le fameux soir

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Il est déjà tard, alors je décide donc d'aller me coucher. J-3 avant que mon père rentre de l'hôpital.
Je me met dans mon lit bien chaud, tournant sur la droite je ferme mes yeux.
J'ai peur, je repense à l'argent qui été là. Je l'ai pris et mis sous mon oreiller.
Je ne me reconnais pas, je ne suis pas comme ça, je ne suis pas cette fille là.
Je m'endors par mis ces pensées.

La porte d'entrée s'ouvre tout doucement, il monte les marches de l'escalier sans bruit et arrive dans sa chambre. Elle dort. Il se glisse dans son lit, enlève son t-shirt.

-Papa, c'est toi ?
Aucunes réponses,  je referme donc les yeux.
-Princesse! Oh oui je te veux !
Il se met sur elle et commence à enlever sa culotte.
-Je suis entrain de rêver c'est pas possible ! C'est pas vrais!! C'est trop réel putain !!
-Oh non ma chérie tu ne rêves pas. C'est moi Charles.
-Tu m'as mise nue ?! Tu te fous de ma gueule.
Charles attaches mes poignées à mon lit et passe un bandeau sur ma bouche. J'essaie de me défendre , je crie de toute mes force, mais tout mes bruits sont étouffés. Je bouge mes pieds je pleure. Je panique.je hurle...

-Reste calme bébé, ça va bien ce passer.

Je le vois, il est là, sur moi, il enlève son caleçon face à moi , il se coucher sur moi, il me caresse la joue et me fait des bisous partout. Je sens ses lèvres descendre sur mon corps. Je lui supplie d'arrêter je crie de plus en plus fort, mais mon crie est étouffer à cause de ce putain de bandeau.

-regarde comment tu es parfaite ... ton corps... !!

Il touche mon entre jambe , me caresse. Je n'en peux plus. Je crie tellement que je n'aie plus de force. Je pleure toute les larmes de mon corps. Je n'aurais jamais imaginer que ça pourrait m'arriver, à moi Emma.
Malgré mes pleurs, mon impuissance face à lui, malgré mes cris inexistants, Charles continue,
il glissa deux doigts en moi, je me sens sale,  après plusieurs va et viens celui-ci glissa sa langue sur moi, tout en me regardant.

-Bébé t'aime ça hein, dit moi que tu aimes ça bordel !

Charles me prend la gorge si violemment en serrant de plus en plus fort en répétant ces mots

Dit moi que tu aimes ça... Dit le moi

Il enleva le bandeau qu'il avait placé sur ma bouche.

J'eus l'impression de mourir, chaque instant il serra ma gorge et je pouvais à peine respirer alors je compris que je n'avais plus le choix, il fallait que j'obéisse pour ne pas mourir, il fallait que je me sacrifie si je ne veux pas perdre ma vie.

-J'ai...me
-Répète! 
-Je viens de te le dire...
-  Je n'ai pas entendu , répètes! dit-il en me serrant la gorge encore plus ,je ne pouvais à peine parler.
- J'aime ça Charles, j'aime ce que tu fais, dis-je en pleurant comme je n'ai jamais pleurer.

Après ces mots, il lâcha ma gorge et je me mis à tousser, une fois qu'il avait finir de jouer avec ces doigts en moi et avec sa langue, il fini par placer quelque chose de plus volumineux, quelque chose qui me fait douloureusement mal, quelque chose qui me fait crier de douleur, je sens quelque chose se déchirer en moi, ça me tire et j'entends ce monstre jouir, comment peut-il jouir de profiter d'une jeune fille de 16 ans putain ?

Je ferma mes yeux en pensant que c'est un cauchemar, en essayant de me persuader que ce n'était rien, que tout le monde vivait ça.

-Bon Emma, merci pour ce moment chaleureux, je me suis bien vidée et tu m'as procuré pas mal de plaisir, n'appelle pas les flics, si jamais tu le fais je peut t'assurer que je tuerais ton père de mes propres mains et tu seras toute à moi. Je te laisse cette enveloppe à bientôt car toi et moi c'est pas prêt de finir, je reparaitrait quand tu ne t'y attendra le moins.

Je hocha la tête, par peur de perdre tout ce que j'aimais. 

Ce montre m'embrassa et sorti de ma chambre, de ma maison et de mon espace privée.


La TentationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant