Chapitre 29:

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Je me réveille doucement, j'ouvre les yeux et découvre un paysage que je ne reconnais pas tout de suite. Je sens un petit poids sur moi. Il m'a fallut deux minutes pour comprendre que je suis chez Harry, dans sa chambre, entouré de ses bras. Je le regarde même s'il est dans mon dos, il gesticule doucement et ses yeux verts s'ouvrent et me regardent intensément. Je suis envoûté par ses magnifiques yeux. 

"Bien dormi, ma belle. Dit-il d'une voix roque endormie parfaite.

-Ouais et toi?

-Super, sourit-il."

Il enlève son bras de sûr moi, se met sur le dos et s'étire en bâillant, ce qui me fait alors bâiller moi aussi. Je m'assois sur le lit toujours sous la couette et regarde mes pieds. Je coiffe mes cheveux avec mes mains, ils ne sont pas chiants et ne s'emmêlent pas vite. J'aime bien mes cheveux, c'est rare chez une fille. Mais moi si, même la couleur. 

"Tu as faim ? Me surpris Harry"

 j'étais perdue dans mes pensées. Je lui dis "oui, évidemment" et il part s'habiller dans la salle de bain, pendant que moi je m'habille là dans sa chambre à une vitesse ahurissante, je ne veux pas qu'il me voit sans rien. Je prends une lingette démaquillante, j'ai toujours un paquet dans mon sac à main. Je me remaquille par la suite avec ma trousse de secours dans mon sac. Toutes les filles ont ça non ? Je suis prête. On ne sait jamais, je n'ai pas envie de faire mauvaise impression à sa famille. Ce qui est ridicule, car je suis le genre de fille qui peut sortir dans la rue sans maquillage. Et puis pourquoi je veux impressionner sa famille ? Harry sort de la salle de bain avec une veste à carreaux bleu et noir et un pantalon en jeans noir. Il sort de la chambre sans me dire rien. Je ne sais pas si je dois le suivre ou pas. Il m'énerve quand il est comme ça.  Il revient et s'arrête au pied de la porte et il me dit avec un sourire:

"Bon tu viens, j'ai faim...

-Je t'attendais enfaîte là.

-Je suis sortis le premier donc c'est moi qui t'attend.

-Quoi ? Tricheur. "

Je rigole, il me regarde en souriant. Je sors de sa chambre, va dans le couloir et le dépasse. 

"Bon la princesse ce dépêche ? dis-je en rigolant.

-Princesse ?

-Oui.

-Et une princesse peut faire ça ?"

Il me prend sur son dos comme un sac à patate. Je pleure de rire, j'en peux plus. En plus ça fait mal de rigoler quand on vous appuis sur le ventre. Je lui tape le dos pour qu'il me lâche. 

"Alors, je suis une princesse ? Me demande t-il.

-Nooooonnn !!!

-Je préfère ça." 

Il me dépose délicatement au sol. Il me regarde dans les yeux, j'ai arrêté de rire et je ne peux m'empêcher de fixer ses yeux, il se rapproche. Nos lèvres ne sont plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Je sens sa respiration sur celle-ci. Je vois ses lèvres s'ouvrir:

"C'est toi, ma princesse."

Twin anyway - FrançaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant