New Life

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"Chaque chose ont une fin et moi, s'en est fini avec lui. Après avoir passer pratiquement toute notre vie à voir notre amour s'intensifier. S'en était aujourd'hui fini. Comme si dans mon cœur il n'y était que de passage, comme le vent il a souffler et comme un ouragan il a tout dévasté. Mon amour d'enfance, mon précieux, mon Teddy n'est devenu qu'un enfer pour que je prie de ne pas y goûter une fois de plus, de peur de me faire brûler. J'avais toujours l'impression de le connaître sur le bout des doigts comme personne. C'est ce qu'on pense toujours quand nous avons convoiter quelqu'un depuis toujours et qu'au final il n'en était rien. Apprendre de plus, les faits les plus horrible tramant sur lui comme un acte d'adultère et de mainte reprise parce que j'avais le dos tourner et ainsi aveugler par la confiance que je lui portais. Bien sur que ça fait mal et qu'à cet instant j'aurais voulu me transpercer le cœur directement avec un poignard que de devoir à supporter les atroces coup de mon cœur qui bat à une vitesse folle et qui me fais mordre de douleur. De devoir effacer sans cesse les pensés des merveilleux comme les mauvais moments passés ensemble. Toute cette frustration ne me prit que pour une toute petite semaine. Je ne pouvais m'apitoyer sur mon sors. Il est partit et s'il doit revenir, le destin s'en chargera et je maudirais ce jour."

Je m'appelle Anastasia Giulia Multy mais mes amis me nomme Ana. C'est plus court et plutôt fun. J'ai, depuis mon enfance, vécu dans un orphelinat après que mes parents m'ont abandonné. En tout cas c'est ce que disait Mme Kingston, la femme qui s'était occuper des petits orphelins comme moi. À l'âge de mes 16 ans, j'étais obliger de quitter ce lieu pour pouvoir me débrouiller comme je pouvais à, trouver un travail, un logement, de quoi me nourrir et vivre comme n'importe qui à cette époque. Mais c'était facile à dire. J'ai passer quatre années à dormir sous les ponts, à manger le reste de nourriture venant de restaurant du quartier mal famé où je «vivais». Ne parlons même pas de mon style vestimentaire. Je traînais dans les rues avec un jean et un tee-shirt noir caché par un grand manteau kaki et des bottes noir. Mes cheveux brun en bataille était amassé en queue de cheval et je portais toujours un sac dans lequel je pouvais mettre ce que je pouvais trouver d'intéressant dans ces rues de Los Angeles. J'étais et je peux le dire: une clocharde. Teddy Gold, mon petit ami, quant à lui avait trouver immédiatement la bonne voie dès qu'il était sorti de l'orphelinat. Il travaillait comme accompagnateur touristique et vivait avec des collègues de son travail. Il gagnait assez bien sa vie et venait me voir quand il avait la possibilité. C'est ce qu'il me disait et je le croyais. Mais c'est dans cette année 1982 que beaucoup de choses ont changés.

J'ai 22 ans et en cette nuit d'hiver, je viens tout juste de sortir d'un des restaurants du coin. Je marche comme à mon habitude sur un bout de trottoir du quartier. On peut entendre des cries, des rires et des pleures dans chaque recoin. Ce quartier est loin d'être calme et c'est peut-être pour ça qu'on l'ai appelé «Murder City». Bien que son nom fasse frissonner à première vue, je n'ai jamais ressenti aucune peur de me promener ici. L'habitude? Sûrement. C'est pourtant sur ce chemin que mes yeux se retardèrent sur une personne ou plutôt deux. C'est Teddy et une jeune femme. Ils sont là, devant mes yeux, en train de se peloter, s'embrasser, se toucher. C'est sans un mot que je m'approche d'eux. Après tout ce que j'ai vécu, je ne suis pas le genre de fille coincé, apeuré et qui se laisse faire. Je n'ait encore moins l'habitude de pleurer ou de montrer mes sentiments. Tout ce que je faisais, c'était d'agir. Ce n'est qu'une fois à un mètre d'eux, que j'interrompis leur baisés enflammés.

-Hey! Mais que vois-je? Ne serais-ce pas Teddy?criai-je tout à coup en le tapant sur l'épaule.

Il se retourne presque paniqué en me voyant tandis que la jeune femme en face de lui se met à me scruté. J'en fis de même.

-Ana!criât-il à son tour tout à fait gêné. Que c'est beau de te voir, s'empressa t-il d'ajouter comme si nous étions des amis perdu de vue depuis longtemps.

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