Une rencontre, un destin {TERMINÉE}

Une rencontre, un destin CHAPITRE 7

                                                                   Une rencontre, un destin

Hey everybody ! Voici enfin le septième chapitre, ça fait beaucoup mais j'aime toujours autant l'écrire. Bonne lecture!

CHAPITRE 7 : Choque

Cela faisait 2 heures que Thomas attendait, assit sur une chaise. Il regardait les gens passer, de nouvelles victimes arrivaient... Il avait pleuré. Newt s'était évanoui d'un coup, et n'avait pas de nouvelle de lui pour l'instant. Ce qui avait le don de le mettre dans tout ses états.

Quand il avait vu le blond s'effondrer, ses parents s'étaient empressés d'appeler une ambulance pendant que le brun le prenait contre lui et lui donnait des petites claques, mais il ne s'était pas réveillé. L'ambulance arrivé, Thomas était monté avec eux alors que ses parents devaient partir travailler. Mais il avait promis de les tenir au courant. Il avait aussi appelé Minho pour lui expliquer la situation. Celui-ci s'était chargé de le dire au reste de la bande, alors qu'ils étaient au lycée. Il lui avait informé qu'il viendrait voir Newt à la fin des cours.

Thomas sentit son ventre crier famine. Mais au fond il n'avait pas faim. Tout ce qu'il voulait, était qu'un putain de médecin vienne lui dire que le blond allait bien et qu'ils pouvaient partir tranquillement.

Dans ses pensées, il ne vit pas un homme en blouse blanche se dresser devant lui. Quand il l'aperçu, il se leva brusquement.

Médecin : Thomas Edison ? Demanda t-il en regardant sur une feuille qu'il avait dans sa main.

Thomas : Oui, oui c'est moi. Alors, comment il va ?

L'homme le regarda sincèrement avant de prononcer les diagnostics de son patients.

Médecin : Pour tout vous dire, le jeune Newton est atteint d'une grave leucémie cancéreuse.

Le brun écarquilla les yeux d'horreur. Le médecin continua.

Médecin : Il est en face terminale, on ne peut plus l'opérer, c'est trop tard.

Thomas : Q-quoi ? Non, c'est une blague n'est ce pas ?

Il vit le regard désolé de l'homme en face de lui. Il retenta.

Thomas : Vous pouvez rien faire pour lui ? Demanda t-il affolé.

Médecin : Malheureusement non. Une maladie aussi grave doit se faire opérer dans l'immédiat. Selon nos diagnostics, il en est atteint depuis quelques années. On ne peut plus rien faire. Désolé.

Thomas : M-mais... il lui reste combien de temps ?

Médecin : Je dirai, quelques mois, 2 ou 3. C'est très approximatif.

Voyant que le brun n'allait pas en rajouter, il commença à partir mais il lui dit une dernière chose.

Médecin : Vous pouvez aller le voir. Chambre 224.

Puis il partit. Le brun restait sans voix. Il n'arrivait pas à digérer ce que le médecin lui avait dit. Il espérait être en plein cauchemar, où il finirait par se réveiller et trouver son blondinet paisiblement dans ses bras. Mais il s'était pincé suffisamment fort pour savoir qu'il ne rêvait pas.

Quand il releva les yeux, il se trouvait devant la chambre 224, celle de Newt. Il n'avait pas senti ses jambes se déplacer toutes seules. Il ne perdit pas plus de temps et entra doucement à l'intérieur. Il referma la porte derrière lui et prit place sur un siège, à côté du lit où reposait le blond. Il n'était pas encore réveillé. Tant mieux, au moins il ne voyait pas la tête dépressif de son Tommy. Il prit sa main froide dans la sienne. Puis il explosa en sanglot. Un torrent de larme se déversait sur ses joues sans qu'il ne puisse les contrôler.