Domination

Chapitre 7- Eva

Quand j'ai entendu la porte claquer j'eus à nouveau un sursaut. J'ai fait l'indépendante, mais je ne croyais pas que sa allait lui foutre le feu au cul!

Je me levais et plaçais ma tasse de café encore bien rempli dans le levier et j'eus une envie extrême d'en parler avec quelqu'un, ce quelqu'un est automatiquement Barckley, mais je peux pas faire ça! Parler de mes ébats au lit avec un de ses haut patron de travail. Malgré que sa réaction me ferais rire jusqu'à m'en donner des crampes! Non je laisse faire et décide d'aller me recoucher.

Enfin façon de parler, car malgré mon lit ultra confrtable, mes oreillers moelleuses et une chambre pleine de noirceur grâce aux rideaux fermé, je ne peux pas m'endormir. Une chose m'obsède. Une seule chose me possède l'esprit et celle-ci se résume en seulement un simple nom: Jayden.

Comment une simple nuit peux me chambouler à ce point ? J'ai l'habitude que le gars se réveil et sacre son camp sans même m'adresser un "salut" avant de partir. Et là du jour au lendemain sa m'énerve que lui décide de m'adresser la parole et part en rogne parce que je lui parle pas tant que ça ! Non mais voyons donc!! Où va le monde.

Ce sentiment de perte ou de honte me ronge de l'intérieur. J'ai jamais ressentit de honte depuis au moins une bonne dizaines d'années, alors pourquoi ça recommence avec un mec qui baise ultra bien ? Avec lui je suis différente j'ai le goût de prendre les choses en main et d'aller de l'avant mais pas seule, avec lui.

Je vais prendre une douche moitié chaude moitié froide pour me revigorer. Ça fait du bien mais le frottage de la serviette sur ma peaux propre n'enlève pas ce sentiment de honte. Une honte profonde de n'avoir pas assez bien réagi avec un homme qui fait la différence juste en le regardant.

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Après mûre réflexions, j'ai décider de me rendre chez ma copine Corine, ça fait un bon laps de temps que je ne l'ai pas vu et il n'y a qu'elle qui peux m'aider dans ma ... Comment dire "relation pas relation où j'aimerais qu'il y est une relation?" Je sais même pas ce que je veux, j'ai coucher avec lui une fois et ça me trottine dans la tête depuis au moins douze heures! Ça ne m'a jamais fait ça. J'ai baiser un nombre incalculable de fois et jamais au grand jamais je me suis poser des questions sur le pourquoi et le après de l'aventure! Et ça se résume même pas à une aventure ces plutôt un acte d'une demi soirée? En somme sa vaut rien!

A peine arrivée dans l'entrée de chez les parents à Corine quelle ouvre la porte en criant comme une hystérique.

- Bon sang de Bon soir! Mais quel gentillesse de m'accorder une parcelle de ta présence Ô grande dame!

- ferme là et va me faire un café servante de mes deux, répondis-je avec un ton faussement indigné.

Nous éclatons de rire jusqu'à à la cuisine où je ne trouve ni papa ni maman pour me regarder d'un mauvais oeil. Les parent de Corine sont du genre "ma fille est parfaite, mais c'est amies font dur" ou encore "pauvre Corine, trop un grand coeur elle accepte de fréquenter des salopes". Super aimable! Ils sont bourgeois se qui consiste à montrer, vanter et chouchouter tout ce qu'ils ont de précieux, même si se quelque chose est quelqu'un et que ce quelqu'un n'a rien d'angélique.

Elle oubli carrément ma demande de café qui aurait été apprécier et nous montons directement à l'étage où se situe sa chambre de rêve. Un vrai palace entre quatre murs! Tout ce que vous pouvez rêver savoir sans une chambre est présent dans la sienne, commode blanche avec un miroir ancré dedans où se trouve évidemment les rouges à lèvres, les fards à paupières, les pinceaux à maquillage et tout ce qui faut pour avoir l'air d'une barbie. Dans le mur se trouve son lit, donc elle a emplememt de place pour faire une soirée remarquable seulement dans sa chambre, sa penderie est en fait un "walkin" de dix pieds de long où s'entrepose des souliers à perte de vue des tiroirs rempli de bijoux à cent dollars le bracelets et en effet du linge pour habiller toute la Chine! Je n'est qu'à regarder ça pour me sentir ultra pauvre dans mon petit appartement qui sens le moisi, mes deux paires de bottines et le peux de linge que je peux m'offrir dans une garde-robe grande comme ma bouche. Triste, mais vrai.