L'homme grassouillet s'approcha de l'embrasure de la porte. Notre héros sentit des filets de sueurs lui couler dans le dos. L'adrénaline qui coulait dans ses veines lui donnait des palpitations.
- Diable, ne laissons pas la cave se réchauffer en laissant la porte ouverte. Mon oncle viticulteur m'a toujours rappelé enfant que les arômes et fragrances du bon vin perdent de leur intérêt une fois celui-ci réchauffé.
L'homme attrapa la poignée de la porte, et après un nouveau coup d'œil rapide qui balaya la cave à vin, il ferma pour de bon la porte en forçant, celle-ci étant légèrement voilée.
Connor en l'espace d'un sablier venait de suer toutes la sueur qu'un homme peut suer. Pour la deuxième fois il poussa un long soupir, mais cette fois-ci, nul qui vive pour revenir le stresser davantage. Mais ne cédant pas à la fatigue, il se remit sur ses jambes d'une impulsion et s'étira le dos pour le soulager de la position inconfortable qu'il avait dû tenir.
- Ne nous attardons pas, ma tâche ne va pas s'accomplir toute seule.
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Le fils de la catin
AventuraConnor, orphelin du 17è siècle, va commettre l'irréparable. S'en suit une course-poursuite effrénée... Comment se sortira-t-il de cette situation épineuse?