Red, la fille aux cheveux rouge.

La maison

Je continuai ma route, toujours accompagné des lueurs bleuâtres qui volent. Nous nous sommes un peu plus enfoncés dans la forêt et y avons rencontré d'autres animaux ; des petits écureuils qui étaient, bizarrement couleurs bordeaux avec des traits blancs qui faisaient toutes la longueur de leur queue avec des yeux émeraudes, ainsi qu'un renard, qui lui avait un pelage composé de différentes teinte de bleu : du turquoise au bleu marine avec des yeux dorés.
C'est moi qui deviens folle où cette forêt abrite des animaux sidérants?

Bref, nous continuons notre route jusqu'à ce que nous arrivions devant une sorte de clairière ouverte en plein désert rempli de verdure.
Au centre, de l'eau s'écoule jusque dans des ravins qui entourent un énorme chêne qui surplombait le tout avec une allure fière.

Peu après notre arrivée, les petites boules bleues volèrent jusqu'à cet arbre. Une fois qu'elles furent juste devant, pleins d'autres lumières bleues en sortirent, toutes contentes de, certainement, les revoir.
Je dirais même plus, un nuage en sortit.
Elles étaient toutes joyeuses.
Cet arbre majestueux et peut-être leur maison, enfin je veux dire là où elles sont nées. Là où cette espèce a vu le jour.
Quelques instants après, ce nuage se dirigea vers moi qui, sous l'effet de la peur et de la surprise, je me mis à reculer.
Mais comme j'ai une chance incroyable, après avoir chancelé et ce, malgré les visages inquiets qui régnaient sur les amies les lucioles, je tomba le dos le premier dans un des nombreux trous béant.
Si quelqu'un pouvait voir la scène, il aurait sûrement vu mon visage inquiet se transformer pour y laisser apparaître la peur de la mort qui arrivait à grand pas.
J'ai les bras tendus vers le ciel que laisse apparaître cette petite clairière et un cri strident sortait de la bouche malgré moi.
C'est donc comme ça que je vais mourir? En tombant d'une falaise? Sans même avoir eu le temps de prendre ma vengeance sur ma stupide tante? Non! Je ne veux pas, je ne peux pas! Pas maintenant, c'est trop tôt... Je ne lui ferais pas une telle joie!

Des larmes s'échappaient grâce ou à cause de la gravité qui me propulsait avec vitesse vers le sol et donc une mort certaine et, possiblement sans douleurs!?
Je ne le sais pas.
Je ne le sais toujours pas puisque je me suis évanouie...

Mais est-ce vraiment le cas?

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Suite, au prochain chapitre!

MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHAH!!!! *u*
Je suis le sadisme incarné!!
*s'éclate toute seule*

Hum, hum...
Bref, j'espère que ce chapitre vous aura plu même s'il est plutôt court, je l'avoue.

Nous nous retrouvons vendredi prochain, mes lapins évanouis! ^u^/

PS: pour ceux qui lisent également l'histoire Solitude, il n'y aura sûrement pas de chapitre demain étant donné que je passe les rattrapages du bac! (La nullité d'une fille! Enfin, c'est que 28 points pour ceux qui veulent savoir)^-^'/