Domination

Chapitre 9- Eva

Un bon bain pour finir une journée rempli, de l'eau chaude, du savon odorant à la pomme grenade, de la mousse et des chandelles tout autour. La lumière tamisé et une petite musique de Yann Tiersen en fond. Rien de mieux!

Je décompresse de ma journée, quand j'entends mon cellulaire émettre la petite musique habituel m'avertissant que j'ai un appel, évidemment.

Je sors de mon bain à contre coeur et je m'enroule dans ma seule serviette moelleuse que j'ai. Je jogg rapidement vers mon salon manquant de près de me casser la gueule sur le bois mouillé par mon corps dégoulinant d'eau. 

- Oui allo? Déclarais - je hors d'haleine.

- Mademoiselle Stevenson.

Arg.

- Elle même, qui est-ce?

Comme si tu ne le savais pas! Fait pas la sotte.

- Le patron, enfin votre patron eh bien... Jayden Allen? Ou Monsieur Allen, Jayden, comme vous voulez.

Il les a tous faites, passant de patron à seulement Jayden. Il y a du progrès.

- Oh je ne  m'attendais pas à vous, que se passe-t-il ?

- Vous vous ne vous attendiez pas à moi ... Mais à qui vous ... Laisser faire, bon ce que je voulais vous dire c'est que je suis chez moi et j'ai de la difficulté à me lever pour aller pissé vous auriez pas un remède magique pour m'aider? S'exclame-t-il du tout au tout.

- Hé bien! Monsieur à besoin d'une main en surplus pour tenir sa queue quand il pisse, pauvre handicapé! (Non sa queue est bien trop grosse, c'est pour ça qu'une troisième mains ne serais pas de refus...) Dites - vous qu'il y a du monde qui son pris dans des situations pire que vous donc arrangez-vous avec vos petits problèmes. Je ne suis pas une femme assistante au foyer en plus des problèmes que je me trimbale à juste travailler avec vous, dis-je.

Un silence tombe entre nous a travers des combiners téléphoniques. Juste un léger respire à l'autre bout du fil me rassure que je n'ai pas parler dans le vide. Après deux bonnes minutes de silence, il murmure d'une voix fluette:

- Pourquoi travailler pour moi dans ce cas là?

Déboussolé par sa réponse je retombe en marché défensif.

- Parce que j'ai besoin d'argent et que mon petit revenue piteux dans le marché au coin de la rue n'arrive pas à couvrir tous mes petits besoins.

Un autre silence plus pesant que le dernier se pointe le bout du nez, mais heureusement je décide de briser se malaise redondant.

- Donc, appeler votre très cher maman pour vous aider à uriner je ne vous aiderez certainement pas.

- Je n'en ai pas, souffle-t - il.

Convaincu de n'avoir pas compris je lui demande de répéter et plus clairement il m'annonce qu'il n'a pas de mère. Comment voulez - vous que je réagisse à ça ? Impossible.

J'ai beau me traiter de toute les noms je ne sais pas lequel me ferais le mieux? Conne. Conasse. Salope. Ingrate. Et j'en passe.

Le silence le plus long de ma vie s'installe au bout du fil et j'attends un moment espérant que la phrase: "Bien non je rigole passez une belle soirée on se voit demain!" Où même encore un rire soudain qui contredit ses paroles plutôt. Mais en vain. Le silence persiste et combat tout bruit essayant de se rebeller.

Pendant se temps, je repense à l'épisode de l'hôpital, quand j'étais la seule à son chevet et que le docteur est venu me rejoindre pour me faire un constat de la santé de Jayden. Il a commencer à m'expliquer qu'il n'avait aucun problème au niveau des chances de survie, qu'il s'en sortirais seulement avec deux ou trois côté casser. Mais que sons coeur avais passer proche de se faire perforer par un de ses deux os appartement à sa cage torasique. Je m'avait empressé  de prendre mon téléphone et d'harceler l'infirmière d'informations pour savoir comment communiquer avec les proches du jeunes hommes assoupi tout proche. Le choc quand elle m'a dit qu'elle n'avais rien du tout même pas un nom. Le docteur m'avait apporter plus proche de la chambre pour qu'on soit tranquille avant de m'expliquer une histoire terrible qui hante maintenant mes nuits et qui m'empêche de chialer sur mon était familial.