Partie 17.

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J'étais sorti des toilettes suite à l'impatience impoli de cette personne qui frappait à la porte. J'avais ouverte celle ci assez violemment pour exprimer mon mécontentement mais la personne en face de moi ne semblait pas atteint.

Il me semblait familier comme si je l'avais déjà vu quelque part. C'était un homme grand, vêtu d'un jean droit et d'une veste noir de motard et des docks aux pieds. Il avait les cheveux bien redressés en arrière, le type bien louche. Et il puait le cigare.

Le cigare. Tout d'un coup mon sang ne dit qu'un tout. C'était l'homme que l'ont avait aperçu avec Castle quand nous étions tous les deux dans la ruelle.

J'eu a peine le temps de le reconnaître que je me retournais, l'attrapa par le col et le plaqua contre le mur des toilettes. La rage me consumais. J'étais sur à 100% que cet homme me surveillait.

- qui êtes-vous ? Pour qui vous travaillez ? Répondez !

- vous le savez déjà, pourquoi me posé la question ?

Je ne répondis rien, abasourdis par sa réponse. Il n'était même pas paniquer une seule seconde. Son boss devait sûrement lui avoir dit qu'il avait tout control sur moi, car c'était sur qu'il travaillait pour Josh.

- maintenant relâchez moi, je ne crois pas que votre petit copain serai contant d'apprendre que vous me garder enfermer dans des toilettes.

Il affichait un petit sourire arrogant et sur de lui ce qui m'avait énerver plus que tout.

- déjà il n'est pas très heureux d'avoir appris que vous passez de très bons moments dans les bras de votre écrivain.

C'était la goute d'eau en trop. Je le retournais d'une prise et lui passais les menottes, je n'allais pas me laissé faire comme ça. Peut être que Josh lui as dis que c'était facile avec moi mais pas cette fois, cet homme n'a rien contre moi.

- on va voir ce que vous dites dans une salle d'interrogatoire.

Je sortais des toilettes et passa devant la table des gars où Castle n'y était pas. Les deux hommes s'y tenait toujours, en me voyant passer avec des regards interrogatifs.

- j'emmène cet homme au poste il m'a agresser dans les toilettes.

Ils m'avaient suivit. Pris leurs voiture et on se s'était rejoint au post. J'avais placer l'homme dans la sale d'interrogatoire et demander à Espo de vérifier son casier judiciaire.
Un quart d'heure plus tard j'entrais dans la salle et demandais aux gars de ne pas écouter derrière la vitre, que c'était une affaire personnel et que je voulais m'en occupé seule.

Je m'étais assise, ouvrant son dossier sur la table devant moi. Lui était toujours les mains menotte raccroché à la chaîne, comme un homme dangereux, je voulais lui mettre la pression.

- nous avons un casier judiciaire bien remplis et en plus de ça vous êtes rechercher par les stups. J'ai l'impression que c'est moi qui tire les ficelles d'un coup.

- qu'est-ce que vous voulez ?

Il semblait inquiet et stressé, les rôles s'échangeait depuis les toilettes du bar.

- que vous fassiez tomber votre patron. Je pense pas que votre travail est déclarer. Ai-je tord ?

- vous vous imaginez pas à quel point c'est important pour moi. Je ne peux pas. J'ai une famille à nourrir.

- très bien. Je vous place en garde a vu. Vous avez 24h pour réfléchir à tout ça sinon c'est très simple, je contacte les stups.. Et je pense qu'après ça votre famille vous ne la verrez même plus

Je commençais à sortir de la salle persuader de l'avoir dans la poche au bout des 24h.

- non attendez.

Ça avait été plus vite que ce que je ne le pensais.

- qu'est-ce que vous voulez que je fasse exactement?

J'avais seulement 2 secondes pour trouver un plans sinon il aurait vu que je n'en avais pas et aurait trouver la faille.

- on va fixer de nouvelles règles Monsieur Fuentes. Vous n'allez plus me surveiller mais assurer mes arrières. Cet-à dire que je peux aller n'emporte ou, voir qui je veux vous ne direz rien à Josh.  Vous gardez votre salaire, je vous relâche mais en échange vous lui dites que je ne fais rien d'autre que travailler. Voilà le deal.

- pourquoi ne pas simplement vous séparez plutôt que de le tromper et lui cacher ?

J'étais stupéfaite, choquée, bouche bée. C'est alors cette version que Josh avait donné pour me surveiller.

- vous croyez que je trompe mon petit ami simplement. Vous pensez pas que ça va plus loin que ça pour que ça implique une surveillance maximal ?
Cet homme me bat. Violemment.

- vous savez très bien vous défendre pourquoi ne pas le faire ?

Il ne semblait pas me croire et être très attaché à son employeur. Il faisait parti de gang et c'est comme ça dans la bas, on se doit de défendre et respecter la personne qui nous fait vivre.

- il me harcèle moralement, me menace, je ne peux pas défendre sans qu'il détruise les gens autour de moi, les gens que j'aime.

Il ne savait pas quoi répondre. Il était en train de réfléchir. Il se passait la main dans ses cheveux bien coiffés et repris la parole quelques secondes plus tard aillant laissé un blanc qui me fit pensé à tous ce mal que Josh causais dans ma vie.

- chez moi nous avons une grande étique sur les femmes, nous leur devons un grand respect et jamais je ne pourrai lever la main sur l'une d'entre elles. Je ferai ce qu'il fait pour vous protéger. Par contre...

- quoi par contre ?  Vous n'êtes pas en position pour posé des conditions.

- il se pourrait juste que j'ai déjà prévenu Josh que vous m'aviez emmener au post.

Et merde. Aller kate concentre toi, trouve quelque chose.

- ok, c'est pas grave je m'occupe de ça.

Je sais que je pourrai dire n'emporte quoi j'en recevrai les coups.

Nous terminions, je lui enlevais les menottes et nous nous quittions sur un regard, nous étions d'accord pour la suite des événements.

J'expliquais aux gars la même chose que je dirai à Josh, j'étais prête a repartir quand Espo venait à mon bureau.

- qu'est-ce qu'il s'est passé avec Castle ?

- rien pourquoi ?

- Beckett, vous vous êtes absentés tout les deux au moins 20 minutes ensuite vous êtes aller tous les deux dans les toilettes tu étais en larmes, même si tu essayais de la cacher puis Castle est ressorti seul, nous est passer devant sans rien dire et est parti, puis tu es ressorti avec ce mec meno...

Je le coupais.

- oui c'est bon j'étais la merci.... On... On s'est un peu engueuler rien d'important.

- Beckett si il y a un souci tu peux m'en parler tu sais.

- je sais. Mais la en l'occurrence tout va bien. Merci Javi.

Je quittais mon bureau et partais du 12 eme. Il était 21h, j'allais rentrer à l'appart et sûrement subir un interrogatoire suivie de je ne sais quoi car j'avais emmener ce certain Stanislas Fuentes au poste. J'étais foutue.

Dans la voiture je repensais à Castle, à ses mains dans mes cheveux, sa façon si douce de m'embrasser, j'ai eu des petits copains dans le passé mais aucun d'entre eux me faisait me sentir désirer, Castle le fait si bien. Avec lui j'ai vraiment l'impression d'être une femme aimé et pas un objet qu'on prend et qu'on jette à tout va. Dans ses yeux je pouvais voir son désir et son amour, il avait été là comme personne ne l'a jamais été. Si seulement je m'en étais rendu compte plus tôt. Je m'en voudrai éternellement pour ça. Car aujourd'hui je serai heureuse, avec lui.

Je me demandais comment serait la vie avec cet homme. Sûrement plus calme que celle ci c'est sur. Je n'arrêtais pas de pensée à ses mains sur mon corps encore et encore. J'aimerai revenir en arrière que ce moment ne s'arrête jamais.

Stand by youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant