✔ Chapitre 5 : Une Rencontre...

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La maison était... La même que la mienne. Comment ça se fait ? Oh merde chuis con c'est un lotissement, normal qu'on ait la même maison... Quel con.
Il y a un canapé blanc en cuir, et des rideaux en voile (de bateaux à voile) blanc, avec des rayures bleu et des chiffres rouges. Il y a un meuble en chêne, la télé posée dessus, quelques autres trucs mais surtout beaucoup de carton. Normal ils viennent d'emménager. Donc là c'est "l'entrée", à gauche la cuisine, à droite la salle à manger, plus loin le salon (sans mur entre les deux), et après la cuisine y'a pas de mur mais un bar (demi-mur) qui mène à... Bah un espèce de bar (avec boissons). Et derrière c'est la cave. Après en face (au milieu de tout, au fond) y'a l'escalier qui monte à l'étage. Même si tout est pas rempli et que y'a des cartons partout, ça promet d'être joli !

 Même si tout est pas rempli et que y'a des cartons partout, ça promet d'être joli !

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Les deux mères papotent et le père arrive pour nous installer

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Les deux mères papotent et le père arrive pour nous installer. Il nous amène vers le salon, mon père s'installe dans le canapé...

"Jésus Marie Joseph ! Quel divin canapé... Que dieu te bénisse... Ah... Quel agréable sensation..."

Eu oui papa d'accord ? Comme je le disais, mon père s'installe dans le canapé, et moi je m'avance vers la baie vitrée. Je l'ouvre et me cale sur la terrasse, contre la porte. J'ai encore mal au ventre d'avoir trop mangé... L'air me faisait du bien, mais j'avais un peu froid. Alors j'ai mis ma capuche en mode racaille.

"Wesh racaille."

Je me retourne et vois la fille de tout à l'heure.

"Mdr salut.
-Ça va ? T'as l'air bizarre."

Je me retourne et fais ma tête de pauvre type.

"J'ai froid

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"J'ai froid...
-Oh... Pauvre bébé...
--Moui... Z'ais froa ! Ouiiiin... Maman...
-Tu veu un calin de tata ?
-Non. (avec la petite voix de caprice de gamin)"

On rigole puis elle me dit :

"Bon il fait froid. On rentre ?
--Ok."

On rentre, et elle m'amène dans le salon. Les deux pères sont partis, et le canapé est donc libre. On s'assoit, on rigole et tout, et un à moment je fais une blague qu'elle trouve "nan mais putain de grave drôle mdrr je me pisse dessus faut que t'arrête toi", et me dit qu'il faut "absolument que je la raconte à ma sœur parce qu'elle est mais trop drôle". Alors elle appelle sa sœur. Et là, bah...
Je suis étonné. Elle lui ressemble vachement, mais a un peu plus de sa mère qu'elle, et est beaucoup plus petite. Elle doit avoir 5 ans de moins. Je sais pas trop.
En tout cas elle s'approche, lui demande ce qu'il y a, et je me retrouve à lui répéter la blague. Elle se plie en deux et pleure de rire.
Après s'être enfin calmée, et avoir repris son numéro plusieurs fois, elle arrive enfin à regagner son sérieux.

"Tu l'as appris où celle-là ?
--Au lycée par un pote.
-T'en connais d'autres ?"

Et c'est reparti.
Au bout d'une heure, j'arrive au bout de mon répertoire de blagues, et on fini par parler de choses un peu plus sérieuses.
Et, j'avoue que j'avais totalement oublié, la petite me demande :

"Et sinon le panda australien muté avec un anaconda et un kangourou a un nom ? (cherchez pas à comprendre c'est une très longue histoire...)
--Je me nomme Luke. Prince des paresseux d'Afrique et ministre des cabinets de la nations."

On rerigole (c'était obligé là). Le délire est grave bizarre. Je me demande comment les amies de mon auteure font. Elle est vraiment bizarre... (nda : Nora, interdiction de dire que c'est facile et que j'ai pas d'amis. En plus t'es pareil. Alors tgey d'avance. Cordialement, ton AMIE)

"Et sinon les deux paresseux du Québec d'Australie avec consonance allemande ont des noms ?"

Ouais comme je le disais, on a des délires bizarre. Elle a des délires bizarres.

"Moi c'est Isabelle. Mais on m'appelle Isa.
-Et moi, présidente des doigts de pieds en mode saucisson espagnol, je me nomme Julie. Et on me surnomme Joe.
-Et moi on me demande pas ?"

Une voix, magnifique, douce et harmonieuse, apparue des escaliers.
Presque la même que saucisson, eu je veux dire Julie, mais avec... Un petit plus. Je ne sais pas quoi, mais un petit plus.

"Non toi on veux pas savoir.
--Si moi je veux ! Eum... Je veux dire... Eu..."

Bon bah ça y est j'ai perdu toute crédibilité...

"Qui est-tu pour oser ne serait-ce que savoir mon nom ?
--Je suis votre humble serviteur Madâme. (avec le gros accent dégueulasse sur le 'â')
-Et bien, sachez alors que je ne souhaite qu'une chose.
--Laquelle est ?
-La mort."

Et une masse noire apparue de nul part et me chatouilla jusqu'à la mort. Elle avait acquis son souhait : j'étais mort. Et puis bien bien mort là.

Après ce sacrifice, je renaissais de mes cendres. Mais ais eu la malchance de regarder mon agresseur dans les yeux, dans lesquels je me suis perdu. Je n'ai pas pu refaire surface et mouru une seconde fois. Mais cette fois-ci lorsque l'on m'a ressuscité, je n'étais plus moi. Mais dépendant d'elle. Dont je ne connaissais toujours pas le nom.

"Comment se nomme ma tueuse ?
-Marie. Marie Anfend."

Marie. Quel beau nom que Marie. Comme la vierge Marie, que cette douce enfant soit bénie.

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Hey hey ! Ça y est ^^ enfin un truc qui va bouleverser l'histoire ! Il était temps au bout de 5 chapitres (et 6 histoires voidfxngirl, ne crois pas que j'ai oublié 😈)...

Voilà voilà dites en commentaires vos impressions/envies/émotions... Vous pouvez aussi juste râler parce-que ça va pas assez vite je sais pas moi mais laissez un coms ça fais toujours plaisir ^^

Gros bisous fort fort à mes paresseux du Québec d'Australie avec consonance allemande aux doigts de pieds en mode saucisson espagnol !

Xoxo,
L'auteure.

Ma vie, une histoire parmi tant d'autres. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant