Olympien

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Athéna! Remplis ma coupe avant qu'Hypnos ne m'emporte
Quand écoutant les récits d'Orphée mon coeur rageur prends la porte
De l'Hadès où ce dernier vécu mille périples 
Espérant retrouver sa bien aimée  affligée de maux terribles

Ah! Dionysos ne m'emporte point encore
J'ai encore à faire de mon glève de plumes et d'encre
Trempé dans les peines et les tourments du Styx
Où les morts sont lavés de leurs défauts et de leurs vice

Laissez moi contempler encore la verdure de l'Élysée
Avant que Pégase ne me ramène vers les affres de la réalité
Où je n'ai que de peine à conter mon idéalisme
Combattant acharné dans un monde qui n'en a que faire du Surréalisme

Ô Thanatos retient donc ton frère
Je ne veux encore retourner sur terre
Quand me bénissent la bienveillance et la protection olympienne
Et que le monde des idées pures ne me semble plus être une randonnée lointaine

                       Le phénix

FougueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant