Chapitre quatorze

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Nous avions passés la nuit avec le vieil homme du nom de Poseos, à essaie d'élaborer un plan pour les retrouvés. Nous étions déjà allés dans la maison qu'il pensait être celle à cet homme, mais rien. Pas la moindre trace, ni de maison, ni de vie. L'endroit était désert, je me demandais même si personne n'avait jamais mit les pieds là. Puis je me mit à marché. Poseos ne me parla pas, il ne fit que me suivre. Je m'arrêta soudain devant une maison, et tout disparu. Cette sensation d'être guidé. Tout. Il y avait une légère ouverture dans la maison qui se présenta à nous. Je m'approcha de celle-ci, et le monde autour de moi n'avait plis aucune importance. Il n'y avait qu'elle, et moi. Nous. Elle souriait. Ces cheveux n'était que plus beau. Ses yeux nous faisait voyager. Puis je vis la réalité en face. Elle est avec lui. Il s'approche d'elle, près à l'embrasser. Je serre les poings, près à pousser la porte et à le lui mettre dans la gueule à cet idiot, mais elle le repousse. Alors, je vois ces yeux devenir rouges de colère et ses poings se serrait. Puis, il fait un sourire diabolique. Il entre alors dans un fou rire qu'il n'arrive sûrement pas à contrôler. Puis plus rien. Le noir. Une obscurité à la fois éblouissante et paniquante.

Je me réveiller avec un mal de crâne horrible. Je pouvais voir par une mini ouverture que l'aube se levait. La porte s'ouvrit à cet instant, laissant le prétendu Eracc face à moi. Il tenait dans sa main une sorte de batte en métal qu'il me colla au dos. Elle m'arracha un hurlement de douleur. Je ne pouvais même pas bouger, il m'avait attacher les membres du corps avec lesquelles j'aurais pu me défendre. Il retira la batte, et me la colla au front. Cette fois, le hurlement fut plus intense. J'avais mal. Et puis, je la vit à l'ouverture de la porte. Une main devant la bouche pour ne pas crier, des larmes s'échappant de ces yeux en abondance. Je lui fit un sourire faible mais sincère, pour lui dire que tout va bien. Malheureusement, il me vit lui sourire. Il se tourna vers elle, et l'attrapa par la chevelure. Je crié pour qu'il la laisse. Mais rien ne changea. Il lui releva la tête par le menton, et la cogna contre le mur. Puis, il la laissa ainsi à terre, et se dirigea vers la porte, nous laissant ainsi, comme des moins que rien.

Salut,
Je voulez juste vous prévenir qu'avec la reprise des cours, les chapitres se feront rare. Mais ne vous inquiéter pas, je n'abandonne pas l'histoire.
Merci de votre compréhension et bonne chance pour cette année scolaire.

Sur les traces du tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant