Chapitre 14

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PDV Gabriel

Je devrais peut être aller chercher ma camaro au garage car ça fait quand même longtemps qu'elle y est mais j'y pensais pas. J'en profitais donc pour aller la chercher avant de me rendre à l'internat. Arrivé au Garage, le mec de l'accueil me regardait comme si j'étais Dieu car il espérait enfin que je vienne depuis le temps qu'elle y est. Je repartis au volant de ma Camaro direction l'internat. Je me garais donc sur le parking devant l'internat. Je rentrais dans l'internat et me dirigeais vers ma chambre, mis la clé dans la serrure et la tourna, en entrant je vis Dylan encore endormit dans sont lit, il avait prit l'un de mes t-shirt pour dormir. Je me dirigeais vers lui et lui fis un bisous sur le front en faisant attention de ne pas le réveiller, j'allais ensuite ranger mes affaires toute en discrétion et déposais mes affaires de toilettes dans la salle de bain. En retournant dans la chambre Dylan était là réveillé, adossé sur son coussin sans prendre conscience que j'étais là, quand à moi j'avais l'épaule appuyer contre le petit murée de la porte de la salle de bain en lui souriant en attendant que monsieur décomate. Quelques micros secondes après il bondissait de son lit et se jetait littéralement sur moi. Sentir enfin son petit corps tout fragile dans mes bras me faisait du bien, je resserrais mon étreinte pour qu'il ressente bien qu'il m'avait beaucoup manqué. Il s'était mis sur la pointe des pieds pour pourvoir atteindre ma bouche pour m'embrasser, je mis ma main derrière sa nuque en y appliquant une petite pression afin de l'encourager à un baiser plus langoureux. Tout en continuant ce baiser, je le faisais reculer jusqu'à mon lit, aucun mot n'avait été prononcer depuis mon arrivé tout ce faisait par les gestes. Il tombait sur le lit, quand je me glissa sur lui, il passa ses mains sous mon t-shit et le remonta jusqu'à ce qu'il l'enlève:

«tu es sûr de vouloir faire ça ?» lui demandais-je

« Sûr non, mais j'en ai très envie... et puis tu m'as beaucoup manqué »répondait-il en me regardant dans les yeux, son regard montrait bien qu'il avait envie que d'une chose, de moi.

Je l'embrassais pour le mettre plus en confiance et passais à mon tour mes mains. Je pouvais sentir sa peau se réchauffer au passage de mes mains. Je me redressais pour enlever mon slim, Dylan se mordit la lèvre inférieur à la vue de mon corps à moitié nu, ni une ni deux je me jetais sur lui et l'embrassais de partout. Je sentis son membre grossir, de plus en plus à chacun de mes bisous. Je commençais à descendre mes mains vers son bas de pyjama quand il les stoppa :

«promets moi que tu iras doucement »

je pouvais lire une pointe d'inquiétude dans ses mots

« J'irai le plus doucement possible, je te laisserais guider tout mes gestes si cela peut te réconfortais, on ira à ton rythme »

Sur ces mots il lâcha mes mains, cela l'avait réconforté je poursuivais donc ma route. Il était complètement nu, je bandais déjà, il décida lui même d'enlever le seul morceau de tissu qu'il me restait. Cette fois-ci nous étions deux à être nu, je lançais mon bras jusqu'à la petite table de nuit à coté de mon lit et en sortit du tiroir, un préservatif et du lubrifiant. Je caressais doucement son membre pendant que lui s'occupait du mien, j'en profitais pour commencer à lubrifier l'entrer pour que mon passage ne sois pas trop rude. Dylan s'était alors mît à quatre pattes sur le lit en m'offrant la porte de son paradis, un fois le préservatif mit et mon sexe lubrifié , je me glissais derrière lui, doucement je m'approchais de lui tout en caressant son bas du dos, ses anches, ses fesses et j'en profitais pour y mettre mon membre, un petit cri de douleur se fit entendre, je commençais les vas-et-viens avec mon bassin quand le petit cris de douleurs à laisser la place à des gémissements de plaisir, je pouvais entre des « oui vas y » qui sortaient de sa bouche, j'allais donc un peu plus vite à chacun de ces mots. Nos deux corps dégoulinaient, la chaleur pouvait se faire ressentir dans toute la pièce et les cris de Dylan était masqué par une musique de plus à cette heure si ils étaient tous en cours. Au moment où je sentis que Dylan arrivé au point de non retour, mes mouvements ce faisaient beaucoup plus vite jusqu'à ce que Dylan cria de plaisir, un gémissement sortit de ma bouche lorsque mon fluide se libéra. Nous étions épuisé, je m'étais mis sur le lit et le prit dans les bras, il avait glissé sa tête sur mon torse, je pouvais sentir un sourire se dessinait sur son visage, j'en profitais pour lui faire papouilles et pendant de longues minutes aucun mots ne s'était prononcé. Il se redressait et m'embrassait d'un baiser amoureux, tendre et doux. Une fois que ses lèvres avaient quitté les miennes il me regarda droit dans les yeux et prononça :

Love Has No Age ( En Pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant