Mes lunes ne sont plus de miel. L'imagination douce me perd, débordante de cavités résonnantes d'irrationnel. Le rêve m'aime et m'anime quand la réalité magnanime trompe et me morfond. Galbé sous le soleil, j'ai soif de la nuit laiteuse, elle connait mon corps et le fond de mes yeux. Si bien guidé par elle et en son sexe, j'aurais connu, sous ces effrayantes comètes, les plaisirs d'être femme. L'esprit pâle c'est éclairci encor, tellement volatilisé. je respir l'odeur sanglante des animaux volants. Les abeilles ont tué leur magnifique reine.
Guilhem Jacquet.
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À l'orée du temps
Poesía"Et souviens-toi ; le monde est à toi, le monde est à nous !" - un alcoolique de Charleville-Mézières, 2 juillet 2016. Un recueil de poèmes, assemblé à l'orée d'un temps nouveau. (La mairie de Goulien affiche mon sonnet "Ty Félix" de manière perman...