procurait un sentiment de devenir un homme, mais en même temps de garder leur immaturité de jeune con. Ça doit marché. Et à dire vrai, ça ne me dérange pas du tout. Sentir de petit poils naissant qui te chatouille l'entre jambes quand vient le temps de se procurer du plaisir, ça donne un très gros avantage au garçon.

Il entre précipitamment dans l'auto et me regarde avec un gros sourire.

- Quoi ? Qu'est - ce qui c'est passé dans ta journée pour que tu es l'air aussi stupide, dis-je le regardant avec un air suspicieux,mais en ayant un ton humoristique.

Cette aire était sans aucun doute bienvenue dans la déclaration rapide qu'il me fait en suite:

- Écoute, ça ne fait pas très longtemps que je travaille dans ce cabinet, alors je ne connais pas tout le monde et à chaque jour j'en rencontre de nouveaux et ceux-ci deviennent des amis et après on va boire un verre et ont s'organisent des soi...

Je l'arrête net dans son élan, car si je le laisse divaguer encore longtemps je vais avoir le temps de mourir de vieillesse avant qu'il est le temps de me dire pour vrai ce qu'il était supposé me dire dès le départ.

- Passer à l'essentiel je vous pris monsieur le jury.

- Tes conne tu sais ! On te la sûrement déjà dit non ? Alors, ce que je disais en gros c'est que j'ai rencontrer le plus populaire des avocats dans le cabinet et.... Oh mon dieu, il est là ! Regarde - le, un étalon comme on en a rarement vue. Je le sauterai dans mon bureau s'il étais homo. Et je ne rigole pas!

L'homme auquel faisait référence Ckley est un homme haut sur pattes, avec les cheveux châtain pâle, avec un teint début bronzage d'été, ce qui veux dire parfait. Il est très bien habillé, cravate, souliers cirer, chemise et pantalons hyper propre. C'est yeux sont caché par des lunettes solaires ultra cher. En gros tout ce qu'il porte coûte plus cher que mon auto en entier et tout ce qu'il comporte à l'intérieur aussi.

Barckley a raison. Il est à tomber par terre litérallement. Et encore plus quand je crois qu'il braque son regard sur moi, je ne vois meme pas ses yeux et j'ai déjà chaud juste à voir le mystère qu'est cet homme.

Il n'y a pas de correction dans mes chapitres alors soyez indulgent! 😋