- Arrête ! S'il-te-plaît ! ...Hm... Ahh
La main qu'il avait mit dans mon pantalon me donnais la nausée, je me sentais sale et je me dégoutais de ne pas pouvoir l'arrêter.
- Jimin, laisse-toi faire. Tu n'imagine pas le bien que je peux te donner...
Il me parlait d'une voix grave et enroué par le désir qu'il l'habite constamment quand je suis là. Il me répugne. Et encore une fois, il ne me laisse pas lui répondre, je n'ai jamais mon mot à dire. Même s'il semble vouloir que je prenne mon pied autant que lui, au fond ce n'est pas le cas. Il m'utilise. Et je ne peux rien faire contre cela.
- Hn...
Sa main s'active toujours sur mon membre, alors que sa bouche parcours mon cou de baiser brûlant. Il mord le lobe de mon oreille, se pressant davantage contre mon corps tremblant. Il est pressé, je le sens à ces gestes, mais après tout, c'est toujours comme cela avec lui. Pourtant, je ne mis habitue pas.
Je mords l'intérieur de ma joue pour empêcher un gémissement de douleur de sortir de ma bouche. Tandis qu'il décide de lâcher mon membre, abaissant les derniers vêtements qu'il me restait encore.
Je me débats du mieux que je le peux, sans parvenir à m'échapper. Ma nudité me gêne, devant lui, nu comme un ver, j'ai l'impression d'être encore plus sans défense.
Son bassin se colle au mien, mimant l'acte, alors que mon dos touche le mur violement, empêchant toute fuite.
Il ouvre ma chemise rapidement, grognant contre les pauvres boutons qui n'auront pas fait long feu, il s'active de nouveau sur mon membre qu'il avait délaissé.
- Aah... Arrête... Non...
Sa bouche parcours mon torse de baiser humide, titillant mes bouts de chair, m'arrachant un gémissement.
Mes plaintes et mes supplications ne l'arrête pas. Je ne veux pas revivre ça...
Et alors que je me déverse dans sa main, reprenant mon souffle difficilement à cause des larmes que je retiens, il entre un doigt en moi.
J'hoquète de douleur et de surprise. Il fait de rapidement va et vient avant de rajouter un autre doigt. Il fait des mouvements de ciseau, me déchirant de l'intérieur. Il n'a aucune considération pour moi. Mon corps cambré contre le mur de la petite salle, je ferme les yeux, retenant un sanglot, mordant une fois de plus l'intérieur de ma joue.
Je veux que ça s'arrête.
Je n'aurais jamais dû accepter de travailler ici. Jamais...
Le cauchemar était pire qu'avant, il m'avait à sa porté. S'il n'y avait pas la musique, je ne sais pas comment je tiendrais.
- Ahh... Hoseok... Arrête... Ça fait... Trop mal...Je te t'en ... Supplie...
Il grogne de nouveau.
Je sais que je me force pour rien parce que je n'ai pas mon mot à dire, je ne peux pas dire non parce que de toute façon il me forcera toujours.
Il prend sauvagement possession de mes lèvres, forçant leur barrière pour y entrer sa langue. Il est impatient, brusque et ne reste jamais bien longtemps au même endroit. Il se sépare durement de ma bouche, me tournant face au mur, enlevant du même coup ces doigts.
Et le calvaire ne fait qu'empirer alors que, sans aucune autre préparation, il entre en moi violement, commençant déjà de puissant coup de bassin.
Je voulais mourir.
Je voulais partir d'ici, très loin, là où personne ne pourrais me faire souffrir de nouveau.
Je voulais fermer les yeux et ne jamais les rouvrir.
Le soleil me maquait, le vent et la nature aussi. J'en avais marre de ce ciel constamment noir, j'avais besoin de lumière.
Je voulais qu'il soit là, le sentir près de moi, qu'il me rassure.
J'avais besoin de mon meilleur ami.
Je voulais Yoongi. Désespérément.
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Ouais c'est vraiment moi qui ai écrit ça. Je ne sais même pas pourquoi j'ai eu cette idée d'ailleurs. À la base j'ai tellement changé de chose dans cette histoire que je m'y retrouve difficilement. Alors je ne sais pas du tout comment ça va se dérouler , sauf sur certains points.
M'enfin, j'espère que vous avez aimez, votez et commentez ! :)
Love You all !
Crapou.
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When we used to be friend
RomansaQuand une belle amitié disparaît en fumée, il est difficile d'accepter la dure réalité de la vie, d'accepter que tout sera différent. Alors quand cette amitié n'existe plus à cause de l'ignorance de l'un et le silence de l'autre, tout semble être pi...