DEADPOOL 2

VIII

- Réveilles-toi, t'as assez dormi maintenant, entendis-je légèrement, mon mal de tête m'empêchant d'entendre correctement.
J'ouvris les yeux et ma vision qui était trouble devenait de plus en plus claire.

Ah oui c'est vrai, je venais de me faire kidnapper. Putain d'enculé. 

J'essayais de me débattre autant que je pouvais mais en vain. Les cordes avec lesquelles il m'avait attaché au lit étaient trop fortes pour moi. Putain qu'est-ce que je détestait être totalement impuissante. 

- Qu'est-ce que tu ma fais putain ? demandais-je, me sentant tellement faible.

- J'ai réduit l'effet de tes pouvoirs grâce à une petite injection. Bientôt tu ne seras même plus en mesure de les utiliser et ils m'appartiendrons. 

Je rognais de douleur à cause de mon mal de tête. Parce-que oui, je ressens les douleurs comme les maux de têtes, les maux de ventre, etc... Et putain j'en avais jamais eue un aussi puissant que celui là.
J'avais l'impression qu'on venait de m'enfoncer un clou dans le crâne et qu'on tapait dessus avec un marteau pour le faire entrer.

- Tu me fais tellement de peine, réussis-je à dire, ma voix toute cassée.

- Regarde toi, c'est moi qui devrait éprouvé de la peine. J'ai trouver ton point faible ma belle, tu n'es pas totalement immunisé contre la douleur comme tu le prétends.

Je leva les yeux au ciel. 

- Ah bon, montre moi ? crachais-je en lui lançant un regard rempli de haine. Il me dégoute.

Il fit signe de la tête à un gars qui, avec un couteau, se rapprocha de moi.
Il souleva la robe d'hôpital que je portais jusqu'à mes cuisses et y planta une première fois le couteau pour descendre le long de ma cuisse, histoire de me faire une large et profonde ouverture.

- C'est tout ? demandais-je, en riant.

Il se contenta simplement de sourire et de faire la même chose à mon autre cuisse.
Ensuite il prit deux grosses pinces électriques qu'il enfonça sans ménagement dans mes cuisses.

Je simula un cri de douleur.

- Tu vois, me dit-il fier de lui.

J'explosa de rire à sa réaction.

- Mon pauvre Francis, tu crois que tes petites pinces me font mal ? Faudrait changer de méthode.
Sa mâchoire se resserra. Je venais de le vexer à ce que je vois.

- Rigole tant que tu peux encore, dit-il avant de s'approcher devant un interrupteur.

- Sinon quoi ?

Il appuya sur l'interrupteur et pour la première fois de ma vie, j'avais mal. Vraiment mal. 
Tellement mal que je le suppliais d'arrêter. C'était insupportable. C'était comme-ci la foudre venait de brûler chaque petits centimètres de mon corps.

- On va pouvoir commencé à s'amuser, dit-il souriant et fier de lui.

Putain, Wade t'es où ? 

PDV : WADE

Elle est plus chez elle, elle réponds pas aux messages ni aux appels, je suis censé penser quoi ? Qu'elle est retourné avec Francis ?
Mon téléphone vibra, le nom d'Amber s'afficha dessus.

- Putain Amber où t'étais ?!

- Salut, Wilson.

Ma respiration s'accélérais de colère à l'entente de cette voix, c'était Francis.

- Elle est où fils de pute ?!

- Dis bonjour Amber, dit-il avant de rapprocher le téléphone vers elle, qui était entrain d'hurler. Il était entrain de la faire souffrir et ça putain.. Ça il pouvait pas.

- C'est moi que tu veux non ? Alors lâche et assume tes couilles. Du moins ce qu'il en reste.

- Toi ? Mais, il ria et reprit, mais qu'est-ce que tu as que je voudrais ? Tu n'es rien Wade. Elle par-contre... Je vais lui retirer tout ses pouvoirs et en finir avec elle, tu veux me rejoindre pour y assister ?

Je jeta de toute mes forces mon téléphone qui se brisa directement au contact du sol. 
A vrai dire, j'avais cassé tout ce qui était dans la pièce après ça. La savoir là-bas entrain de souffrir me rendant fou putain, mais j'avais pas le temps pour m'énerver. Fallait que j'y aille.

Là c'était la bonne, je le laisserais pas s'échapper comme les deux dernières fois. 
Je vais lui couper ses putains de couilles et les lui enfoncés dans la gorge bordel.

PDV : AMBER

Je ne sentais plus rien. Pas seulement la douleur mais tout, j'avais l'impression que mon corps ne m'appartenait pas tellement il m'a lâché. Je ne bouge même plus quand il envoie les décharges électriques, ça fait mal oui, mais j'ai plus la force de lutter. Je veux juste qu'il en finisse un bonne fois pour toute.
J'ouvris la bouche, tentant de parler. J'arrivais juste à gémir quelques mots.

- T'as dis quoi ? dit-il en se rapprochant, toujours ce foutu sourire malsain collé à la bouche.

- T..Tue-m.. Tue-moi.

- Te tuer ? Pourquoi ? On ne fait que commencé ma belle, pour l'instant on a absorbé que 9% de tes pouvoirs.

Les larmes que je retenais depuis maintenant trois heures coulaient a flot sur mon visage. 
Je pouvais plus supporter sa putain de gueule, tout ces câbles, ces décharges et là, je sais pas pourquoi, j'ai hurler avec toute la puissance qu'il me restait et me débranchait de tout.
Ce qui s'était passé deux jours avant était entrain de se reproduire, sauf que, contrairement à la dernière fois, ça ne me fessait pas de mal mais au contraire, me procurait tellement de bien.

- Putain qu'est-ce qu'il se passe ? Tu l'a détaché espèce de conne ? cria Ajax contre cette salope d'Angel qui me maintenant depuis le début de ma torture.

Je partis dans un fou rire immense. Je m'arrêta et repris mon souffle.

- Putain les gars, vous allez tous crever, dis-je avant d'utiliser l'un de mes pouvoirs inconnu sur l'un des trois cons dans la salle : l'un des toutous d'Ajax.

Un éclair qui venait de sortir de main l'expulsa et lui brûla une grande partie de sa cuisse. Je souriais, ça marchais. Mes pouvoirs étaient encore là.

Je me sentais tellement puissante, aussi puissante que quand je tuais des personnes avant.

- A qui le tour ? Demandais-je, toujours en souriant, comme Ajax il y a dix minutes.

- Putain, c'est tellement con de rester dans le même Q.G alors que tu savais qu'il y a deux jours je l'avais trouvé, dit une voix masculine dans mon dos. En me retournant, je fus surprise de voir que c'était Deadpool. 

- Il ne manquait plus que toi pour le grand final, dis-je en me plaçant à ses côtés.

- Angel, occupe toi de cette pute. Je m'occupe de l'autre clown en rouge, dit Ajax en retroussant ses manches.

Wade et moi se retournions directement pour rigoler.

- T'as vraiment cru que t'étais dans un film. *clin d'oeil*

- Bon, bah c'est parti me lança Wade avant d'avancer dans le grand entrepôt en direction d'Ajax et moi d'Angel.
Attention, ça risque d'être pas beau à voir.

***

Voilààààà pour le 8ème chapitre déjà ! Je suis vraaaaaaaaaaaiment désolé pour le si long retard, j'étais vraiment bloqué sur une partie du chapitre et aussi les cours qui reprennent (avec déjà une pile de devoirs à faire) voilà quoi, j'arrête de raconter ma vie (et aussi, j'ai réussie mon examen, je suis trop contente mdrrr)!

Alors votre rentrée ?

Vous aimez votre classe ?

Vous êtes en quantième cette année ?