Que nous vend on ?
Du sang dans les abysses de l'occiput pour effrayer.
A qui la faute ? Tout le monde se cache derrière son héritier.Pourquoi te sentir exotique quand ton eau est loin d'être bénite .
Même Aphrodite ne voudrait point de cet archétypeQui marque les buts sur ce terrain privé ?
Doit on laisser les riches banquiers décider ?
Ou décéder ? A quelques lettres près c'est la même
Je ne sens plus des rimes que dans des poèmesDans une époque foudroyée, la foule s'envole quand un homme à genoux veut s'octroyer un dîner
On punit celui qui le vole, en outre on épargne les têtes de gondole.Complexe d'infériorité parmi des supérieurs
La supériorité n'est qu'une facette d'acteur
L'acte tire le rideau de la pièce, l'entracte dure
Le trou de mémoire survient alors que le cavalier monte sur sa montureLe vent ventile un esprit cadavérique qui se repose
Je suis un rêve onirique parcourant ton noseMille et une senteurs dans ce jardin d'épices
Le voyage sauve et fait naître des délicesQuand mon âge pose les bases des souvenirs de mon futur
C'est à se demander à quoi ressemblera la texture
De celle qui nous guidera sur cette route obscureTu es ma dulcinée dans ma nuit ombragée
Une lumière sortie de nulle part et qui fait de moi un nouveau-néQuelle est cette mascarade de parades ?
Des cygnes envahissent Paris en crue
Délimitent la limite entre mer et terre
Le zouave se noie devant tous ces badauds incongrusL'évidence m'apparut soudainement dans mon sommeil, l'oeil ouvert et vif d'une panthère
Un beau tableau ornait un vide bien trop beau
Un mélange de Monet et d'Arthur Rimbaud
La palette rend les lettres obsolètesAutre format pour des autres saynètes
Qui tire les ficelles ?
Un certain Gepetto
Faire demi tour dans le tunnel pour éviter le flambeau
Quand la thune monnaye même les sentiments
Il faudra être patient avant de voir de l'Amour francUne vertu difficile à cerner, doutant de son efficacité
Le casse du siècle gravé sur une amulette comme un simulacre de trophée
De la nacre renvoyé par des marées agacéesLes reflets du biz éclairent le chemin de celui qui s'enlise
Des taureaux dans une corrida allaitent ce que la bêtise enfantera
J'affirme être celui que je suis, je n'ai pas de voix que j'alterne en fonction des aléas de la vieLes trottoirs de Manille sont des Atlas en puissance
Portent sur eux la trame d'une violente décadenceDes manettes, manipulées, par des joueurs incompétents
En compétition pour celui qui fera pleurer le plus de volcansTous endormis, quand entrera on en éruption ?
Quand la plante ne sera plus qu'une friction ?