Chapitre 5- Eva

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Un souffle de vodka mélanger à de la téquila. Un respire chaud et âcre. Ma maman qui est à deux centimètres de mon visage, elle me renifle comme si j'étais le repas du jour. Je retient un vomissment. Inspiration. Expiration. J'arrête de respirer. Elle crie, tout le temps, à tue tête. J'essaie de la résonner mais l'alcool qu'elle a ingurgité le fait dire des choses blessantes: "Je ne veux absolument rien savoir d'une enfant telle que toi". Ses propre mots. Je sens les larmes assaillir mes yeux gris naïf. Non! Je ne veux pas pleurer. Ma maman dit que les personnes qui pleurent ne sont que des faible. Je ne veux pas pleurer.
Trop tard. Mon visage est inonder de pauvre petite larmes incontrôlable.

Une miniature copie de moi, âgée de seulement 9 ans, qui assure la protection de son jeune frère d'à peine 5 ans des geste de sa mère alcoolique. Moi, plus âgée je doit regarder ça a mainte reprise, à resentir tout ce que la fillette dévaster devant moi ressent. Je la voie murmurer. Prier comme je l'ai tant fait.

- Dieu! Quelqu'un là-haut, s'il vous plaît, aider moi. Aider moi à protéger Trevor. Si c'est trop vous demander ou quoi que se soit aider mon frère a ne pas voir ça. Montrer lui une image d'une maman aimante, joyeuse de voir ses enfants et d'une maman qui ne dépense pas tout l'argent. S'il vous plaît aider le, LUI. Il en a besoin. Je vous en pris Dieu, faites quelque chose, murmure-t - elle en se balançant d'avant en arrière dans son petit lit en regardant le jeune enfant à ses côtés.

Que de tristesse et de malheur. Je ressent mon estomac se nouer et mes larmes coulées comme la petite Eva devant moi. Elle est déchirée et accablée par tout. Une peur. Une véritable peur domine tout les autres sentiments dans ce corps de petite fille. Je veux l'aider,la réconforter comme sa maman devrait le faire à place de boire et de crier. Mais je ne peux pas bouger, je suis paralyser prise avec un sentiment de pure haine envers cette femme incompétente. Elle pleure tellement j'entends ses gémissement de douleur. De douleur ? Je sens une forte douleur sur ma propre tête et dans mon avant-bra droit. Je regarde celui-ci et le voit tout rouge de marque de griffes.

- J'ai mal Trevor. Maman n'est pas gentille avec moi, elle me tire les cheveux et me fait mal. Mais ça ne t'arrivera jamais! Oh non jamais, murmure-t - elle a nouveau dans la petite oreille de son frère.

La porte s'ouvre en grand et une intolérable lumière envahi la petite chambre.

- Toi crétine t'approche pas de mon enfant, salle gamine, s'exclame ma mère en crachant au visage de mon mini moi.

Je me réveille par mes propres crie et ouvre de grand yeux apeurer. Je me redresse et sent ma peaux toute tremper de sueur. Un frisson d'horreur me parcours le bras. Surprise d'avoir fait ce cauchemars j'en pleur quasiment. Cela va faire 10 ans au moins que cette afreuse image de ma vie passée n'est pas venu me hanter.

Je me lève tranquillement et enfile un jeans confortable. Je peux a peine respirer dans ma petite chambre que je décide qu'une petite marche de minuit me ferai le plus grand bien.

Le vent fort propusle mes cheveux châtain à plusieurs reprise dans mon visage. Je les rassemble en une queue de cheval mal fait et je m'avance sur le trottoir dénuder de monde.

Je marche sans but précis, je passe dans des quartiers familiales regardant autour les paisible maisons pensant que les propriétaires eux dorment paisiblement.

DominationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant