Rasors //Styles// ON HOLD

Chapter four.

Donc j'ai décider de placer ce chapitre dans le point de vue d'Harry.

Bref, profitez bien babes.

Je regardais sa poitrine monter et descendre si rapidement. Je voyais qu'elle peinait à rester éveiller. Tu t'es déjà battue avant, Dalia. S'il te plait Dalia garde tes yeux ouverts. Je serrais sa main. Je me devais de la garder éveiller.

C'est ce que l'on fait, quand on tient à une personne, n'est-ce pas?

On prend soin d'elle.

Mais je suis un lâche vous vous rappelez? Je la rabaisse. Je me moque d'elle.

Je l'aime pourtant. Je ne ressens pas ces stupides sensations comme les papillons dans le ventre. J'ai cette sensation là, celle là. Celle où à chaque fois qu'elle passe mon cerveau fait abstraction de tout ce qu'il y a autour de moi, pour la fixer, et voir elle et rien qu'elle. Elle avait cette capacité là. Elle vous envahissait de ton son être. Elle prenait possession de votre âme si facilement. Elle était maîtresse du jeu. Elle me donnait des envies jusque là inconnues. Elle me faisait sentir bien et mal en même temps. J'aimais ce sentiment de chaud et froid. J'aimais l'amour et le cercle vicieux dans lequel j'étais tomber, grâce à elle.

Sauf qu'elle ne savait pas qu'elle me faisait ressentir toutes ces émotions contradictoires.

Je le voudrais, croyez moi. Mais laisser parlé le coeur fait de vous un faible. Une merde. Laisser parlé vos faiblesses vous ramènent des ennuis. Ils vous pourrissent la vie.

Mais je voulais que ces faiblesses me pourrissent la vie, rien que pour elle. C'était elle ou rien.

Je serrais sa main encore une fois. Ethan regardait ma main dans la sienne avant de me poser une question.

"T'es pas sérieux?

- De quoi tu parles? J'essayais d'éviter ce sujet là.

- Tu trippes sur Ferguson la suicidaire c'est ça hein?

- Quoi? Mais non!

- Tu fais encore plus pitié que ce que je pensais, pff.

C'est alors qu'ils entrèrent dans la salle, qu'ils m'écartèrent de force. Je criais son nom, je voulais rester avec elle.

Mais voulait-elle que je reste? 
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TOMORROW MORNING. 

Il était huit heure du matin, et j'étais devant sa chambre d'hôpital. J'avais peur de rentrer. Une femme, qui je suppose était sa mère, s'approcha de moi.
"Oh. Tu es son petit ami n'est-ce pas?

Oh. Je ne savais pas vraiment ce qu'il fallait répondre.
Savaient-ils pour leur fille? Savaient-ils que je me moquais d'elle?

- Um, oui je le suis.
- Donc tu peux entrer. Je suis Julia, la mère adoptive de Dalia.

Mère adoptive? Où sa mère biologique alors?

- Oh tu n'es pas au courant c'est ça? Et bien je suppose qu'elle t'expliquera. Entre en attendant."
Qu'avait elle à me dire?
J'entrais dans la petite chambre blanche. Une odeur de désinfectant flottait dans l'air. Je m'approchais doucement de son corps apaiser poser sur le lit. Elle portait l'une de ces blouses hideuses d'hôpital, qui elle aussi, était blanche mais avait des touches de bleu. Ses longs cheveux bruns étaient éparpillés sur l'oreiller, qui avait l'air lui confortable. Un appareil inconnu à mes yeux était au niveau de sa tête et était relié à un écran qui affichait un IRM de son cerveau. Un électrocardiogramme aussi lui était relié. 

Dormait-elle? 

"Dalia? Chuchotai-je. Dalia, je suis désolé. 

Elle ouvrit ses yeux péniblement et je m'en voulais terriblement car je venais de la réveiller. 

- Harry? Que fais-tu ici? 
L'électrocardiogramme laissait sortir des bips plus rapide, signe que son coeur s'emballait.

Je ne savais pas si je devais sourire à ce sujet ou juste partir. J'étais maladroit en sa présence. 

- Je suis venu te voir. Tu te rappelles de quelque chose? 

Oh bravo Harold, quelle manière de commencer les choses, tu viens juste de lui rappeler qu'elle est dans un hôpital car vous étiez dans une salle ensemble. 

Chapeau Harold, chapeau. 

- Je me rappelle de... Hm, Ethan. Il me parlait de threesome et je ne savais pas ce que c'était... Puis après, plus rien. 

Je me surpris à rougir et à rigoler. Etait-ce possible d'être aussi innocente? 

- Oh ouais. Autre chose peut-être? 

- Je me rappelle que... Tu étais resté avec moi... Merci pour ça Harry. 

- Oh ce n'est rien. 

Elle se rappelle de ça, mon dieu, je suis heureux! 

- Harry, si je te pose une question, me répondras-tu?

- Uh, oui je crois.

- Pourquoi es-tu là si tu me déteste?"

La vérité est que je ne te déteste pas. Je t'aime plus que tout.