Chapitre 11- Eva

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Un mal de crâne me vrille la tête. Je me suis fait ramasser par un bus hier en rentrant chez moi ou quoi? Non attend une petite seconde, je ne me suis pas fait rentrer dedans, mais des putain de connards ont rentrés chez moi pour me flanquer une raclé. Pas la pire que j'ai reçu, mais une raclé quand même. 

Je me lève tout doucement de mon lit, m'ébouriffa les cheveux et je sens une bosse sur le côté droit de ma tête. Pas bon signe! Je continue de me palper le corps et mon corps s'embrase juste a sentir un contact chaleureux.

WOAH! tu te clame Liby Libido.

Mes mains touchent ma figure qui me semble intact, je parle pas de la douleur, mais peut-être qu'elle n'est pas déformée, si j'ai de la chance. Au niveau des bras je ne sens rien, cependant, quand j'arrive aux épaules je sursaute légèrement et je crains qu'elles n'aient pas été épargnées. Je regarde mes jambes et elles sont parfaitement alignées, ma cheville droite est légèrement enflée et elle me fait souffrir, mais se doit être a cause des vingts coup de pieds que j'ai lancé au pauvre con sur mon tapis. 

En parlant de pauvre con, ou est Jayden?

S'il est partie, oh misère, je peine à croire à toute les images de trotures qui me vienne en tête. L'écartèlement, la pendaison en secousse, le poison à la minute, arracher les ongles, couper chacun de ses membres tranquillement ou encore de lui priver de cul! Ça c'est la meilleure, qui ne souffre pas autant qu'un homme privé de sexe. Hilarant. 

À ces mots, je sens une odeur de café à la noisette parfaitement moulu. Oh que sa sent bon! Comme un robot, je suis le filet de nuage comme dans les films celui où le filet entre dans les narines. Ça ne m'étonnerait pas de me voir sourire comme une vraie débile juste au contact de cette merveilleuse essence de vie contre mon champ sensoriel de l'odorat.

Mes pieds me font mal, mais je réussi à atteindre ma petite cuisine sans trop perdre l'équilibre. Juste au moment ou je pénètre dans la cuisine je culbute sur un petit meuble ou se trouve une fleurs fané depuis des siècles. Ça me fait un mal de chien et essaie de me rattraper avec mon pied qui me fait autant mal. Échec total. Le poids sur mon pied me fait céder et je me vois grimaçante, les yeux qui louche et poussant un petit rire de conne tombé lourdement. M'affalant par terre je trouve le sol assez chaud et assez mous. Par un hypothèse assez grotesque, je pense que je me suis évanoui avant de tomber et je me retrouve sur de beaux nuages.

- WOW!!! Enfin un peu de tranquillité, j'en est assez de toujours vivre dans le stress, je devrais m'évanouir plus souvent. En plus, c'est le top je peux me retrouver dans les bras du sexy Jay sans le demander et sans malaise. C'est tout simplement fantastique, pensais-je les yeux mi-clos.

- Ouais ça serais parfait à un détail près... 

- Oh chut Jaydeeeeeeeeeeen c'est moi qui suis dans les vapes, donc c'est moi qui décide!

- Donc je disais à un détail près, ouvre les yeux cocotte, tu n'es pas dans les vapes, je t'ai seulement sauver avant ta chute, déclare l'apollon de mes rêves.

Je sursaute violemment et finis où j'aurai du finir cinq minutes plus tôt.

- Putain de merde, soufflais-je

- Il n'y a pas de mort d'homme, quel mec ne veut pas entendre qu'il est désirer tel Apollon, s'esclaffe-t-il.

Je le fusille du regard, un de ces regards que tu ne veux pas affronter.

- Tout doux le dragon, je ne faisais que rigoler, aller viens prendre ta dose de café. Foutu drogué! Chuchote-il en se retournant vers la cuisinière.

- Pfft!

Liby est revenue en force avec les grandes mains imposantes d emon héro. Une tonnes d'images de lui me chevauchant comme un étalon digne de ce nom!

Sur ce je me dirige vers la cuisine et me jette sur ma tasse de café bien chaude posé sur l'îlot central. La chaleur fait du bien à mes mains meurtries et je me revois encore hier dans les bras d'un mercenaire que je ne connais point. À bien y penser, Jayden avait 100% l'aire de les connaîtres ou bien le contraire, bref il y a connaissance, donc raison pour l'attaque d'hier.

- Au fait, c'était qui ces salopards ? Je devrais appeler la police pour infraction et violation de domicile, déclarais-je de but en blanc les yeux non-levé de ma tasse de café.

Je me redresse quand je le voie soupirer lourdement. M'attendant à une réponse vague et un regain de colère envers le sujet, mais au contraire, il se met a parler sans arrêter:

- C'était des gars d'un gang qui travaillait avec moi avant, je voudrais bien te dire qu'il n'y a as de quoi s'en faire, mais malheureusement il faut craindre leur retour et planifier notre contre-attaque. Le premier je ne l'avais jamais vue, ce doit être un nouveau, c'était peut-être même son initiation pour voir s'il rentrait bien dans le moule. Avec réflexion je pourrait bien comprendre pourquoi ils m'en veulent, mais va savoir ce qu'ils trament. C'est assez louche même, bon je m'égard. Le deuxième ça fait quand même assez longtemps que je le connais, j'ai travailler avec lui et sa bande de cons sur une affaire de fusillade dans une petite banque du coin.

Après un petit arrêt de sa part, il repart sans m'adresser un coup d'oeil. Le ton grave comme s'il me déballait la chose qu'il n'avait jamais dit à personne.

- Il y a une fois seulement où je n'ai pas voulu coopérer avec une de leurs conneries. Un ''léger'' meurtre comme ils disaient. Mon cul ouais, un meurtre bordel! C'est pas rien. Je n'ai pas voulu les couvrir sur ce coup là. Je suis une merde ouais je sais, mais delà à caché la mort d'un humain. Je me suis fait un max d'argent, c'était payant, je faisais plus que deux médecins en même temps! Par contre c'était risqué, le défi de courir après la merde sans qu'elle te retombe dessus, magique est le seul mot. T'en penses quoi?

J'ai la bouche à terre. littéralement. Une chance que je suis assieds et que j'ai stopper ma consommation de café pour ne pas lui cracher directement au visage.

- Ce que j'en pense? TU TE FOU DE MA GUEULE OU QUOI?

Impossible de me contenir, j'explose.

- Couvrir un meurtre, je répète un MEURTRE! Mais quel test essaie-tu de me faire passé ? Dis-je en le pointant du doigt.

Je le regarde avec des couteaux dans les yeux. Il essaie de me faire gober qu'il travaillait pour la justice, mais qu'il faisait passé l'argent avant ? C'est répugnant, il me dégoute. Devant moi je n'ai plus un beau gosse, mais un criminel qui n'a aucun bon jugement!

- Tu sais que tu me fait craqué quand tu t'énerve comme ça? Dit-il avec les yeux mi-clos. Tourne toi tout de suite.

Mais de quoi il me parle! Il est dérégler au niveau de la cervelle celui-là. Je dois m'enfuir, c'est la seule façon de soutenir ma santé mentale.

- Tourne toi tout de suite, je ne le répéterai pas Eva, chuchota durement en avançant d'un pas.

- Pourquoi me retourner ?

- T'es intelligente a tes temps toi ma belle, tu te tourne pour que je puise t'arracher ton linge un par un et te prendre entièrement pour moi.

Un autre pas. Je ne bouge pas.

-Allez Eva, tu joue a un jeux dangereux.

- Non, répondis-je en contradictoire avec mon entre jambe qui vibre déjà de plaisir.

Un autre pas.

Et puis un autre.

Devant moi il me regarde doucement, mais avec une once de colère . Le défier comme ça m'excite encore plus. Nos odeurs se mélangent, nos phéromones entre en contact et c'est plus fort que moi, j'agrippe ardemment ses cheveux et mord son lobe d'oreille.

Un peu surpris il recule de deux pas, mais je ne le lâche pas.

LA voix basse je lui susurre a l'oreille:

- Moi me retourner en premier ? Non, mon beau, tu vas faire tout ce que JE veux.

Je me recule, le regarde droit dans les yeux, son sourire s'agrandi, son regard devient chaud, son pantalon devient plus serrer.

Je l'empoigne doucement, glisse ma main dans son étroit tissu et rest là devant lui à le voir soupirer d'aise.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 26, 2019 ⏰

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