{Écraser tes souffrance} Telle est ma mission~Zosan

•¦¦1¦¦• ✔

P.O.V Externe:

Une tempête fessait rage en ce soir d'hiver.

Une voiture banalisée avait pris en filature un homme, Romain Pelte.

Suspect dans le trafic de marchandises militaires.

Le duo d'inspecteurs, le filer depuis plus d'une heure.

La tempête commençait à se faire de plus en plus forte.

La voiture de Romain Pelte venait de s'arrêter sur un sentier.

À l'entrer d'une petite forêt.

Les inspecteurs restèrent dans un périmètre de sécurité.

Observent chaque mouvement de leur suspect qui finit par sortir de son véhicule .

Les deux traqueurs fils de même, le traquant à travers la forêt.

Au bout d'un certain moment ils s'arrêtèrent, l'ouïe à l'affût.

Le suspect avait disparu de leur vision.

Les deux dégénèrent leurs armes, pointent le viseur au niveau leurs yeux.

P.O.V Inspecteur de police:

Cela fait maintenant une semaine que nous avions commencé cette mission.

C'était lundi dernier, nous avions reçu une mission des plus importants.

On nous a fait part qu'un homme aurait commencé un trafic de marchandises militaire.

Alors que nous n'avions aucune identité, mon équipe et moi avions réussi à le trouver.

Après cela nous l'avons suivie nuit et jour sans possibilités d'avoir la preuve que nous voulions.

Mon supérieur nous a posé un ultimatum, trouver en ce soir de tempête la preuve pour pouvoir le mettre en prison.

Alors nous avons pris la voiture mon coéquipier et moi, a le suivi bien pendant 1 heure.

Quand au bout d'un certain temps, il prit un sentier.

Pour rentrer dans la petite forêt.

Nous restons dans un périmètre de sécurité.

Il descendit de sa voiture et nous le suivons.

Quelque temps plus tard, il disparut de notre champ de visions.

Nous avions pris nos armes et nous les avions pointés devant nos yeux.

Je regardais dans toutes les directions, le moindre mouvement, je pointais mon arme.

Quand je vis l'invraisemblable .

Romain Pelte tenait un jeune homme par les cheveux, le traînant comme un chien.

Un jeune homme blond, en très piteux état, maigre.

Il ne portait qu'un simple t-shirt, et d'un caleçon troué .

Tacher par la boue, trempé par la pluie.

Bandeaux sur les yeux

D'un geste vif, nous nous cachons derrière des arbres. Changeant d'arbres pour pouvoir, se rapprocher de notre suspect.

Quand d'un coup, son téléphone portable sonna.

Il regarde le nom de son interlocuteur et froncis les sourcils.

« Oui, j'ai la marchandise, je vous la livre le plus vite possible. Vous êtes sur monsieur . D'accord, je me ferai une joie d'obéir à vos ordres. »

Il enleva le téléphone de son oreille, quand son interlocuteur lui adressa un dernier mot que nous entendions, car il lui avait demandé de mettre haut-parleur pour que le blond l'entende.

« S'il ne veut pas coopérer, tu devras le torturer puis lui injecter la substance qui se trouve dans ton coffre de voiture. Si rien ne se passe, tu dois le tuer. »

« Mais monsieur, vous avait pris tous les moyens pour le retrouver, et vous me demander de le tuer ».

« Si tu ne fais pas ce que je te demande, je ne te couvrirai plus. »

« Je me fiche, si vous ne me couvriez plus mais je ne devais pas lui faire ce que vous me demandez .

Je suis juste un trafiquant de marchandises militaires. »

« Alors tu me trahis, tu sais ce qui arrive aux personnes qui me trahissent ? »

« Non... »

« Je les tuent »

À la fin de sa phrase, Romain Pelte fut pris d'une balle dans la tête, le bruit de l'arme inconnue fit peur au blond.

Instantanément mon coéquipier et moi-même pointons notre arme vers la provenance du tir, mais il n'y avait pas personne, même pas un chat.

Suivant mon instant, je m'approchais du jeune homme.

Je le pris dans mes bras mais par pur réflexe, il se mit à se débattre.

À bout d'un certain temps, il se mit à capituler.

J'enlevai les bandeaux qui barraient sa vision, et l'horreur me prit.

Ces yeux étaient recouverts de cire noire.

Je m'approchais pour pouvoir en détail les dégâts qui lui étaient infligés quand celui-ci se mit à tremble, a respiré fortement.

Il commence à faire une crise de panique, je l'allongeais le plus vite possible sur le sol boueux, et essayer de le calmer avec ma voix .

- Hé, calme-toi ! Nous sommes de la police, on est là pour t'aider.

La respiration du garçon commençait à redevenir normale.

– Tu arrives à parler, non ? Sa fait rien, je vais t'emmener à l'Hôpital.

À la fin de ma phrase, sa respiration devient de plus en plus forte, et de plus en plus violent, il me fit d'un signe de tête qu'il ne voulait pas, mais vraiment par aller se fait soigner dans un hôpital.

Alors je lui proposais une autre solution.

- Tu ne veux pas aller dans un hôpital, mais est-ce que tu veux bien aller dans la clinique de mon ami ? Il s'appelle Tony Tony Chopper.

Je le vis faire un mouvement positif de sa tête.

Alors je le pris dans mes bras mais à ce moment même, il s'évanouit .

- Ohé reste avec moi ! Mihawk, tu conduisis jusqu'à la clinique de Chopper.

Je montais derrière et j'appelais le service de nettoyage.

« Inspecteur Roronoa, je voudrais que vous veniez faire le ménage à notre position. C'est un ordre. »

J'appelle ensuite Chopper, médecin de haut niveau.

Je portais en même temps le corps frêle du blond.

« Bonjour, Docteur Tony. Que puis-je faire pour vous ? »

« Chopper, c'est moi Zoro ! Prépare au plus vite ton matériel, j'ai besoin de toi »

« Que se passe-t-il . »

« Je reviens d'une mission banale et nous avons vu que notre suspect fessait un trafic d'humain ».

« Ils sont combien ? Comment sont les dégâts»

« C'est un jeune homme, blond. Très faible corpulence »

« D'accord, amène-le »

« On est en route »

À suivre