17. La poupée

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Non mais de quel droit il ce permet de me regardé de cette façon ! Je n'ai aucun compte à lui rendre à ce que je sache. J'étais tellement occupée à regarder monsieur Whittmore que j'ai failli ne pas voir le magnifique mannequin à son bras. Grande ,blonde et filiforme. Cette fille, au visage de poupée et au regard vert qui a sûrement dû faire chaviré plus d'un homme, s'arrête et lance un regard interrogateur à Benjamin, se demandant sûrement pourquoi il c'est arrêté brusquement.

Il me regarde, regarde vers elle et lui lance un sourire ravageur tout en mettant son bras sur ses épaules , puis ils remarchent comme si rien ne c'était passer et disparurent au coin de la rue.

-Ouah...C'était vraiment bizarre...s'exclame Adam.

-Pour moi aussi. Dis-je dans mes pensées.

Mais qui est cette magnifique fille qu'il avait l'accompagnait ? Et pourquoi me regarder de cette façon ? Je n'ai rien à lui devoir. C'est lui le fautif, pas moi. C'est lui qui a voulu étouffer l'histoire avant même que elle ne commence. Il n'a pas à être jaloux. Enfin , si c'est de la jalousie...

Nous finissons de manger notre repas puis nous retournons à Whittmore&Co à pied. Aujourd'hui il fait doux et les rayons de soleil rendent les rues de New-York paisibles. Adam me parle tout le long du trajet mais je ne l'écoute que d'une oreille distraite. Tout de suite je n'ai envie que d'une chose , prendre mon appareil et faire des photos de tout ce que je vois.

Je me suis plongée dans le boulot toute l'après-midi , j'ai travaillée comme une acharnée et c'est au moment où le concierge passe devant ma porte ouverte pour commencer son travail de nuit que je remarque que il ne reste plus que moi dans les locaux de l'étage et mon estomac viens de se réveiller et me cri famine.

Je ranges mes affaires précipitamment et descend pour rentrée à l'appartement.

-Je vois que vous aussi vous faites des heures supplémentaires, mademoiselle Lancaster. Je pensais être le dernier. Comme à mon habitude. Dit une voix grave derrière moi.

Je me retourne doucement et remarque que benjamin était presque collé à mon dos. Il a retiré sa veste de costume bleu, sa fine cravate est enroulé dans sa main et il a défait les trois premiers boutons de sa chemise. Ses cheveux sont encore plus en désordre que d'habitude mais son sourire n'a pas changer , toujours aussi arrogant.

Je note que nous sommes repassé au vouvoiement. Si c'est ce qu'il veux on ne devrai pas contrarié le patron.

- Ne vous inquiétez pas, je ne veux pas vous volée la vedette. Dis-je sèchement en repensant au événements de midi.

Heureusement pour moi, les portes de l'ascenseur s'ouvre et je rentre précipitamment dedans avec Benjamin qui me suis de près. L'atmosphère était lourde et un silence pensant nous réduisait aux silences. J'essayais de ne pas le regarder mais c'est difficile vu que la cabine n'est fait que de miroir. Benjamin est reflété de tout les côtés ou je pose mes yeux.

Moi qui ne voulais pas le voir, c'est gagner...

Je fixe les nombres qui défilent au dessus des portes montrant que nous descendons et ignore sa présence. Enfin, j'essaye....

Nous arrivons près du zéro quand il me posa une question qui sûrement lui brûlait la langue et qui a failli me faire étouffer avec ma salive.

- Alors , monsieur Smith et vous...c'est officiel ? Demande-t-il tout en me regardant en colère avec un soupçon de...reproche ?

Alors ça c'est la meilleure ! Mais pour qui il se prend ?!!

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Bonjour mes poussins !
Ça fait longtemps que je n'ai plus écris et j'en suis désolé... mais pour des raisons personnelles, j'ai été dans l'impossibilité de publier. Maintenant ça devrai aller mais je ne serai pas régulière. Désoler encore.
Bisous,

-Sheyenne

Forever( en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant