chapitre 10

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Pdv Adèle:
Deux mois passé, il n'y a eu rien de spéciale, au fait aujourd'hui je vais y aller à newyork , aujourd'hui je dois laisser ma famille, pour ne plus être en danger, new york etait vraiment à plusieurs kilomètre de milan donc je suppose que je serai en sécurité labas, mais june et abby vont vraiment me manquer, mes parents aussis .

Mais la chose la plus bizare c'est que je ne me souviens plus à quoi il ressemble, je ne me souviens pas de son visage, si comme-ci ce que j'ai vécu etait qu'un cauchemar que j'ai du oublier avec le temps, je me souviens de mon débatements, le tant de larmes que j'ai fait couler, le sourire qui etait dessiné sur son visage , sa froideur, cet homme ne degager que du poison , il n'avait pas un coeur, il n'etait pas humain, pour lui les femmes n'etaient qu'un jouet , un trou à boucher , pour lui les femmes etaient faites pour sa propre satisfaction.

Je secoua la tête si comme-ci c'etait un moyen pour changes mes idées, je finit par fermer ma valise.

Je n'ai plus de blessures; je vais mieux, je mets mes vêtements et me prépara ( tenue en multimédia)

Je sort de ma chambre et descends les escaliers pour y aller à la salle à manger.

J'embrassa mes parents et rosa.

Rosa: bonjour bambino.

_ bonjour tantie.

Elle avait l'air calme ce matin.

On prends notre petit-déjeuner au calme quand maman s'eclatte en sanglot.

_ maman !

Maman: je suis désolé je n'ai pas pu , je ne peux plus garder ce que je ressent pour une seule autre seconde, je suis désolé pour ce que tout ce qui est entrain d'arriver ...

Elle prends une bouffé d'air.

Maman: tu vas tellement me manqué ma chérie, tu ne mérites pas ça.

Je me suis levé et l'as prit dans ses bras.

_ maman ce n'est pas de ta faute, ça arrive ne pleure pas je t'en prie.

Elle essuiya ses larmes.

Apres avoir finit notre petit dejeuner .

Papa m'aida à sortir ma valise .

Papa: Adèle , je suis sincerement désolé de t'avoir caché ce que je suis vraiment; peut être que mintenant tu me deteste et je ne suis guère satisfait de moi même je n'ai jamais était un bon père pour toi mais je veux seulement que tu sache que c'est la mafia qui m'a choisis et je n'avais aucun autre choix.

_ papa, apres tout ça sera vraiment bizarre tu ne trouve pas ? On est en italie et c'est une chose normal , ne redit jamais que tu n'as pas etait un bon père car tu as été le meilleur vraiment, je t'aime papa.

Je le prends dans mes bras.

Et mintenant c'etait le tour de rosa, elle ne dit rien mais elle pleurait mintenant et elle me serre fort à elle.

Rosa: c'est labas que l'amour te retrouvera ma figlia

Je lui sourit et elle fit de même pour apres embrasser mon front.

June et abby arrivent en courant et me prennent dans leurs bras .

Je ne peux garder mes larmes de plus.

_ je vous aimes vraiment... je ne sais pas comment je pourrai survivre sans vous.

June: je t'aime plus tu comprends ? Et mintenant je vais plus avoir l'occasion de pincer tes jolies fesses ...

On lacha un petit rire.

Abby: et j'aurai plus l'occasion à t'embêter .

_ putain..

June: attends attends , approche ... je m'approcha d'elle et c'est ainsi qu'elle me chuchotta.. pense y a avoir de beaux moment labas , j'ai entendu dire que les newyorkais sont grave beaux et attirant

Je roula des yeux.

_ je vais penser à finir mes etudes en premier .

Abby: rohhhh

_ je vous aime vraiment, bordel vous êtes les soeurs que je n'ai peut être pas eu la chance d'y etre relié par le sang mais je vous ai eu comme même

June et abby: ouais , ça aurait du être dure pour nos parents sinon .

_ ouais.

June: vasy mintenant monte dans le taxi.

Abby: ouais vasy sinon on vas pas te laisser aller , vasy ....

Je les serres tres fort à moi, et les embrasse fort avant de monter dans le taxi qui demarra juste ensuite

June et abby: Adèle !!

Je les entends crier .

June et abby :on t'aime .

_ je vous aimes plus.

Petit à petit elle ne demeurent que de petit points.

Putain je m'arrête pas de pleurer.

Je souffla bruyamment et essuie mes larmes, j'essaie vraiment ne pas y penser à eux .

Apres quelques autres minutes, on était arrivé à l'aireport.

Je descends et le taxieur m'aida à faire descendre ma valise.

Une fois à l'interieur de l'aireport, je me dirige vers l'avion que je vais prendre.

Je prends place dans celle-ci, une vielle dame viens m'assoire à mes côtés.

??: bonsoir ma fille.

_ bonsoir... fis-je avec un petit sourire.

??: vous êtes trés belle.

_ merci.

Je regarda l'hotêsse mintenant qui fait le tour tout en faisant son travaille habituelle et dire au gens de mettre la ceinture car on est sur le point de décoller.

Et c'est ainsi que je pensa:
Newyork , j'arrive.

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