Chapitre 48 - Amoureux comme jamaaaa

1.3K 55 11
                                    

Il se retira, me regarda profondément.

Peter : Je n'aime que toi, Elza. T'es l'amour de ma vie.

Elza : Je t'aime aussi Peter, sincèrement.

On s'embrassa à nouveau, sous les étoiles, nos corps nus, collés l'un à l'autre.

On s'allongea l'un à côté de l'autre. J'éternuai soudainement.

Peter : T'as froid ?

Elza : Non pas vraiment, mais...

Il mit son tee shirt en guise de couverture sur mon corps.

Peter : C'est mieux comme ça ?

Elza : C'est parfait mon amour.

On resta encore une bonne vingtaine de minutes, mais lorsqu'il fut 4h du matin, nos yeux se fermaient légèrement. On se releva et repartit à l'hôtel.

Peter : Bon...

Doucement il me plaqua contre ma porte de chambre, et attrapa mes hanches.

Peter : Tu veux pas venir dans ma chambre ?

Elza : Viens dans la mienne toi...!

Peter : Je dors toujours dans ta chambre à chaque fois!

Elza : C'est parce que ta chambre c'est le bordel, et j'aime pas le bordel.

Peter : Viens la ranger alors!

Elza : Oui bien sûr, je fais le ménage aussi, ton linge, ta bouffe... Y a pas marqué boniche sur le front!

Il rit.

Peter : Comment tu vas faire si on vit ensemble un jour ?

Elza : C'est à dire ?

Peter : Si on se prend un appartem..

Et soudainement on entendit du bruit venant de la chambre de Salim, comme si la porte s'ouvrait.

J'attrapai le col de Peter, les yeux globuleux et paniqués de nous faire cramer, j'ouvrai rapidement mais refermai la porte le plus doucement possible. On s'observa, la panique montant peu à peu, plongé dans le noir, les stores baissés, avançant le plus vite possible en direction du lit sans faire de bruit.

On s'assit, essayant d'entendre ce que Salim trafiquait. On entendait des pas... Des pas se rapprochant et soudainement, on toqua à ma porte.

Peter et moi nous regardions avec BEAUCOUP de panique ! Il ne trouva que le placard pour s'infiltrer sans se faire cramer... J'étais encore habillée de ma robe. Sans réfléchir, je me mis nue, m'entourant du drap de lit blanc. Je mis mes cheveux en bataille pour faire style " je dormais tu veux quoi ? "

J'ouvris la porte, sans surprise, c'était Salim.

Salim : Aïe.. Tu dormais ?

Elza : Euh, oui...

Salim : Pourtant j'ai vu ta poignée de porte bouger...

Elza : Hein? Quand?

Salim : Y a même 1 minute...

Elza : Arrête, tu me fais flipper là.

Salim : Eh! Tranquille.. J'ai du rêver ! J'ai cru entendre ta voix dans le couloir, et celle d'un gars.. C'est pour ça que je suis venue... Mais si tu dormais... Enfin à moins que tu ne sois pas seule...

ANTIPODESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant