Partie 29

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Point de vu de Castle.

- Regardez quand il est arrivé à New York Ryan!

Ce dernier s'exécute.

- Vous !

Elle désigne un pauvre homme du doigt avant de continuer.

- Fouillez moi son compte en banque, ses relevés téléphonique, tout. Je veux tout sur lui sur les 2 derniers mois.

L'homme s'active jusqu'à son bureau, les mains tremblantes il fit ce que son chef lui ordonna.

- Esposito, emmenez une patrouille fouiller son appartement.

Tout le monde s'active autour de moi, des hommes courent dans tous les sens, les ordinateurs chauffent, je peux même entendre les méninges de Gates bouillirs.

Celle ci s'approcha de moi.

- Monsieur Castle... Vous devriez peut-être rentrer chez vous auprès de votre famille, on vous appelle des qu'on a du nouveau.

Je reste de marbre. Incapable de bouger. Incapable de penser à quoi que ce soit d'autre que Kate, enlevée et séquestrée, en train de subir toutes sortes de choses horribles que même les imaginer m'écrase le cœur à m'en donner envie de vomir.

Je m'étais douté que c'était Josh à la seconde où j'ai lu ce foutu bout de papier.

Primo ; ce n'est pas son écriture.

Deuxio ; pourquoi serait-elle partie sans ses affaires et son téléphone ?

Tertio ; elle ne m'aurait pas quitté, je ne vois aucune raison.

J'avais directement appeler le poste pour les prévenir. Gates avait lancé l'avis de recherche sans en savoir plus.
Arriver au bureau j'ai dû lui expliquer, lui raconter tout, toute l'histoire de Kate Beckett jusqu'à son enlèvement en objectant les nuits follement amoureuses que nous venions de passer.

Elle sait maintenant que nous sommes ensemble, que je l'aime plus que tout et qu'elle est en danger.

- Non, réussis-je à articuler.

- j'espérais vous entendre dire ça, nous avons besoin de vous. D'ailleurs, partez avec Espo et l'équipe.

Je m'exécute et les suit. Les yeux rivés sur le sol attendant un miracle.

Une fois arrivé devant la porte des images me reviennent en tête. Celles de Beckett plaquée contre ce mur et moi, l'embrassant. Je donnerai tout pour revenir à ce jours, j'aurais tout fait pour la protéger. Parce que c'était mon rôle et que je lui avais promis. Je lui avais promis qu'elle était en sécurité avec moi et elle s'est faite élever à mon chevet pendant que je dormais, sans m'en rendre compte.

Quel minable je fais.

Nous entrons dans l'appartement après que le concierge nous ai ouvert et les hommes se dispersent.

- qu'est-que nous cherchons exactement, demandais-je à Javier.

- n'importe quoi, un bout de papier avec un téléphone, une adresse, des preuves de tout et n'importe quoi. Le moindre indice peut se caché entre deux chaussettes, dans une étagère, dans son ordinateur. Tout, fouille tout.

Ils s'étaient partagés les pièces alors que moi et Espo se dirigeaient vers la chambre. Des l'instant où nous entrons je me fige.

Des vêtements éparpillés partout, ceux de Kate en particuliers.

Il avait du être en colère en découvrant qu'elle n'était pas là, et la moitié de ses affaires non plus.

Espo traverse le brouhaha d'affaires et commence à fouiller la table de nuit. Quant à moi je me baisse et attrape un sweet-shirt à elle, m'assieds sur le lit et respire son odeur. Je ferme les yeux et pendant quelques secondes je suis dans ses bras, ma tête dans son coup humant son parfum, l'embrassant sans jamais m'arrêter.

Stand by youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant