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Onodera est en ce moment même dans l'appartement de Takano. Pourquoi ? Disons qu'il s'est passé quelques bricoles depuis la dernière fois... Mais bref. Onodera est assis et attend que Takano vienne vers lui car pour l'instant, il (Takano) est dans sa chambre. Le regard d'Onodera se pose sur une photo, plus précisément celui d'une femme. Il comprit de suite en s'approchant qu'il s'agissait d'une photo pour un mariage arrangé. Il semblerait que les parents de Takano souhaitaient le marier, mais il est allé les voir, et a refusé. Hypothèse très logique et sûrement la bonne car, il est parti pendant trois jours, il revient et pas de la meilleure humeur, coup de fil de quelqu'un à qui il a (très possiblement) refusé quelque chose, et pour finir cette photo.

– Pourquoi je me sens autant mal... murmure t-il.

En sachant tout de même cette théorie, il est jaloux. Même si Takano avait refusé, il ne peut pas s'en empêcher, il est jaloux.

– Désolé de l'attente, dit Takano en arrivant soudainement.

– ...

– On commence ?

– Oui.

Après avoir terminé ce qu'ils devaient faire, Onodera est reparti chez lui. Tout est éclairci. Le congé, ou plutôt, absence de trois jours, l'appel... Mais maintenant, un autre problème est survenu. Les sentiments d'Onodera. Toujours à nié la vérité. Ce dernier compte t-il garder son amour, qui est partagé, caché ? Il ne se rend pas compte à quelle point il a de la chance que cela soit partagé on dirait.

– ONODERA ! BORDEL, ARRÊTE DE RÊVASSER !

La chance que cela soit partagé, soit, mais peut-être un peu moins sur le choix de la personne... Takano peut être un vrai tyran... Lunatique, c'est ça. Comme la plupart des personnes mais... Mais... ...

Encore entrain de penser, rêvasser. Onodera rentre chez lui et devrait cesser d'être étourdi, sauf s'il souhaite avoir un accident...

Lorsqu'il arrive dans son appartement, il dépose son manteau sur son porte manteau et se rend dans la cuisine préparer de quoi manger.

– Quel bordel...

Et peut-être va-t-il faire le ménage plus tard...

On toque. Quelqu'un était entrain de frapper à la porte d'Onodera. Il prenait un bain juste avant (nda : Wait ! Comment tu fais pour entendre ?!), donc pour ne pas faire attendre son visiteur il s'habille en vitesse. Puis il accourut à la porte d'entrée.

– Ah, ce n'est que toi, Takano-san.

– Toujours aussi aimable.

Comme Onodera s'était dépêché, il n'avait pas prit le temps de se sécher les cheveux, donc sa chemise se fait mouillé (nda : À ne pas mal interprété.).

– Que me vaut l'honneur de ta visite à une heure si tardive ? dit-il.

– Pourquoi tu m'évites lorsqu'on est seuls ?

– N'est-ce pas à chaque fois ?

– Eh bien c'est encore plus, répond t-il.

– ...

– Alors ?

– ... Et toi alors ? Pourquoi tu n'as pas dit que tu avais reçu une proposition pour un mariage arrangé ? lâche t-il.

– Marri-? ... Alors tu as vu la photo, dit-il en poussant un soupir.

Onodera regrette déjà d'avoir débouler sa pensée.

– ... Tu sais quoi ? Oublie.

– J'ai refusé de toute manière, dit Takano.

– Je sais.

– Alors pourquoi tu m'évites ?

– Parce que... Je sais pas !

La réponse qu'attendait Takano était différente de ce qui venait de se passé. Onodera commençait à être gêné, à rougir pour quelconque raison.

– ...

Il prit le bras d'Onodera, le poussa, et il rentre à l'intérieur en fermant la porte derrière lui.

– QueQu'est-ce que tu fais ?!

– Ritsu...

Si injuste. À chaque fois que Takano l'appelle par son prénom, Onodera devient pire que gêné. Profitant de ce moment de faiblesse, il le faisait tombé à terre.

– Ça fait mal imbé—!

Il n'eut le temps de finir que Takano prit l'initiative de l'embrasser.

– Taka—!

– ...

Son portable sonne.

– Ar

– Ignore.

Il continue de sonner.

– ... Rép-pond !

– ...

Il sonne depuis on ne sait combien de fois, puis à la fin il répond. Normalement il aurait laissé mais entendre son portable encore et encore l'a exaspéré. Tu aurais pu l'éteindre ou le mettre en silencieux Takano...

– Oui ?!

Sauvé. Takano se relève et Onodera fit de même ensuite.

– Non. Je raccroche.

Et il le rangea.

– La prochaine fois, je terminerai ce qu'on venait de commencer.

On lisait la colère sur son visage mais il se calma et à la place il souria et partit.

– Rah, ce type !

Même s'il lui en veut, ça ne lui a, En vrai, pas déplu, au contraire, comme le montre bien son corps.

– Un jour, je lui ferais perdre l'envie de me sourire comme ça après m'avoir embarrassé !

Un jour... Demain, dans une semaine, dans un mois ou encore plusieurs années, peut-être arrivera ce jour... Mais avant, Quand vas-tu te déclarer ?!

– Je ferais regretter Ma-Masamune...

Il vient d'utiliser son prénom là non ?!

– Je le ferais regretter avec son propre stratagème... Hum !

Ah ça... Il sera... surpris...


End...?•

[TakanoXOnodera] - After ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant