DRAMIONE : Double face

Chapitre 2 : Bibliothèque

Pourquoi ne pourraient-ils pas juste être amis !

Je souris d'un sourire focus et remonta dans ma chambre. J'en n'ai vraiment plus que marre de leur comportement enfantin et n'avais pas besoin d'en savoir d'avantage.
Je me laissa tomber sur mon lit.

Drago, si mystérieux et prétentieux à la fois...
Je ne faisais pas vraiment attention à lui ces trois années passées à Poudlhars, je n'étais à vrai dire pas vraiment intéressée par les garçons. Mais depuis le premier cours d'Hagrid avec l'hippogriffe, buck, où il s'était excrément ridiculisé. Comme d'habitude.
Je soupira et sourie en repensant à cela.
Il s'était passé quelque chose. Je ne sais pas quoi. Mais mon regard sur lui avait changé. Je ne sais pas non plus pourquoi mais un sentiment nouveau était née...
juste de pensée à lui me rend, bizarre, je n'avais encore jamais ressenti cela.

J'effleura le vieux rideau de mon lit à baldaquin de mes doigts qui tremblaient et sourit en me disant intérieurement qu'il était très moche et sincèrement je ne comprenais pas pourquoi Dumbledore ne pensais pas à les changer, ça devait faire tellement longtemps qu'il était là.

Pour me changer les idées, je décida d'aller faire un tour à la bibliothèque, histoire de reprendre quelque livres.
Je descendis les escaliers du dortoir et arrivée dans la salle commune, je constata avec soulagement qu'il n'y avait avait plus de Harry et de Ron...
Par rare moment, ils m'agaçaient fortement.
Je les adores, se sont mes meilleurs amis, mais parfois ils peuvent vraiment être cassent pieds.
Je traversa la salle commune de Griffondor d'un pas vif et sortis de la pièce en direction de la bibliothèque.
Je devrais aussi faire un petit tour à la réserve un de ces soirs, histoire de changer un peux de bouquins et sincèrement choisir ses livres dans le clame et la lueur de la nuit, je trouve ça juste fantastique.
Je pris les escaliers et par la suite plusieurs couloirs pour y arrivée enfin.
Il y avait pas mal de monde, comme d'habitude et l'ambiance y était un peu lourde.
Et ce n'était pas très silencieux.
Il y a vraiment des gens qui ne comprennent pas le concept d'une bibliothèque.

Je me promena dans les rangées qui gardaient tant de livres, à la recherche d'un ou de plusieurs qui pourrais me plaire.
Il y en avait tellement.
Chez moi, à Londres, je lisais plutôt les grands classique moldus.
Mais maintenant que j'ai tant de choix et de diversité pourquoi continuer avec ces romans si peu original.
Je m'arrêta dans une rangée d'étagère au hasard.
Je laissais glisser le bout de mes doigt sur le dos de tout ces livres.
La matière n'était pas désagréable au touché et l'odeur de la poussière qui si échappait me piquais un peu le nez.
En entendant des rires masculins, je tourna la tête vers ceux ci, pensant trouver mes deux fidèles amis.
Mais c'était loin d'être ceux d'Harry et de Ron, ou même Nevill, Dean ou Seamus.
Non, c'était le sien, il était là, à quelque mètres de moi, avec ses compagnons Crabbe et Goyle, me toisant du regard, prêt à lancer une insulte sur les sang de bourbe.
Mais cette fois, ça n'allait pas m'atteindre ou me faire de la peine. Non.
Mon regard sur lui avait belle et bien changé.