Partie 9.

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Point de vu de Castle.

Je fais les cents pas dans ma chambre. Ai-je bien fais ? En même temps la tentation était trop forte, et la complicité entre nous deux était trop présente. C'était le moment et je ne regrette pas. J'ai tellement apprécier ce moment, quand elle s'abandonne à moi. Je voudrai ressentir ça chaque secondes de ma vie.
Je me demande si elle viendra dormir avec moi ce soir.. J'espère que je ne l'ai pas bousculé, que je n'ai pas été trop vite...

- Castle ?
Beckett me tire de mes pensées. Elle est la devant la porte l'air gêné.
- est-ce que ça va ? Tu as l'air troublé.
- non, tout va bien..
Elle s'approche de moi, très près. Elle me regarde avec ses grands yeux brun.
Je lui demande nerveusement
- tu veux qu'on en parle ?
Bêtement c'est la seule chose qui me soit passé par la tête.
- nop.
Elle sourie et rompt le peu de distance qui nous sépare. Elle pose une main sur mon épaules, se met sur sa pointe des pieds et vient me déposée de doux baisés dans le coup, ça dur trop longtemps et la tentation est trop dure. Je passe une main derrière elle et avec l'autre main je viens lui relevé la tête pour l'embrasser mais elle refuse.

- tu n'avais pas le droit de me faire ça tout à l'heure. Entourés de centaines de personnes. Pendant trop longtemps, c'était malsain, très malsain Richard Castle.
Alors maintenant c'est à ton tour.
Un petit sourire se dessine sur le coin de ses lèvres,  je ne connais pas cette Beckett la. Et j'ai hâte de la connaître. 
 
Point de vu de Beckett.

J'avoue que je n'ai pas vu les choses arriver, quand je suis rentré dans sa chambre je n'avais aucune idée de ce que j'allais dire ou faire et je suis la, dans les bras de Castle en train de lui rendre la pareil du feu d'artifice.
Il essaie une énième fois de me redressé et de chercher mes lèvres. Cette fois je le laisse faire et ses lèvres viennent embrassées les miennes. La sensation est étrange et nouvelle. Je m'étais imaginée cette scène des centaines de fois mais dans ma tête ça n'a jamais été aussi bien que maintenant.
Nos lèvres s'épousent parfaitement et sa langue vient chercher la mienne et pendant ce temps ses mains cherchent le contacte de ma peau, ils passe sa main entre mon shirt et sa chemise que je porte et ce sont des vagues de frissons qui arrivent par milliers. La combinaison de nos lèvres unies, une main dans mes cheveux et une autre essayant de se frayé un chemin sous ma chemise est parfaite.

Il s'écarte, éloigne son visage du miens et me pose délicatement sur son lit. Il pose un baisé sur mes lèvres puis s'en va, il fait le tour du lit et vient se coucher de son côté.
Il éteins la lampe de chevet et je me demande si il va s'arrêter la ou pas. C'est a ce moment la que je sens ses bras ferme m'encerclé de nouveau.
Il est au dessus de moi et m'embrasse, c'est plus fort que la fois précédente mais c'est tout autant agréable. Il passe ses mains en dessous de ma chemise, ou plutôt sa chemise. Peut importe. Il vient me caresser. A chaque nouveau centimètre de ma peau qu'il vient touché mon corps se met complètement en trans et je m'abandonne à lui. 

Point de vue de Castle.

Je veux découvrir et embrassé chaque pouce de son corps. Je voudrai jamais arrêter de la toucher.
Je regarde chaque blessures, chaque bleus qui sont très même trop nombreux sur son corps mince et dépose de doux baisers sur chacun d'eux. C'est de la sorte qu'elle doit être traité et  pas d'une autre. Cette femme est une merveille, un bijoux. Elle mérite toute l'attention d'un homme et tout son amour. Et  ce soir je lui donne tout ce sont elle a besoin.

J'ai pas envie d'aller trop vite, j'ai pas envie qu'elle croit que ma seule ambition était de finir avec elle dans mon lit. J'ai envie que les choses ailles en leur temps. Je ne veux pas la bousculer. Alors je continue a l'embrassé et me décale sur le côté. Je la sert dans mes bras tout en lui volant quelques baisées.
C'est notre dernière nuit dans les Hamptons, notre dernière nuit tout les deux. Demain le retour a New York. Elle a prévu d'aller chez son amie Laine. Je lui ai promit d'être la après, que je serai la pour elle, que rien ne changera. Mais j'ai peur que ce retour à la réalité nous replace là où on était la dernière fois, avec cette distance entre nous, cette gêne, ces sentiments bloqués en elle. Cette sensation de revenir comme avant me fait froid dans le dos alors je la sert contre moi, je l'embrasse encore et encore et nous nous endormons aussi proche que jamais.

Stand by youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant