Chapter six.

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Je la fixais. J'aimais tellement son visage, qui avait été pourtant ravager par des larmes qui avaient coulées par ma faute. Je l'avais détruite, jusqu'au plus profond de sa personne. Je m'en voulais tellement. Ma main voyagea vers son visage, ravagé par les larmes. Je les essuyaient de mon pouce.

Je voudrais l'embrasser.

Ça n'arrivera sans doute jamais, mais je garde espoir. Les mains toujours sur son visage, j'admirais la beauté de ses traits. Elle était tellement bien faite. Tellement irréelle. Et son irréalité m'aidait à m'enfuir de ma vie.

Elle est tout ce que je désire.

"Veux-tu sortir de cet hôpital?

Ses yeux s'élevèrent à moi.

- Bien sûr que je le veux. C'est ce que j'essayais de faire avant que tu ne m'arrêtes.
- Alors si je te propose de me suivre, viendrai-tu avec moi?
- Eh bien... Je ne sais pas. Je ne te connais pas vraiment après tout.

Oh oui, j'avais presque oublier que j'étais son intimidateur.

- Je ne t'emmène pas loin. Juste faire un tour. Accepte, tu ne le regretteras pas.

Faites qu'elle accepte par pitié.
- Je n'ai pas de vêtement adéquat en fait.
Je lui fis signe de m'attendre quelques minutes.
Je sortis de la chambre et le dirigea vers l'accueil.

- Bonjour, je voudrais avoir l'autorisation pour sortir mademoiselle Ferguson. Je suis son petit copain.

Dieu sait à quel point j'aime prononcer ces mots.

- Très bien, puis- je avoir le numéro de chambre?
- 230.
- Merci.

Elle me tendit les vêtements, en me souriant gentiment. En retournant dans la chambre, Dalia était sur le lit, les jambes pendant dans le vide. Elle regardait le sol et releva la tête quand elle m'entendit entré. Je lui souris mais elle ne me le rendit pas. Je lui donnais ces vêtements et sortis de la chambre en attendant qu'elle s'habille. Elle en sortit quelques minutes après.

Elle portait un pull noir simple avec un jeans de la même couleur et de petites Chelsea Boots. Ses cheveux était étendu dans son dos et se disposaient en de jolies vagues. Elle est tellement belle.

Je la regardais fixement, sans me rendre compte qu'elle me rappelait à l'ordre.

- Harry, je suis prête. Où allons-nous?
- Dans un endroit spécial. "
Et j'eus le courage de prendre sa main et de la tirer avec moi. Sa main était froide quand elle rencontra la mienne, chaude. Elle fronça ces sourcils vers nos mains enlacées.

Après dix minutes de marche, nous étions  arrivé devant un grand immeuble gris, vieux. Je montais jusqu'au dernière étage et pris les clés dans ma poche.
"Harry où sommes-nous?
- Dans les bureaux abandonnés de mon père. Il n'utilise plus ces appartement alors je les ai pris. Je soufflais et avançais vers la fenêtre.
- Harry, où vas-tu?
- Juste suis moi. Je me retournais vers elle. S'il te plait.
Je lui tendis ma main, qu'elle prit avec hésitation. J'ouvrais alors la grande fenêtre, et posa mon pied sur la petite table basse juste en dessous, pour m'élever. Lorsque je traversais le cadre, elle lâcha ma main.
- Aller viens. Ce n'est pas dangereux je le jure.
Elle posa son pied au même endroit et poussa pour m'atteindre. Sa main serra la mienne lorsque je l'emmenais sur le toit.

Je m'assis, et elle fit de même

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Je m'assis, et elle fit de même. La vue qui s'offrait à nous était fabuleuse. Voilà pourquoi je venais ici quand je devais décompresser, loin de Filipa, des problèmes et même de Dalia.

"Pourquoi m'as-tu emmener ici? Dit-elle.
- Je croyais que ça allait te plaire.
- Ça ne me plait pas.
- Oh et bien nous pouvons toujours-, je me levais et elle me coupa.
- J'adore. La vue est magnifique."
Je me rassis confortablement.

- Pourquoi me fais-tu du mal?
- J'sais pas Dalia. J'sais pas.
- Je ne vous ai rien fait, à vous tous. Est-ce parce que je suis différente? C'est vrai je ne ressemble pas à Filipa, je ne suis pas comme
elle. Je n'ai pas autant d'amis, pour être honnête je n'en ai pas du tout, donc je crois vous comprendre-

- Tu n'as pas besoin de lui ressembler. Tu es mieux qu'elle, croit moi. Tu es tellement plus... Toi. C'est pour ça que je t'ai- non rien. Oublie.

J'allais prononcer ces mots et tout allait être régler et pourtant je ne l'ai pas fait.

Je regrette tellement. 

Rasors //Styles// ON HOLDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant