chapitre 8- Jayden

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Un soir, sortant dans le bar chaleureux après le boulot je m'assis sur un banc pas trop confortable qui a long terme te crève le cul en quatre jusqu'à ce que tu ne le sente plus vraiment. Une bière maison à la main et une expression maladive imprimée sur mon visage. Je dois vraiment pas être beau à voir, ce qui me déçoit vraiment car je suis toujours très bien présentable. La barmaid s'approche de moi et me regarde avec un de ses coup d'oeil qui te donne toute la pitié du monde. Elle roule des hanches pour attirée l'oeil des mâles Bêta vers son petit cul tout bombé de ...

Non chéri je veux pas couché avec toi même si je fais pitié, j'ai pas si touché le fond! Son Corp fait en cône à l'envers de la plus grosse paires de sein et en finissant vers son petit cul minuscule, ça l'donne qu'il n'est même pas attirant.

- Allons mon canard! Ça ne va pas?

Quoi!? Mon canard? Mais dans quel bar je suis bon dieu de merde ? Éstomaqué par sa réplique de merde mon cerveau prend un temps fou à se reconnecter et de lui dire quelque chose de plus potable que "mon canard".

- Ferme la et ressert moi un autre verre!

Bravo mon grand, une réussite!

L'aire penaud elle se retire furieusement d'avoir été repousser ainsi. C'est sur qu'avec sa paire de sein double E, elle ne doit pas être exclu des plans culs aussi rapidement. Des sein pendant que j'appelle, sans la brassières c'est des armes à étouffer son mari en plein sommeil.

Mon esprit s'évade pour la millième fois depuis trois jours, trois jours malheureux et en manque de tout, surtout de sa peaux à elle, de ses cheveux qui me chatouille le ventre quand sa bouche fait une job parfaite autour de mon sex gonfler à bloc. Une vrai Professionnelle avec un grand P!

Quand je suis entré chez moi plus que frustré d'avoir ressenti des sentiments d'amitié envers cet animal provocateur, j'ai sorti mon petit carnet à spiral grand comme ma paume pour faire défilé Les quelques pages où est inscrit le nom de treize filles. Je prend un stylo sur le comptoir en vinil et j'inscris le nom de cette belle Eva de mon écriture attaché.

La quatorzième.

Je regarde les noms défilés devant mes yeux: Charlotte, Élisabeth, Diane, Jade, etc. Tant de noms, mais aucune répercussions, aucun regrets, encore moins de sentiments et une limites de plaisirs corporelles. Automatiquement, mes yeux tombent vers la fin des pages, sur ma dernière conquête. Cette jeune étudiante attirante, avec une bouche en coeur et une chatte aussi accueillante qu'un retour chez toi après un siècle d'absence. Juste à y penser mon sex durcit et étire mon pantalon à le faire craqué. Voyons Jay, calme toi tu n'es plus un adolescent en rût bordel. Self control focus!

Sans succès je retourne à mes fantasmes secrets. Elle, c'est cheveux châtain volant au vent, habillé d'une simple robe rouge en dentelle transparente parfaite pour faire bandé n'importe quel espèce sur cette terre, assortit d'un soutien gorge blanc et d'une culotte de même couleur que le haut mais entrecroisés de fines lanières de tissu rouges sur son petit cul.

Bon sang de bonsoir, j'ai à peine d'énergie pour tenir en place quand la serveuse revient écrasé ma bière devant moi sur le petit comptoir. Je lève mes yeux et lui jete un regard qui tue, en coin. Non mais elle se prend pour qui avec son attitude de petite mal baisé! Tu es dans un bar salopard n'oublie pas.

- Merci, c'est quoi ton no...

- Ça va faire sept dollars et soixante, gêne toi pas pour le pourboire il faut que je mange moi aussi, me coupe-t-elle.

Non elle n'a pas osé? Personne,  je dit bien personne au monde ne va me parler comme ça! Je la regarde sidéré, mais me reprend vite, me levant je me place direct devant elle à la sortie du petit comptoir et je lui donne son putain de sept dollars et soixante juste et me dirige direction la porte de sortie.

DominationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant