La Venus peulh

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Ô Aphrodite peulh aux mains noires

A la chevelure longue et aux yeux illusoirs

Que n'ai-je rêvé de tes caresses du soirs

Sous les arbres fânés de ma jeune gloire

Tu réveilles en moi le feu ardent du désir

Ton parfum d'Ambroisie étreint ma clairvoyance et les aspire

Ton regard de Houri m'inspire et me fait rougir

Dans tes bras divins heureux j'aspire à mourir

Ce monde est cruel et toi tu es si belle

Tu es cette teinte de couleur et de miel

Qui rend mes rêves et mes malheurs vermeils

Mue mes désirs en des sensations pures et réelles ...

Ô Aphrodite peulh aux courbes fines et aux lèvres divines

De tes baisers envoûtant allume le feu ardent de ma passion

Emplis ma coupe de saveurs olympiennes et de nectarine

Afin que l'ivresse de l'amour noie le poids subtil de mes désillusions

FougueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant