Mais qu'importe, je marcherai une autre fois,
En trois jours et deux nuits, j'ai compris sous le toit
Du ciel que les vers de mes aïeux sont des leurres;
La beauté n'est qu'un masque où l'attrait du modèleDissimulait leur cœurs sous de belles pâleurs !
Sourde au fond de leurs mots un avenir fidèle
Au rêve qui m'étreint. Et si les arts sont morts,
Le futur, lui, est là. Et il vivra. D'abordAu reflet implicite, il restera le même.
Le monde est inchangeable; et ainsi qu'il nous aime,
Il nous dévore en proies si nous n'y prenons garde.
Et les plus grands esprit n'y sont qu'en simples bardes...Mais tout n'est que social, tout n'est qu'ethnologie;
N'arrachez pas son monde au français qui rugit
Sur sa vie sur la crise et, au mieux, qui se pleure.
Non; séchez-lui sa larme, éclairez son ardeur !Un monde est intouchable où les peuples le sont.
Et si dans notre effort nous nous en saisissons,
À l'union des passions, carrefour des chemins,
L'art se retournera pour jouir au lendemain.T.
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À l'orée du temps
Poetry"Et souviens-toi ; le monde est à toi, le monde est à nous !" - un alcoolique de Charleville-Mézières, 2 juillet 2016. Un recueil de poèmes, assemblé à l'orée d'un temps nouveau. (La mairie de Goulien affiche mon sonnet "Ty Félix" de manière perman...