Partie 46 : "Les hommes sont ingrats tu peut être à ces côté le soutenir..."

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Partie 46 : "Les hommes sont ingrats tu peut être à ces côté le soutenir dans ces échec une fois réussi sa te lâche"

J'ai claqué la porte et je suis parti me poser dans mon salon pot de glace en mains et en pleurant devant la télévision, les hormones et ma maladie elle me travaillait tellement que une remarque et c'était parti pour 1h de pleure

La journée ce passe ma soeur et rentrer et voilà c'était l'heure du dîner, avec Achraf on mangeait et j'ai lancé le sujet de ma maladie il ne savais pas spécialement tous et c'était justement le moment d'en parler et de mettre tout à plat

Moi : Tu veut toujours pas en parler ?

Achraf : De quoi omri ?

Moi : De ma maladie ? Tu sais c'est pas pour t'énervé c'est juste pour te prévenir que ce qu'il peut m'arriver Achraf, wAllahi j'ai besoins d'en parler avec toi t'es mon mari mon confident mon frère t'es tout à la fois ta besoins de savoir tout ce qu'il faut à savoir sur cette maladie

Achraf en soufflant : Vasy je t'écoute alors dis moi

Moi : Bah non mais je veut échanger avec toi sur sa, tu le sais qu'elle est dangereuse pour moi depuis ma grossesses non ?

Achraf : Bien sûr je le sais qu'elle est dangereuse et si j'aurai su je n'aurai même pas envisager d'enfant avec toi

Moi : À cause de ma maladie ? C'est quoi le problème avec cette enfant ?

Achraf : Cette enfant comme tu dis il a des risque de me prendre ma mra voilà

Moi : Mais on l'a voulu ensemble omri wAllahi je le regrette pas, si demain je part je sais que cette enfant sa sera une part de moi et qu'il te rappèlera combien tu dois te battre pour ce petit bout qu'il vient de moi et de toi c'est notre mini nous lui en veut pas

Achraf : Dis pas si je part wAllahi juste à entendre cette phrase elle me fais mal au coeur Soraya t'es la femme que j'aime et que j'aimerai jusqu'à la fin de mes jours et le faite de t'entendre dire ces phrases elles me font mal tu vois la je fais le zemel a côté de toi parce que sans toi je sais je serai pas là où j'en suis tu ma mis dans le droit chemin avec l'aide d'Allah quand personne croyait en moi t'était la pour moi quand j'était au hebs tu m'a attendu quand je te faisait du mal tu me pardonné aujourd'hui t'es malade mais tu porte mon enfant dans ton ventre je suis l'homme le plus heureux du monde parce que je le voulait cette enfant on va être trois in sha Allah et aujourd'hui à deux on va la combattre cette maladie donc cesse de dire ces phrases Omri et profitons ensemble d'accord ?

Chaque mots chaque paroles je l'ai écouter des perles salées coulant sur mes joues je voyait à quel point j'aimais cette homme a quel point je ferai n'importe quoi pour lui a quel point il m'apporter que du bonheur j'en remercierai jamais Allah de m'avoir accorder un mari comme lui, il m'a prise dans ces bras on est parti s'allongeait ensemble sur le sédaris et il me caressait les cheveux je pleurait en silence tous sa nous affecte je prie chaque nuit pour qu'Allah m'accorde la santé qu'il me guérisse de cette maladie j'espère qu'il entend mes prières, on s'est endormi sur le sédaris dans la nuit je me suis lever pour vomir j'ai vomis un peu de sang aussi je comprenait pas pourquoi mais c'est pas grave le lendemain je devait aller chez le gynécologue pour une échographie, et je suis reparti me coucher

Réveil à 10h j'avais rendez vous à 11h le temps de déjeuné avec mon mari de nous habiller et voilà qu'on était sorti direction l'hôpital j'avais beaucoup plus de rendez vous avec ma maladie c'était obliger d'avoir des examens à peut prêt chaque mois voir tous les 3 semaines histoire de bien contrôlé ma grossesse et ma maladie, arriver à l'hôpital on attend que le médecin nous appel

Achraf : Ça va bien ce passer t'inquiète

Moi : Je stresse à chaque rendez vous, in sha Allah oui

Le médecin nous appel : Madame B***

Moi : Oui c'est moi

Le médecin : Suivez moi

Donc on le suit il nous dis que tous va bien jusqu'à ce qu'il dise

Médecin : Oh mais que vois-je ? Je crois bien que vous avais pas un mais deux bébé si je ne me trompe pas

Moi et Achraf on ce regarde, je commence à avoir les larmes décidément je pleure trop moi qui pleure jamais les hormones elles ont un effet sur moi

Achraf : Vous pensez oh monsieur j'espère vous blaguez pas la

Moi en le pinçant : Parle correctement toi

Médecin en rigolant : Aaaah non non monsieur je ne blague pas comme vous dites votre femme et bien enceinte de jumeaux ou jumelles pour en être sûr je vais vous mettre un rdv dès que vous atteignez les 3mois

Achraf : Papapa je suis papa de deux enfants ya rabbi merci

Médecin : Félicitation à vous

Nous : Merci c'est gentil

Achraf : Tu me donne pas un bébé mais 2 bébé wAllahi n'brick bezef

Moi : Moi aussi omri

Après avoir tous fini nous sommes sorti et nous sommes parti chez mes parents, y'avais tous le monde mais vraiment tous le monde personne manqué à l'appel

Moi : Salam Aleykoum bande de bougnouls

Ali : Comme si c'était une céfran elle

Yemma : Aleykoum salam benthi ça va ? Le bébé ça va ? Achraf ça va ? La maison ?

Ibtissem : Laisse la respirer miskina

Yemma : Beleh toi ti sert à rien

On est rentrer t'avais tout les monstres et tout et Achraf je le regardai pour lui dire vasy parle, mais hmar il comprenait pas j'ai pris mon téléphone et je lui est envoyer un message "Vasy dis leurs t'attend quoi" il a levé la tête il a crier

Achraf : Eh mais pourquoi tu m'a envoyer un message toi ?

Moi : Pour que tu leurs disent vu que tu comprend pas les signes hmar que tu est

Ali : Dire quoi ? Ta décider de te mettre au régime ?

Siham : Oooooh toi fallait tu ferme ta gueule

Moi : Mais t'es sah toi ? Tu crois tes beau ? Avec tes bourrelet la ?

Achraf : Bon bah elle a pas un mais deux bébé ahahah

Alors ?
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G

Chronique de Soraya : Son coeur m'appartientOù les histoires vivent. Découvrez maintenant